Raoul Peck montre comment l’histoire officielle est le fruit du pouvoir 

Sur la colonisation de l'Algérie par les Arabes il y a aussi l'excellent "Dictionnaire du passé de l’Algérie" de Hassan Ramaoun qui revient sur les massacres des Berbères par les Musulmans.

Vous devrez vous pencher sur les conquêtes des Omeyyades, des Abbassides mais également celles qui ont précédé les Occidentales en Inde. Les Mongols, Tamerlan, Les Turcs et leurs ancêtres Seldjoukides, le Japon Impérial avec sa politique expansionniste des années 30 jusqu’à la capitulation de 1945. La Chine de Mao Zedong n’est pas en reste! Sans omettre les Khmers Rouges, et tant d'autres..... Il a eu et a encore des guerres ethniques en Afrique, il eu des empires Africains commettant des exactions pour asseoir leur domination mais également une traite intérieure. Ils ont été les complices de la traite Atlantique. A ce sujet, l'esclavage est malheureusement une histoire universelle. Vous en déplaise l'esclavage a été aboli par l'Occident. Ce narrateur sur une phrase extraite d’un livre, en fait un mantra obsessionnel justifiant tous les actes barbares qu'ils énumèrent de manière sélective et de facto au plus haut point idéologique. Il n’est en rien un historien trop d’approximations et d’erreurs dans ce documentaire très orienté, et c’est un euphémisme. Omission délibéré du génocide Arménien. Proférer dans son commentaire une ineptie incommensurable que le "génocide est le corollaire du progrès. Il a toujours eu des obscurantistes proférant des idéologies pernicieuses et hideuses dans toutes les cultures, c'est le lot du genre humain avec ses failles. La nuance s'impose et de manière sensible ! Il a eu des avancées sociales, technologiques et d'émancipation. Je vous conseille de lire avec une grande acuité le "génocide voilé" : au plus haut point didactique sur un pan de l'histoire humaine avec ses méandres et grandes aspérités étrangement occulté. Sachez que l'histoire humaine est par essence inhumaine comme disait Hobbes "L’homme est un loup pour l'homme".

Il n'est en rien un historien mais omet délibérément des pans entiers de l'histoire afin de se complaire dans une position victimaire. Sans omettre ses approximations, sa grille de lecture partisane et souvent sectaire. L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». À l’heure où il n’est question que de repentance à sens unique pour accabler l’homme blanc coupable de tous les maux, à l’heure où Macron salit l’œuvre civilisatrice de la France, assimilant l’épopée coloniale à un crime contre l’humanité, il est temps de changer de registre et de rappeler comment se sont comportés les Arabes au cours de leurs conquêtes. Les massacres et atrocités perpétrés par l’État islamique ne sont que la survivance des comportements barbares qu’ont eus les Arabes au cours de l’Histoire. Quand la force est du côté de l’Islam, c’est le retour du jihad conquérant. Car si la Shoah, ainsi que les génocides vendéen, arménien et cambodgien restent gravés dans la mémoire collective comme étant les atrocités les plus abominables de ces derniers siècles, peu de gens savent que les Arabes sont coupables du plus grand génocide de tous les temps. Il s’agit de l’invasion et de la colonisation de l’Inde. C’est en 632 que les Arabes lancent leurs armées à la conquête du monde, semant la terreur et la désolation sur les terres conquises. « On dispose aujourd’hui de sources non arabes pour décrire la réalité de ces invasions. Les chroniqueurs des pays conquis, Syriens, Byzantins, Perses, Égyptiens, Arméniens, contemporains de ces conquêtes parlent de « glaive barbare et sauvage des Arabes, dégainé et plein d’une cruauté véritablement diabolique ». Ou encore « l’armée dévastatrice des Arabes qui pillent les villes, qui mettent le feu aux maisons, qui tuent les hommes et qui emmènent les femmes et les enfants en captivité ». « Les Arabes saccagent et brûlent les villages… et se vantent de vouloir dominer le monde en imitant sans retenue leur chef Mahomet ». Mais c’est en Inde que la fureur du jihad s’est exprimée de la manière la plus barbare, les musulmans n’ayant aucune tolérance pour les religions polythéistes. En fait, la conquête de l’Inde a commencé avec les Arabes au VIIIe siècle, s’est poursuivie avec les Turcs et les Afghans et s’est terminée avec les Moghols au XVIe siècle, apogée de l’expansion musulmane en Inde. La conquête de l’Inde fut une colonisation génocidaire. « L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». « Les survivants étaient réduits en esclavage et les mâles castrés. La population indienne était initialement estimée à près de 600 millions d’individus. Vers le milieu du XVe siècle, elle était tombée à 200 millions ». Ce génocide a duré 800 ans, ce qui explique son ampleur. « La conquête de l’Inde par les mahométans est probablement l’épisode le plus sanglant de toute l’Histoire. Les historiens islamiques, les érudits, ont écrit avec la plus grande joie et fierté le massacre des Hindous, les conversions forcées, l’enlèvement des femmes et des enfants vers les marchés d’esclaves ainsi que la destruction des temples menée par les guerriers de l’islam entre les années 800 et 1700 après J.-C. Des millions d’Hindous furent convertis à l’islam par l’épée durant cette période. »

