Voici ma définition du NoCode en 5 points : Avant Propos : NoCode est une technologie qui a toujours existé (Access, FileMaker, Dreamwever, etc...), le terme a été actualisé pour mieux définir un domaine devenu encore plus accessible et interconnecté : 1. Possibilité de développer des applications via des interfaces graphiques (Drag&Drop), sans connaissance d'un langage de programmation. 2. Prise en charge par la plateforme Nocode des bonnes pratiques avec une assistance au développement 3. Facilité d'interconnecter des plateformes NoCode complémentaires 4. Facilité d'accès car la plupart des plateformes sont cloud et Saas 5. Courbe d'apprentissage beaucoup plus rapide En conclusion le NoCode Reste un domaine et métier de spécialistes
Le No-Code c'est un terme savant pour dire que l'on utilise un logiciel. Par exemple, lorsque l'on configure son écran de veille sur son PC, on fais du No-Code. Avant l'invention de ce terme, on avait l'impression de travailler dur sans avoir de reconnaissance (bah oui, c'est pas si facile de configurer son écran de veille, faut chercher dans les menus, savoir utiliser une souris et toussa). Maintenant, avec ce terme, on a enfin la reconnaissance que l'on mérite. On est No-Codeur. Trop cool.
Oui, mais le terme est surtout employé ici en opposition aux codeurs, servant davantage à dire au grand public : 'Voici un logiciel pour remplacer les méchants développeurs codeurs complexes'."
Le réel problème du no-code, c'est quand tu passe après en tant que dev... Quand on fait appel à tes service pour y mettre el famoso feature qui ne peut être faite via le no-code, tu te tape tout le merdier du projet et c'est souvent impossible à reprendre
Le No-Code est souvent compliqué que le Code ou le Low code. Car pour implémenter certaines fonctionnalités, si l'outil utilisé n'a pas encore intégré les éléments qu'il faut pour cette fonctionnalité, on se retrouve à brainstormer très fort pour trouver un moyen de contour la barrière tout en aboutissants au même résultat qui est la fonctionnalité recherché. Si c'est avec le code ou le low code, il suffit juste de coder cette fonctionnalités, d'utiliser une librairie, framework, etc... Les outils No-Code doivent tous intégrer une fonction code ou low code pour devenir réellement "Faciles" à utiliser.
C'est tellement une blague... Le no-code ne fait que changer la forme, pas le fond. Code devient schema ou language prompt. Le code, c'est 20% du travail d'un dev. En plus de seulement déplacer le problème, l'architecture, l'algorithmie seront toujours là. Transformer une idée complexe en algo/interface est le cœur du travail et l'IA/schema, ne vont pas deviner votre vision. Surtout si, même pour vous, elle n'est pas structurée et claire. Faire des schémas ou remplir des prompts demande d'avoir un niveau d'abstraction en algorithmie. C'est vraiment une escroquerie marketing.
@@WeLoveDevs quand on regarde les articles no-code, c'est présenté comme la solution miracle pour produire des applications flexibles, rapidement, facilement et sans développeur. La fin des devs. Alors qu'en réalité, ça ne change rien. Il faut des devs nocodes, il faut des connaissances, du temps et ça n'est pas aussi flexible que du code. Oui, pour des besoins génériques simples ça peut être pratique mais ça n'est pas une solution miracle révolutionnaire
Récemment, nous observons la formation de nombreux "juniors" en développement qui, malheureusement, peinent à trouver un emploi. Avec l'évolution des outils no-code, ces juniors pourraient se positionner comme des créateurs sans code (no-code makers). Une autre réflexion mérite d'être soulevée : il y a un décalage d'échelle entre les développeurs et les créateurs d'outils no-code. Imaginons qu'aujourd'hui, 200 développeurs soient nécessaires pour créer un outil no-code utilisé par 300 millions de clients. Dans le modèle précédent, autant de développeurs auraient été nécessaires pour répondre à cette demande. Ainsi, la popularisation des outils no-code pourrait réduire le nombre total de développeurs à l'échelle mondiale.
C'est comparable à la robotisation : combien d'ingénieurs spécialisés en robotique sont nécessaires pour construire un robot qui remplacera des centaines de milliers d'individus?
Je vous apprécie beaucoup vous et votre chaîne mais je trouve qu'il y a quand même des problèmes dans les choix des intervenants. Ce sont pour la plupart des Tech Evangelist ou des personnes chargées d'animer des communautés autour du no-code et eu low-code. On peut passablement se demander s'ils salariés carrément d'une boîte comme Notion, Bubble ou Zapier. Donc à partir de là leur témoignage sera biaisé. Imaginez-vous pourvoir lister les inconvénients des solutions proposées par votre employeur ? D'ailleurs dans la vidéo on voit une différence entre la présentation de Damien et le reste des intervenants. Damien met en garde contre le coût d'utilisation de Autopilot, la lourdeur du process et la forme de vendor-locking qu'il peut y avoir. Les autres ne tarissent pas d'éloges sur le no-code et le low-code même s'ils mettent en garde que c'est pas non plus très facile d'utilisation ce n'est pas simplement du "glisser déposer". Bien à vous
Hum... Camille est bien représentante de Notion et on trouvait ça pertinent de consulter quelqu'un qui représente un éditeur. Les autres intervenants sont des professionnels qui font du nocode leur métier mais qui sont critiques envers les outils. Après c'est sûr qu'on a pas cherché une personne qui déteste le nocode pour avoir un contrepoint. Le but c'était justement de faire un reportage sur cette communauté et de comprendre ce qui les enthousiasme. Est-ce que ça t'as enthousiasmé Ramos ?
