Je viens de terminer ma lecture du fabuleux roman. Il fait dire que cette lecture m'a complètement troublé. Moi même jeune et ambitieux, je me suis complètement calqué sur tancredi jusqu'à me prendre la claque de ce chapitre ainsi qu'une deuxième lors de la mort du prince. Quel angoisse que de faire fasse à la mort droit dans les yeux. Ce chef d'œuvre m'a forcé à fixer l'écoulement de la vie jusqu'à ce que l'orage ce calme et qu'il ne reste plus que le néant.
Je l’ai revu hier, en pensant à votre commentaire. La performance de l’acteur est magnifique. Cette dernière scène est apaisante. Un bon modèle pour des exercices spirituels à venir.
Très belle voix, apaisante devant un tel sujet. Comme j'aime bien, je vais écouter vos autres publications, pour chercher l'inévitable suite : en regardant sa propre mort en face (la mienne n'est plus très éloignée, je la distingue mieux maintenant en contrejour de la vie), comment est-il suggéré de regarder la vie, passée mais surtout à venir, quels sont les ressorts qui permettent d'éviter de sombrer dans le cynisme au delà de l'instinct de survie ? Merci encore.
Magnifique analyse de la mort bien des choses de ce que vous dîtes sont Veridict on analysera jamais assez la mort inévitable La seule chose qui est certaine c est que nous tous on y passera Votre voix est apaisante Et nous donne l envie de vous écouter jusqu'à la Fin merci
Tout est relatif dans cette description cinématographique, que je retiens un peu fantaisiste, qui néglige une grande partie de la culture sicilienne, mais que l'on retrouve chez Les Lions de Sicile de la famille Florio qui incarne le vraie sens de la vérité dans le déploiement culturel que la Sicile a hérité par son passé, et qui a ce jour , en garde une très grande partie de ses valeurs ancestrales qui reste la matrice de cet esprit, ainsi que le socle sur lequel repose cette île aux différents aspects énigmatiques. Aurelio Lucrezio