Il n'est en rien un historien mais omet délibérément des pans entiers de l'histoire afin de se complaire dans une position victimaire. Sans omettre ses approximations, sa grille de lecture partisane et souvent sectaire. L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». À l’heure où il n’est question que de repentance à sens unique pour accabler l’homme blanc coupable de tous les maux, à l’heure où Macron salit l’œuvre civilisatrice de la France, assimilant l’épopée coloniale à un crime contre l’humanité, il est temps de changer de registre et de rappeler comment se sont comportés les Arabes au cours de leurs conquêtes. Les massacres et atrocités perpétrés par l’État islamique ne sont que la survivance des comportements barbares qu’ont eus les Arabes au cours de l’Histoire. Quand la force est du côté de l’Islam, c’est le retour du jihad conquérant. Car si la Shoah, ainsi que les génocides vendéen, arménien et cambodgien restent gravés dans la mémoire collective comme étant les atrocités les plus abominables de ces derniers siècles, peu de gens savent que les Arabes sont coupables du plus grand génocide de tous les temps. Il s’agit de l’invasion et de la colonisation de l’Inde. C’est en 632 que les Arabes lancent leurs armées à la conquête du monde, semant la terreur et la désolation sur les terres conquises. « On dispose aujourd’hui de sources non arabes pour décrire la réalité de ces invasions. Les chroniqueurs des pays conquis, Syriens, Byzantins, Perses, Égyptiens, Arméniens, contemporains de ces conquêtes parlent de « glaive barbare et sauvage des Arabes, dégainé et plein d’une cruauté véritablement diabolique ». Ou encore « l’armée dévastatrice des Arabes qui pillent les villes, qui mettent le feu aux maisons, qui tuent les hommes et qui emmènent les femmes et les enfants en captivité ». « Les Arabes saccagent et brûlent les villages… et se vantent de vouloir dominer le monde en imitant sans retenue leur chef Mahomet ». Mais c’est en Inde que la fureur du jihad s’est exprimée de la manière la plus barbare, les musulmans n’ayant aucune tolérance pour les religions polythéistes. En fait, la conquête de l’Inde a commencé avec les Arabes au VIIIe siècle, s’est poursuivie avec les Turcs et les Afghans et s’est terminée avec les Moghols au XVIe siècle, apogée de l’expansion musulmane en Inde. La conquête de l’Inde fut une colonisation génocidaire. « L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». « Les survivants étaient réduits en esclavage et les mâles castrés. La population indienne était initialement estimée à près de 600 millions d’individus. Vers le milieu du XVe siècle, elle était tombée à 200 millions ». Ce génocide a duré 800 ans, ce qui explique son ampleur. « La conquête de l’Inde par les mahométans est probablement l’épisode le plus sanglant de toute l’Histoire. Les historiens islamiques, les érudits, ont écrit avec la plus grande joie et fierté le massacre des Hindous, les conversions forcées, l’enlèvement des femmes et des enfants vers les marchés d’esclaves ainsi que la destruction des temples menée par les guerriers de l’islam entre les années 800 et 1700 après J.-C. Des millions d’Hindous furent convertis à l’islam par l’épée durant cette période. »

