Que dire pour que les enfants écoutent? 

Merci à vous! Si vous saviez combien de fois je les emploie aussi! C'est déjà super d'en prendre conscience non? Bonne fin d'année!!

Merci!!

Oh merci beaucoup !

Désolée pour les fautes... J'ai tapé trop rapidement sur mon tel... C'est l'enthousiasme 😍

@@sylvieharvier6369 Merci pour ton enthousiasme! Et merci pour ton message! Ça me rassure tellement de savoir que je ne suis pas seule à penser qu'il est temps que le système change! Moi je me verrais bien faire des petites conférences de temps à autre ;-) Elle est où ta ville? :-)

@ Montgeron 91🤩

@bonjour, ça m'intéresse aussi ! Dans le 79! Merci.

Rien de révolutionnaire c'est écrit dans ses livres 📚😉mais la plupart des gens (pas tous) ne lisent pas ces livres.

Un grand merci pour votre message!

Merci beaucoup!

Merci pour ton message! Tu vois, moi c'est pareil, sans m'en rendre compte plusieurs personnes m'ont fait remarqué que ma vidéo était elle-même sarcastique! et c'est vrai! quelle horreur! L'important je pense c'est de réfléchir à tout ça, on ne peut pas être parfaits tout le temps, mais c'est bon de se remettre en question et d'avancer! A bientôt!

Par "aide-maternelle", voulez-vous parler de l'ATSEM ?

Oui, mon aide maternelle est l'ATSEM, elle est une aide précieuse dans la classe. 😉

@@sevefilochette7787 Si je note la précision c'est que ce métier souffre déjà d'une large méconnaissance sans parler d'un manque de reconnaissance, donc je trouve cela important de nommer les ATSEM par leur titre officiel, plutôt qu'avec des appellation fantaisistes qui ne les valorisent pas. Attention, je vois bien que son "aide" vous est précieuse et que vous savez l'apprécier à sa juste valeur, mais je suis certain qu'il ne vous serait jamais venu à l'esprit de dire mon "Auxiliaire d'instruction infantile" pour parler d'un Professeur des écoles par exemple....

@thibaut Henry-Mersenne Il se trouve que j'enseigne en école privée. Du coup, elle n'est pas ATSEM mais personnel OGEC. Quand j'utilise le mot "aide-maternelle" ce n'est en aucun cas pour la dévaloriser. Quant à moi, je suis Professeur des écoles pourtant on me nomme souvent "maîtresse" ou "institutrice" et je ne m'en offusque pas. Étant enseignante, j'en entends de toutes les couleurs sur mon métier (toujours en vacances ou en grève, des horaires de fonctionnaires...) alors même si on me nomme "auxiliaire de l'apprentissage", je sais ce que je fais et ce que je suis, je passerais donc outre. Je sais que les mots ont leur importance, j'essaie toujours de parler avec bienveillance, en valorisant le côté positif et encourageant, en bannissant les jugements et les accusations, je fais du mieux que je peux ! Je ne crois pas être responsable du manque de reconnaissance du métier d'ATSEM parce-que je dis aide-maternelle.

Merci!!

Un grand merci !

Merci 😊

Absolument!!!

Merci infiniment

Et moi donc! j'ai utilisé le sarcasme dans la vidéo (oups, ça craint!!!) comme on me l'a fait remarquer! Comme quoi! Les vieilles habitudes ont la peau dure! Il faut qu'on soit indulgentes avec nous-mêmes, on apprend! Et ce qui est beau c'est qu'on cherche à s'améliorer! Merci pour ton message

😊 merci

Merci à vous 😊

Excellent! Merci pour le partage!

Merci à vous!

Merci à toi 😊

Bonjour merci! Oui c'est prévu! J'y pense, j'y pense, il me faudrait presque une chaîne spéciale EPS tellement j'ai de choses à dire!

Merci à vous

Bonjour et merci! Je vais y réfléchir! A bientôt!

Oui! Je le recommande même dans une vidéo "bibliographie"

No

Oui et pourtant je trouve que cela fait parti de la base...

Avec plaisir

:-) merci!

