Bien. Cependant, Christian Sarron ne se déhanchait presque pas... Comme beaucoup d'autres pilotes de ces années là. Aujourd'hui les motos et les pneumatiques ont beaucoup évolués mais le spectacle surtout.
Je découvre. Simple, efficace... +1 Juste (c'est un détail), utilises un correcteur d'orthographe, la faute du premier texte c'est un poil perturbant, mais à part ça, top cette petite vidéo 💪🔥
Efficace, certes, mais le style et la beauté du pilotage en pâtissent , surtout cette sortie de jambe en entrée de virage ,très moche visuellement 😮. je préférais les courses des années 70 . ( pour l’ambiance et « la bonne franquette » aussi 😂)
Je trouve justement le style de maintenant plus impressionnant, quand on voit Martin avec le coude et l’épaule qui frotte au sol, je trouve ça beaucoup plus impressionnant que dans les années 70 quand il était droit
Vos théories sur le déhanchement me font rire les genoux , les motos ont évolués ! pas les pilotes ... en 1978 ( Mike Hailwood 9 titres mondiaux ) était revenu sur circuit et a pulvérisé tout les autres pilotes , certains avaient les genoux et même les oreilles qui frottaient au sol !!!!! et QUI... était devant ???
Je rigole toujours des fautes d'orthographe grossières en gros caractères, par exemple le mot IMPACT (qui s'écrit sans E, donc). J'avais jadis écrit dans ce sens à Moto-Revue, qui avait titré et lettres de 5 cm : la BMW mise à NUE (le E m'avait fait mal aux yeux). Le plus rigolo : ma lettre très ironique avait été publiée dans le courrier des lecteurs, avec d'autres fautes d'orthographe. A part ça, l'exposé "scientifique" de l'équilibre dynamique de la moto fera rigoler tous les physiciens à partir du niveau bac. Il est plein d'erreurs de langage et de conception mais dans l'ensemble accessible aux néophytes. - Ce qui permet de prendre des angles déments, c'est d'abord le frottement des pneus sur le revêtement de la piste, qui est obtenu avec une qualité de gomme particulière. Pour aller encore plus vite, avec donc un angle plus prononcé, il faut un pneu qui se déforme juste ce qu'il faut pour glisser doucement sans décrocher brutalement (ce qui allume un cierge à Ste Gamelle, patronne des motards). Le problème généré par cette glisse est qu'il faut être très vigilant en redressant la moto pour ne pas se faire éjecter lors de la reprise d'adhérence. Un autre facteur important dans le pilotage est apporté par les plaques de résine placées sue les genoux et les coudes, qui entrent en contact avec la piste. Si le corps est bien verrouillé sur la moto, l'appui sur ces plaques aide à gérer la glisse au petit poil, en plus de protéger la combinaison. Sur le mouillé, le pilotage est un peu "différent". J'adorais rouler sur le mouillé parce que les copains avaient les jetons et que je les poudrais, j'avais bien observé Barry Sheene (un mec fabuleux) et Christian Sarron. Quand c'est mouillé, on roule moins vite et on glisse mieux quand on se vautre, donc on se fait moins mal, il n'y a pas à avoir la trouille. Salut et fraternité*