Ce n'est clairement pas un documentaire historique et je doute que ça en ait la prétention, approximations historiques assez grotesques. Bien entendu c'est orienté vers une certaine tendance idéologique ce qui n'empêche pas de le regarder avec du recul mais dans l'ensemble on tombe, une fois n'est pas coutume, dans une forme de culpabilisation et de victimisation qui fait fi de réalités historiques. Il est dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'Histoire mais le changement paradigmatique qu'on opère ne va pas vers une déconstruction/reconstruction de la réalité mais vers une réécriture de l'Histoire. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

Vous devrez vous pencher sur les conquêtes des Omeyyades, des Abbassides mais également celles qui ont précédé les Occidentales en Inde. Les Mongols, Tamerlan, Les Turcs et leurs ancêtres Seldjoukides, le Japon Impérial avec sa politique expansionniste des années 30 jusqu’à la capitulation de 1945. La Chine de Mao Zedong n’est pas en reste! Sans omettre les Khmers Rouges, et tant d'autres..... Il a eu et a encore des guerres ethniques en Afrique, il eu des empires Africains commettant des exactions pour asseoir leur domination mais également une traite intérieure. Ils ont été les complices de la traite Atlantique. A ce sujet, l'esclavage est malheureusement une histoire universelle. Vous en déplaise l'esclavage a été aboli par l'Occident. Ce narrateur sur une phrase extraite d’un livre, en fait un mantra obsessionnel justifiant tous les actes barbares qu'ils énumèrent de manière sélective et de facto au plus haut point idéologique. Il n’est en rien un historien trop d’approximations et d’erreurs dans ce documentaire très orienté, et c’est un euphémisme. Omission délibéré du génocide Arménien. Proférer dans son commentaire une ineptie incommensurable que le "génocide est le corollaire du progrès. Il a toujours eu des obscurantistes proférant des idéologies pernicieuses et hideuses dans toutes les cultures, c'est le lot du genre humain avec ses failles. La nuance s'impose et de manière sensible ! Il a eu des avancées sociales, technologiques et d'émancipation. Je vous conseille de lire avec une grande acuité le "génocide voilé" : au plus haut point didactique sur un pan de l'histoire humaine avec ses méandres et grandes aspérités étrangement occulté. Sachez que l'histoire humaine est par essence inhumaine comme disait Hobbes "L’homme est un loup pour l'homme".

Il y a pourtant des cartels, des panneaux, des cartes, pour justement contrebalancer ces images forgées par les occidentaux. En outre, vous avez aussi la possibilité de suivre des visites flash entièrement gratuites avec des guides très compétents pour vous expliquer comment cette construction s'est faite :).

Pfff

Il doit exister des livres dans les bibliothèques..

@@fabien9375 je ne sais pas pourquoi tu t'identifie aux Américain. Être blanche ne fait pas de toi un Americain occidental. C'est stupide.

@@yoann2537 Désolé, je n'ai pas compris ?

Dans ce cas on parle de genre...

@@natha1386 pourquoi parler de genre pour parler de race humaine ?

Il n'y a qu'une seule race humaine.