Je pense à faire un vidéo sur le sujet! Merci! Au regroupement ça peut marcher de dire "les pieds", ou "quand il y a du bruit je me trompe quand je lis". Mais un bon chuuuut! c'est pas si mal non plus parfois! ;-)

Fonctionne

Hihi, je me suis reconnue moi-même, c'est du vécu! Et ça m'arrive encore de parler comme ça hélas!

Merci à toi! Oh la, la, je n'en sais rien. Je galère! Et tâtonne et me trouve nulle!

@ merci pour ta réponse! Si jamais j’ai une illumination je te tiendrai au courant :-D

Montrer ! Si un élève à côté s'intéresse à l'échange, je lui propose de lui montrer où se range le manteau tout en verbalisant. Si personne d'autre n'est impliqué dans l'échange, je le fais moi-même ou invite l'enfant par des gestes (ça ne fonctionne pas avec les PS, en tout cas pas les premières fois). Par exemple, si lorsque je montre le manteau du doigt, il le ramasse : je lui fais signe de me suivre jusqu'au porte-manteau. S'il ne comprend pas ce qu'il doit faire, je montre avec un manteau voisin comment l'attraper par la capuche et le poser. Un point de vigilance plutôt compliqué à mettre en place mais qui rejoint évidemment la méthode d'Emilie : ne pas trop parler ! Lorsque je répète quelque chose avec les gestes, je veille à répéter exactement (ou presque) la même phrase, en liant les mots aux gestes évidemment.

Bonjour et merci pour votre message! Je vais réfléchir à votre question, merci!!

Bonjour et merci à toi. Je n'ai hélas pas de recette miracle, j'essaie toujours un tas de choses, et parfois j'avoue que je m'énerve, perds patience et fais tout l'inverse de ce que je prône! Dans le cas de ton petit loup, est-ce que tu as essayé une main sur l'épaule, ou même un sourire? Parfois ils veulent juste ça mais ne savent pas l'exprimer. Ou alors, un "je vois que tu ne veux pas faire ce que je te demande. je n'ai pas envie de me fâcher, mais sache que je ne suis pas d'accord" et tu t'occupes d'autre chose. Parfois ça marche. Voilà ce qui m'est venu! Je sais pas si ça va t'aider? En tous cas, le contact physique c'est miraculeux. Si tu touches le bras ou l'épaule de celui à qui tu t'adresses, la différence est incroyable avec la parole seule. A bientôt!

@ Je vais essayer ça. Merci!

@ effectivement j'ai eu l'occasion de remarquer qu'un petit chatouilli du bout du doigt permettait dans de débloquer cette situation la plupart du temps : l'enfant sait qu'on a entendu sa demande d'attention, on rit ensemble de sa petite blagounette et il est ensuite ouvert à coopérer ^^ Parfois il cherche à continuer à faire son clown, mais c'est déjà un début d'avoir rétabli la communication et ce peut être un signal plus global sur comment se sent l'enfant en général

Merci à vous 😊 Alors?

J ai fait exactement comme vous et il a adoré. Il a reconnu les mouvements dessinés sur une feuille, les a refaits sans les rubans et il s amuse à trouver de nouvelles figures. Vraiment merci de nous aider à accompagner nos enfants sans toutefois nous substituer à votre noble mission. Bonne reprise.

Je pense qu'elle parlait uniquement des instructions qu'on donne aux enfants. Tout le reste (c'est à dire 80% des interactions minimum, c'est à dire lire des histoires, discuter etc. ça peut se formuler avec des longues phrases bien sur.

vrai

Désolée si je réponds un peu tard. Posez toutes vos questions à la directrice elle saura vous expliquer.

Oui!

lol oui avec tout les adultes ça marche à condition de pas utiliser un ton infantilisant biensur. Pour votre demande sur le coucher du soir, il y a deux choses qui me viennent à l'esprit : Isabelle Filliozat expliquait qu'il est bizarre d'imposer une heure précise de coucher à des enfants et que souvent on décidait d'une heure qui nous convenait en tant qu'adulte mais qui ratait complètement la cohésion avec leur cycle de sommeil; il y a des enfants couche-tard lève tard et des enfants couhe-tot lève tot. L'école malheureusement nous impose un rythme et le respect de l'enfant passe à la trappe. 2- ça me rappelle une vidéo de "kiffer l'école" qui explique ce qu'est "l'autorité" ou comment faire respecter une règle si elle est vraiment importante sans pour autant crier ou désespérer. Je vous la conseille ça va peut être vous aider. Bon courage !!

