Oui c'est un mot qui dévalorise son sujet d'étude, cependant je crois qu'il emploie ce mot "magique" dans un sens plus large que son acception moderne (la magie considérée comme la pratique des sorciers), étymologiquement le mage était le prêtre de la religion perse dans le zoroastrisme, c'est avec la tradition judaïque que ce terme a été rabaissé au sens de celui qui pratique des sortilèges. Il faut aussi comprendre que la royauté rwandaise devait être, quand il l'a découverte, sur son déclin, elle devait mélanger à son cérémonial des pratiques de nature inférieure aux éléments qui la rattachait à la tradition primordiale. Tu pourras juger de cela dans la suite du livre.