Vous devrez vous pencher sur les conquêtes des Omeyyades, des Abbassides mais également celles qui ont précédé les Occidentales en Inde. Les Mongols, Tamerlan, Les Turcs et leurs ancêtres Seldjoukides, le Japon Impérial avec sa politique expansionniste des années 30 jusqu’à la capitulation de 1945. La Chine de Mao Zedong n’est pas en reste! Sans omettre les Khmers Rouges, et tant d'autres..... Il a eu et a encore des guerres ethniques en Afrique, il eu des empires Africains commettant des exactions pour asseoir leur domination mais également une traite intérieure. Ils ont été les complices de la traite Atlantique. A ce sujet, l'esclavage est malheureusement une histoire universelle. Vous en déplaise l'esclavage a été aboli par l'Occident. Ce narrateur sur une phrase extraite d’un livre, en fait un mantra obsessionnel justifiant tous les actes barbares qu'ils énumèrent de manière sélective et de facto au plus haut point idéologique. Il n’est en rien un historien trop d’approximations et d’erreurs dans ce documentaire très orienté, et c’est un euphémisme. Omission délibéré du génocide Arménien. Proférer dans son commentaire une ineptie incommensurable que le "génocide est le corollaire du progrès. Il a toujours eu des obscurantistes proférant des idéologies pernicieuses et hideuses dans toutes les cultures, c'est le lot du genre humain avec ses failles. La nuance s'impose et de manière sensible ! Il a eu des avancées sociales, technologiques et d'émancipation. Je vous conseille de lire avec une grande acuité le "génocide voilé" : au plus haut point didactique sur un pan de l'histoire humaine avec ses méandres et grandes aspérités étrangement occulté. Sachez que l'histoire humaine est par essence inhumaine comme disait Hobbes "L’homme est un loup pour l'homme".

@@patrickatlan3273, On parle de vous. Pourquoi chaque fois qu'on parle de vos crimes, vous tentez désespérément d'orienter le débat vers d'autres ? Moi, l'africain je m'inscrit en faux contre ces affirmations dont je vais vous faire la listes: - "L"homme, est un loup pour l'homme". - "Il n'y a pas de sot métier" - "Les états n'ont pas d'amis", etc ... Comprenez une fois pour de bon que des milliards d'individus ne pensent pas la même chose. En revanche, vous avez imposé cette vision à tous les sociétés au monde. Pour des gens qui conçoivent qu'il faut faire la guerre pour se nourrir, ces affirmations sont justifiées. Pour des peuples qui vivaient dans des grottes sur des terres remplies de glace (TROGLODYTE) ou la vie est rude comme l'occident et l'orient. C'est cette logique qui vous a poussé à conquérir la planète. L'Afrique territoire d'abondance ne l'a jamais fait. Certains diront que c'est à cause du monde de technologie. Ce qui est faux puisque l'Afrique échangeait avec les autres continents bien avant l'esclavage, et la colonisation. Pour ma part, il u=y a une ligne à ne pas franchir dans la barbarie, c'est le fait de mettre d'autres êtres humains dans des zoos humains. L'occident l'a fait. De plus, il s'enferme dans le déni de son passé, en essayant de se défausser sur la responsabilités des victimes. En quoi faisant ? En tentant de réécrire l'histoire pour se donner le bon rôle.

@@khoumaaziwa5163 Les faits ont toujours tort quand ils dérangent les aveugles patentés et de profession. Accepter "de voir ce qu'il voit" pour user de mots de Charles PEGUY. La vérité fait mal mais guérit du mensonge. Mais à la fin le réel l'emporte toujours. Les esprits fermés au doute sèment d'étranges certitudes et parfois sont les étendards des pires violences. Ouvrir les yeux sur le monde se fait souvent en se délestant d'un regard moral et abstrait sur l'inculture et la violence. L’idéologie politique et/ou sacralisée ne se soucie guère de la réalité historique. Au contraire, elle la détourne à des fins de propagande. Un trop grand nombre emmuré dans le déni, notamment une flopée d'idéologues se sont arrangés, à satiété, avec la réalité pour la faire coller à la pensée dominante. La connaissance a été ravalée au rang d'opinion, et le savoir au rang de la croyance. Une partie non négligeable de nos intellectuels ont été et sont encore sous l’emprise des idéologies essentialistes et englobantes qui raisonnent en termes binaires et éminemment religieux: le juste et l'injuste, le pauvre et le riche, etc., produisant des discours à connotation messianique et éloignés de la raison, qui devrait pourtant être leur socle. Une pensée qui censure le factuel et refuse le réel. Une conception tronquée et dévoyée des problématiques du terrain.