@@313hikari merci pour votre reponse. Je me suis aperçue que ma fille s'endormait toujours vers 21h30...si je la couche à 20h 20h30 elle me répond il fait encore jour, nous lui avons expliqué que nous avons fait un changement d'heure et que l'été le soir il fait jour. J'ai bien compris que le couché 20h est quasiment impossible. Donc vers 20h30 on se brosse les dents on se prépare au lit on raconte une histoire, on raconte la journée du lendemain et dodo. Cordialement 😉

Bonjour, il y a une playlist "mathématiques" où vous trouverez des idées.

Je vais faire une autre vidéo à ce sujet! Promis!

Parfois je pense que de dire "ça c'est interdit!" est nécessaire, même indispensable! Et "non" aussi! Taper c'est non! Je ne veux pas que tu sois malpolie avec moi. etc...

@ La communication réussie et le respect de l'autre tel qu'il est , développent la relation affective entre prof./étudiant : quand on hait le prof. cela justifie qu' on ne s 'interesse pas à ses apprentissages.

La compétence ç est dans le programme. L objectif ç est le but que tu veux atteindre pendant la séance. Et oui des fois c est pareil.

Ben en fait, si, il réagit s'il s'essuie sur sa manche! :-) Essayez," les mouchoirs sont posés ici" "mouchoir", "ton nez coule", et avec le sourire!

J'arrive! le passe l'examen et j'impose mon cours sur la gestion de classe! Enfin, dans mes rêves :-)

100% d'accord avec vous!

Il faut se plaindre à RU-vid, pas à moi! :-)

Après quelques heures de réflexion, j'ai fini par mettre le doigt sur ce qui est dérangeant dans la solution que vous donnez pour faire obéir les élèves à vos injonctions, pour cela il faut juste inverser les rôles. Cela me fait penser à cet élève qui à la récré se poste devant moi, pied tendu vers moi et attend. Voyant que je ne réagis pas assez vite, il me dit : «Mon lacet est défait!» Généralement, nous adulte détestons cette manière de s'adresser à nous, nous la considérons comme impoli et exigeons que l'élève formule sa demande selon les règles des relations sociales. («Tu peux faire mon lacet s'il te plaît?») Donc en fait la solution que vous proposez est impoli et nous ne la tolérons pas en tant qu'adulte. Cette solution est aussi un reproche déguisé. Imaginez votre conjoint s'adresser à vous en vous lançant un "La panière à linge sale est pleine!". C'est avant tout le reproche : «tu n'as pas fait la lessive!» qui se cache dans cette formulation. C'est la culpabilité qui va vous faire arrêter ce que vous faisiez pour aller faire la lessive. Dernier point, la déresponsabilisation de la personne qui émet cette "non-demande". Reprenons l'exemple où votre conjoint vous fait la remarque que la panière à linge est pleine, si vous répondez vertement qu'il n'a qu'à faire la lessive lui-même... on va vous répondre un "non mais je t'ai rien demandé moi!". Et en effet, nous sommes dans l'insinuation, le sous entendu, il n'a techniquement rien demandé... nous sommes dans la manipulation. . Bref en résumé, votre solution est impoli (voir méprisante), c'est un reproche déguisé et une insinuation manipulatrice visant à vous décharger de la responsabilité de votre propre injonction. Adulte nous ne tolérons pas que l'on s'adresse ainsi à nous! Est-ce cette manière de communiquer que vous voulez transmettre à vos élèves? Nous sommes loin du message clair et de la communication saine et honnête...

