Mais depechez vous M Rachid,ecrivez un livre qui conservera toute l'histoire d'Oran et ses anecdotes.personnellement j'en ferais mon livre de chevet,tout ce que vous racontez est passionnant
Bonjour Monsieur, j'apprécie beaucoup votre travail de recherche historique et je voudrais attirer votre attention sur le fait que certaines tribunes sèment la haine entre les deux peuples frères à savoir le peuple algérien et le peuple marocain. Monsieur, je n'ai pas besoin de rappeler à un grand homme comme vous que ce qui nous unit est bien plus important que ce qui pourrait nous séparer... Monsieur, je suis marocain, j'ai des cousins à Oran, ma regrettée tante est enterrée à Oran, ma mère est marocaine, elle a des cousins à Tlemcen, mon regretté père est marocain, il a des cousin à Nedroma, un de ses meilleurs amis était de Ghazaouate. Monsieur, si je vous dis tout cela, c'est pour vous demander d'évoquer dans les mesures du possibles les liens historiques entre les deux peuples. Merci pour votre compréhension.
Salem, merci pour l'info j'ai habité la radieuse qui malheureusement Aujourd'hui elle est en ruines alors qu'à l'époque on a reçu un prix pour son entretien (jardin, parking etc..). Continuer monsieur à nous informer c'est bon savoir, on ne mourra bête au moins. Cordialement
La France coloniale reconnaissante ayant tenu à rendre hommage à ses chefs militaires dans la toponymie des lieux, j'ai toujours cru qu'il s'agissait du nom d'un général à l'instar des Cavaignac, Randon, Saint-Arnaud, Lamoricière, Détrie, de Sonis, Montagnac et autres sinistres personnages. L'étymologie révèle décidément bien des surprises et pour une fois elle semble avoir été bien inspirée ! A ce propos, pour le premier nommé, les Oranais, dans leur grande majorité continuent à désigner la rue Chériet Ali Cherif, siège du CNED, centre national d'enseignement à distance, par cette appellation, par ignorance ou pire, par snobisme. Une biographie de ce militaire tristement célèbre par les crimes commis contre les ouled Riah dans le Dahra serait bienvenue et contribuerait à édifier la culture générale bien lacunaire de nos compatriotes oranais. Sur un autre plan, un terme jadis usité échappe à toutes les tentatives d'explication : bentiti ou batenti. Un impôt dont devaient s'acquitter nos ancêtres durant la colonisation et qui suscitait chez eux crainte et accablement. Nos voisins de l'ouest, du moins dans la province orientale, usent de la même expression, c'est dire que ce vocable a voyagé en gardant la même signification. Vos lumières seraient d'un grand secours pour connaître enfin l'origine de cette appellation tombée en désuétude de nos jours. Notre sincère admiration pour le remarquable travail d'archéologue des mots que vous faites pour donner un sens à des termes qui émaillent notre parler dialectal et celui d'Oran, si particulier et si étrange. Votre action démontre qu'Oran a ses valeureux fils qui conservent la mémoire de la ville et défendent son patrimoine culturel avec une passion et un enthousiasme jamais démentis qu'ils arrivent à faire partager.
شكرا على مجهودك لكن حبذا لو نتعلم كيف نتكلم بلغة واحدة بدل الخلط بين اللغتين العربية و الفرنسية. فلنتكلم اما بلغة عربية فصحى، أو عربية دارجة أو فرنسية 100 %. فهذا يجعل جيلنا و اجيالا قادمة لا تحسن أي لغة، زيادة على النرفزة في الكلام و الصوت المرتفع و عدم ترك المجال للآخر حتى يتكلم و يبدي رأيه. فلما نتحدث مع أناس من جنسيات و ثقافات و بلدان أخرى نلاحظ عند الكثير منهم هذه الفروق.
السي رشيد حاجة ما فهمتهاش الاولى علاش راك تهدر بالفور؟؟؟ الناس ماشي طرشين!!!! وزيد راك تهدر بلخف تقول واحد راه يجري موراك والا راك تحوس تقنع الناس بالحكاية تاعك.