@@khoumaaziwa5163 Vous extrapoler avec un manichéisme désespérant et omettez les atrocités à grande échelle des conquêtes en Inde ayant précédés celle des Anglais. Sur l'esclavagisme qui est malheureusement une histoire universelle, lisez avec une grande acuité le "Génocide Voilé". Vous en déplaise, il fut aboli par l'Occident. En outre l'histoire humaine est par essence inhumaine, comme disait HOBBES : "L'homme est un loup pour l'homme". En ce qui concerne les conquistadors avec leurs nombreuses exactions aveuglés par une cupidité sanguinaire. C'est la variole qui fut l'alliée de conquistadors Espagnols. Ils l’introduirent et la propagèrent sans le vouloir. Sachez que cette maladie virale décima les incas. Elle provoqua l'une des pires catastrophes sanitaires dans le Nouveau Monde. Même erreur que dans le premier épisode sur l'origine de la racialisation de l'esclavage a tort attribué a tort à l'europe. quand au fait de trouver un problème au fait que les européens soient eurocentriques (ethnocentré) ça me fait doucement rire, vu que toutes les études sur le sujet prouvent que les blancs sont ceux qui sont le moins centrés sur leur identité raciale, et les noirs le sont le plus. Certains font de leurs problèmes existentiels des problèmes politiques. d'ailleurs il est en fait normal qu'un peuple soit centré sur lui-même et voit l'histoire de son propre point de vue. C'est pareil partout. Les japonais étaient par exemple persuadés d'être les descendants de la déesse amaterasu et d'être des demi dieux à une époque. De même l'auteur parle de "génocide amerindien" mais reconnait lui même que les indiens sont majoritairement morts de maladie. de ce fait le titre de "génocide" ne fait pas sens. un génocide c'est volontaire. Sinon a ce compte là les turques ont génocidé les européens en tuant plus de la moitié d'entre eux quand ils les ont contaminés avec la peste. Ce qui est arrivé aux indiens c'est un grand remplacement. Même chose avec les indiens d'inde qui ont subi l'islamisation avec une violence inouïe d'ailleurs, énormément de minorités ont disparu a ce moment et ça a aussi duré 500 ans. mais dans l'esprit afrocentré, le mal est blanc, et la valeur de la vie des peuples dépend uniquement de la couleur du bourreau du moment. En fait, il veut réécrire l'histoire et tombe dans les mêmes écueils que les inventeurs de récit qui l'ont précédé. Il se limite (volontairement ou naïvement) à aborder certaines périodes, certaines zones géographiques, certains peuples et surtout une certaine idéologie. Ça se regarde comme une histoire, mais c'est à remettre dans une multitude de contextes. Y compris son contexte à lui, héritier de l'Occident.

Je ne pense pas qu'en Europe beaucoup de gens contestent les crimes qui ont été commis par des européens il y a des siècles (c'est d'ailleurs cocasse de voir que monsieur Peck en tant qu'haïtien noir est lui même le descendant d'un remplaçant, certes forcé, des peuples amérindiens autochtones) Ce qui est très gênant c'est qu'en 2022 , les minorités sous menace d'éradication de leur propre terre le sont tous (Ouïghours, rohingyas, coptes chrétiens d'orient yezidis, tibétains ..) par des gouvernement ou des majorités dans des pays non-européens, et que cela ne semble par trop perturber nos 'wokes' Les wokes sont des névrosés qui cachent leur inculture derrière des 'vérités historiques' péremptoires et veulent faire oublier leur médiocrité en rabaissant l'autre pour pouvoir s'élever et occuper une place médiatique indue. Effectivement, personne ne conteste les crimes. Mais à y réfléchir, le mot même de "crime" semble impropre et dénote notre vision moralisatrice moderne. Les sacrifices humains chez les Aztèques, les massacres dûs à Attila étaient ils des "crimes"? On pourrait arguer que non car pendant des millénaires, ce fut... la norme. La paix comme norme et la guerre comme exception, c'est un phénomène extraordinairement récent

Une bonne technicienne ou un bon technicien, peu importe sa couleur, sinon vous faites la même chose que ce que vous pensez dénoncer.