Bonjour, merci pour vos retour que j'ai lus avec attention et intérêt. Je suis assez d'accord avec vous en fait! Il y a des règles que l'on impose aux enfants, et au groupe. Et pour gérer un groupe, il y a bien des règles qui sont incontournables. Je ne le nie absolument pas. Et cela peut-être très déstabilisant, voire épuisant quand les enfants refusent de coopérer et sont dans le refus ou l'opposition systématique. Du coup, les "techniques" que je propose sont une manière de s'économiser, d'éviter de crier, de perdre patience ou d'avoir des termes désobligeants pour les élèves. Je n'éduque pas mes enfants en leur parlant avec un seul mot! Je leur montre l'exemple, je pose un cadre et quand j'en ai assez de répéter les même choses, un mot parfois suffit. Comme un rappel. "Les dents", ce n'est pas un ordre déguisé! Et ce n'est en aucun cas méprisant. C'est une manière efficace et sympathique (surtout si c'est dit avec le sourire) de rappeler à l'enfant qu'avant d'aller au lit on se brosse les dents. Votre exemple du lacet m'a fait réfléchir. Je comprends le parallèle mais ne suis pas d'accord avec vous. C'est là que nos visions de l'éducation diffèrent. Je m'explique: si je me place à la place de l'enfant, et que je mets mon pied devant un adulte dans l'espoir qu'il me refasse mon lacet, et que celui-ci ne réagit pas pour me faire comprendre qu'il attend quelque chose (en l'occurrence un "s'il te plait"), je pense que je serais confuse et un peu honteuse. Comme prise en faute, alors qu'enfant je ne pense pas à mal, mais n'ai juste pas appris la convention du s'il te plait, ou que je suis si pressée d'aller jouer que je n'y pense pas. (convention, qui, par ailleurs, n'existe pas dans toutes les cultures). Bref, à cet enfant, plutôt que de lui dire "j'attends le mot magique", que je trouve désagréable, ou de le laisser réaliser que j'attends quelque chose de sa part, je préfère lui dire, "Tu veux que je refasse ton lacet? Tu veux bien essayer de me le demander? Emilie, est-ce que tu peux me refaire mon lacet s'il te plait?" Montrer l'exemple plutôt que de le prendre en faute, je trouve cela plus agréable pour tout le monde. Je ne cherche en aucun cas à déguiser des ordres de base, j'essaie par la bienveillance et l'empathie d'obtenir l'adhésion des élèves aux règles de vie en commun. La majorité du temps, je vais leur demander poliment de faire ceci ou cela, parfois je leur pointe du doigt un oubli en un mot, avec un geste... Qu'en pensez-vous?

@ Bonjour, Biensûr que si ce type de convention existent dans d'autres cultures, parfois beaucoup plus strict même. Assumer de donner des injonctions et de vouloir être obéit, ce n'est pas se donner le droit de crier et de mal parler aux enfants, c'est être clair avec soi-même et avec les élèves, avoir une relation claire et saine. Souvent on s'énerve car l'élève sent qu'on à le cul entre deux chaises, d'un côté on souhaite être obéit, de l'autre on ne veut pas assumer de donner des injonctions, et les élèves en profitent pour se glisser dans l'interstice. Quand on veut être obéit, ce qui compte ce n'est pas ce n'est pas tant ce que l'ont fait après que l'on ait constaté la non obéissance, mais ce que l'on met en place avant. Assumer que les élèves doivent nous obéir permet aussi de mettre en place une organisation qui conduit l'élève à suivre les injonctions, pas juste à intervenir après. Nous devons enseigner explicitement les comportements attendus (je vous rejoins pour les formulations positives des demandes : "marche" au lieu de "ne cours pas"...) et de ne laisser pas passer les écarts à la règles ("la règle est la règle"). Mais il faut absolument réfléchir à ce que l'on met en place pour que l'injonction soit suivie plus que sur comment réagir après, c'est dans cet "avant" que tout se joue, pas dans notre réaction après. Pour en revenir aux injonctions par insinuation ou par mot isolé, en tant qu'adulte nous considérons que les autres ne doivent pas s'adresser à nous comme cela, évitons donc de parler comme cela aux enfants.

Exactement! CQFD. Le sarcasme est contre productif! Alors que je prêche l'inverse, je suis tombée dedans ! Comme quoi, c'est génial de se remettre en question tout le temps et revoir nos façons de communiquer! Merci de l'avoir pointé du doigt, j'ai du chemin à faire, je ne m'en cache pas!

Cela se discute, mais je pense que cette vidéo etait des exemples concrèts de la vie quotidienne en classe ou la maison. Émilie nous donne des conseils pour améliorer nos communications à vivre ensemble. Personnellement je ne l'ai pas pris comme un sarcasme. Emilie l'a très bien expliqué avec bienveillance et une pointe d'humour. Merci en tout cas Émilie 😊🙏. Cordialement Stéphanie.