Il y a bien eu Frédéric Lenoir, entre 2009 et 2016

On supprime la méritocratie républicaine en établissant des quotas pour faire plaisir aux minorités ethniques et on crache sur notre Histoire?..

@Bob Dessalines L'ascenseur social est un peu en panne ces dernières années pour autant il existe et arrive encore à marcher.. Ailleurs, il n'existe pas du tout ou à un prix que je n'aimerais pas payé.. Un certain nombre de personnes préférant aussi pleurer que de tenter de le réparer.. Et puis votre pays ne serait ce pas le Mali ?..

@Bob Dessalines Je ne suis pas du genre défaitiste.. J'ai horreur de cette mentalité..Et il y a aussi plein de témoignages qui nous prouvent le contraire.. Tout comme d'autres nous prouvent que la France n'ai pas ce qu'il est dit d' elle au Mali..Nb Vous n'êtes pas malien et je l'avais bien compris. Par contre ce que je vois c'est que vous soutenez des discours nationalistes et xénophobes.

Vive la Belgique et ses frites..Hugh 🍟

Un dimanche a Bamako, c'est le jour des mariages.

Ce n'est clairement pas un documentaire historique et je doute que ça en ait la prétention, approximations historiques assez grotesques. Bien entendu c'est orienté vers une certaine tendance idéologique ce qui n'empêche pas de le regarder avec du recul mais dans l'ensemble on tombe, une fois n'est pas coutume, dans une forme de culpabilisation et de victimisation qui fait fi de réalités historiques. Il est dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'Histoire mais le changement paradigmatique qu'on opère ne va pas vers une déconstruction/reconstruction de la réalité mais vers une réécriture de l'Histoire. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

@vero mescia. …De fait, mais ça s’avère encore mieux quand ils sont censés être du côté en question. 👌😉🤫

@@fabiengerard8142 oui c'est ce que je voulais dire mais j'ai peut être pas été assez claire

Bourgeoise seulement, pour "les blancs" comme vous les généralisez avec votre racisme éclatant, ils ne sont pas, comme "les noirs", généralisables à de stupides couleurs de peau : la plupart mouraient comme des gueux en travaillant 90 heures par semaine pour les autres, et tous avaient le même épiderme. J'espère que votre racisme vous fait honte.

Va parler du génocide arménien dans les médias turcs !!!

Vous devrez vous pencher sur les conquêtes des Omeyyades, des Abbassides mais également celles qui ont précédé les Occidentales en Inde. Les Mongols, Tamerlan, Les Turcs et leurs ancêtres Seldjoukides, le Japon Impérial avec sa politique expansionniste des années 30 jusqu’à la capitulation de 1945. La Chine de Mao Zedong n’est pas en reste! Sans omettre les Khmers Rouges, et tant d'autres..... Il a eu et a encore des guerres ethniques en Afrique, il eu des empires Africains commettant des exactions pour asseoir leur domination mais également une traite intérieure. Ils ont été les complices de la traite Atlantique. A ce sujet, l'esclavage est malheureusement une histoire universelle. Vous en déplaise l'esclavage a été aboli par l'Occident. Ce narrateur sur une phrase extraite d’un livre, en fait un mantra obsessionnel justifiant tous les actes barbares qu'ils énumèrent de manière sélective et de facto au plus haut point idéologique. Il n’est en rien un historien trop d’approximations et d’erreurs dans ce documentaire très orienté, et c’est un euphémisme. Omission délibérée du génocide Arménien perpétré par l’Empire Ottoman. Proférer dans son commentaire une ineptie incommensurable que le "génocide est le corollaire du progrès. Il a toujours eu des obscurantistes proférant des idéologies pernicieuses et hideuses dans toutes les cultures, c'est le lot du genre humain avec ses failles. La nuance s'impose et de manière sensible ! Il a eu des avancées sociales, technologiques et d'émancipation. Je vous conseille de lire avec une grande acuité le "génocide voilé" : au plus haut point didactique sur un pan de l'histoire humaine avec ses méandres et grandes aspérités étrangement occulté. Sachez que l'histoire humaine est par essence inhumaine comme disait Hobbes "L’homme est un loup pour l'homme".

Il n'est en rien un historien mais omet délibérément des pans entiers de l'histoire afin de se complaire dans une position victimaire. Sans omettre ses approximations, sa grille de lecture partisane et souvent sectaire. L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». À l’heure où il n’est question que de repentance à sens unique pour accabler l’homme blanc coupable de tous les maux, à l’heure où Macron salit l’œuvre civilisatrice de la France, assimilant l’épopée coloniale à un crime contre l’humanité, il est temps de changer de registre et de rappeler comment se sont comportés les Arabes au cours de leurs conquêtes. Les massacres et atrocités perpétrés par l’État islamique ne sont que la survivance des comportements barbares qu’ont eus les Arabes au cours de l’Histoire. Quand la force est du côté de l’Islam, c’est le retour du jihad conquérant. Car si la Shoah, ainsi que les génocides vendéen, arménien et cambodgien restent gravés dans la mémoire collective comme étant les atrocités les plus abominables de ces derniers siècles, peu de gens savent que les Arabes sont coupables du plus grand génocide de tous les temps. Il s’agit de l’invasion et de la colonisation de l’Inde. C’est en 632 que les Arabes lancent leurs armées à la conquête du monde, semant la terreur et la désolation sur les terres conquises. « On dispose aujourd’hui de sources non arabes pour décrire la réalité de ces invasions. Les chroniqueurs des pays conquis, Syriens, Byzantins, Perses, Égyptiens, Arméniens, contemporains de ces conquêtes parlent de « glaive barbare et sauvage des Arabes, dégainé et plein d’une cruauté véritablement diabolique ». Ou encore « l’armée dévastatrice des Arabes qui pillent les villes, qui mettent le feu aux maisons, qui tuent les hommes et qui emmènent les femmes et les enfants en captivité ». « Les Arabes saccagent et brûlent les villages… et se vantent de vouloir dominer le monde en imitant sans retenue leur chef Mahomet ». Mais c’est en Inde que la fureur du jihad s’est exprimée de la manière la plus barbare, les musulmans n’ayant aucune tolérance pour les religions polythéistes. En fait, la conquête de l’Inde a commencé avec les Arabes au VIIIe siècle, s’est poursuivie avec les Turcs et les Afghans et s’est terminée avec les Moghols au XVIe siècle, apogée de l’expansion musulmane en Inde. La conquête de l’Inde fut une colonisation génocidaire. « L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde ». « Les survivants étaient réduits en esclavage et les mâles castrés. La population indienne était initialement estimée à près de 600 millions d’individus. Vers le milieu du XVe siècle, elle était tombée à 200 millions ». Ce génocide a duré 800 ans, ce qui explique son ampleur. « La conquête de l’Inde par les mahométans est probablement l’épisode le plus sanglant de toute l’Histoire. Les historiens islamiques, les érudits, ont écrit avec la plus grande joie et fierté le massacre des Hindous, les conversions forcées, l’enlèvement des femmes et des enfants vers les marchés d’esclaves ainsi que la destruction des temples menée par les guerriers de l’islam entre les années 800 et 1700 après J.-C. Des millions d’Hindous furent convertis à l’islam par l’épée durant cette période. »

Ce n'est clairement pas un documentaire historique et je doute que ça en ait la prétention, approximations historiques assez grotesques. Bien entendu c'est orienté vers une certaine tendance idéologique ce qui n'empêche pas de le regarder avec du recul mais dans l'ensemble on tombe, une fois n'est pas coutume, dans une forme de culpabilisation et de victimisation qui fait fi de réalités historiques. Il est dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'Histoire mais le changement paradigmatique qu'on opère ne va pas vers une déconstruction/reconstruction de la réalité mais vers une réécriture de l'Histoire. La traite des Noirs d'Afrique par le monde arabo-musulman a duré 13 siècles. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l'Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux... Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l'Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l'islam permettait d'échapper à l'esclavage, mais n'a pas épargné les Noirs. Toutefois, de nos jours la majeure partie de l'Afrique est devenue musulmane, d'où une forme de fraternité religieuse entre le côté "blanc" et le côté "noir" du continent, et une volonté commune de "voiler" ce génocide Esclavage invisible, parce que les historiens et autres « intellectuels » n’ont eu de cesse, pendant longtemps, de minimiser l’importance de l’esclavage pratiqué par les musulmans, voire de le dédramatiser (!!!), démontrant une fois de plus que « l’histoire n’est bien souvent qu’une projection sur le passé des débats politiques contemporains ». Pourtant, « la proportion d’esclaves européens représentait un quart de la population d’Alger, ville dont l’existence s’est fondée sur la piraterie et l’esclavage.» Toutes les villes du Maghreb ont fondé leur prospérité sur la traite des esclaves chrétiens majoritairement européens. Plus d’1 million de chrétiens (dénombrement très lacunaire) ont été capturés, soit au cours de razzias sur tout le littoral méditerranéen (Italie, Espagne, France), soit au cours d’attaques de navires marchands ou militaires. Les trois quarts étaient des marins et des paysans pauvres. Tout comme les esclaves noirs dans le Nouveau Monde, les esclaves blancs étaient vendus aux enchères comme du bétail, parfois pour le prix d’un oignon. Si les plus fortunés pouvaient espérer être libérés contre une rançon, les autres, notamment ceux qui se retrouvèrent galériens, ont dû endurer des années d’asservissement, d’humiliation et de conditions de captivité inhumaines : 1/6 des esclaves capturés mourait chaque année. Car contrairement aux affirmations des historiens - naïfs ou très malhonnêtes - les propriétaires d’esclaves ne protégeaient leurs investissements en attendant un éventuel rachat par les familles, mais se comportaient, à l’égard de cette main d’œuvre d’origine modeste, bon marché et remplaçable, comme les esclavagistes du Nouveau Monde : à savoir qu’ « il est plus facile de remplacer un esclave mort que de le considérer comme un investissement ». Toutefois, une partie de ces captifs pauvres purent être rachetés grâce aux opérations de rédemptions organisées par les différents ordres religieux chrétiens, au prix de nombreuses collectes, taxes, etc… Pour les pays concernés, ces sommes, déboursées pour le rachat des esclaves et pour les fortifications rendues nécessaires par les raids côtiers incessants, pesèrent en termes d’investissements perdus, de projets de développements annulés. Les raids esclavagistes ont provoqué la désertification des littoraux, la ruine de villages entiers et l’impossibilité de faire fructifier un territoire. Non seulement les corsaires esclavagistes enlevaient durablement les forces vives d’un pays, mais « ils modifiaient les rapports de propriétés à l’intérieur d’une communauté » : en effet les familles victimes de ces raids, souvent autosuffisantes devenaient du jour au lendemain privées de revenus, appauvries et vulnérables.

un avis anonyme, quel courage. Le racisme est bien une invention du "monde blanc" dont je suis une composante. La xénophobie, la domination, la guerre, font effectivement partie de l'histoire de hommes. Mais la théorie raciste, d'une race supérieure aux autres, est bien la construction de certains européens, ne pas voir l'évidence entretient la gangrène.

mauvaise foi de voir une vérité différente de votre conditionnement, quand 99% de l'histoire est tjrs racontés à sens unique, là ça chiale... "yen à ""qui confonde la supériorité militaire à la supériorité intellectuelle"" va donc écouter daftpunk 5555 le film au complet, c'est exactement sa qui ce passe dans la sphère musicale(hors sujet mais meme principe)..sa fais du bien de voir des choses différentes, tanner de voir 200 films de Juif qui meurt mais aucun film de Napoléon qui massacre autant de gens que les allemands.