Un très grand merci à vous Sibylle pour cette très belle interprétation de Louise. vous avez une voix magnifique.j adoreeeeeeeeee. encore un très grand merci à vous.une pensée pour Richard.🌹🌹🌹❤️❤️❤️🌻🌻🌻
j'ai enfin compris comment Dieu réglait toutes les douleurs à cette époque ( par l’interprétation d'une femme) cette chanson m'a toujours parlé et je sentais qu'il fallait y entendre et comprendre une époque !!! Je comprends mieux le monde de ma grand-mère . J'adore cette chanson et vraiment bravo Sibylle ! quelle audace ....un grand hommage a MONSIEUR Gérard BERLINER
C'était une époque difficile et encore plus pour les femmes de cette période, mais les femmes nous ont énormément appris sur la résilience, ces femmes qui ont su lutter silencieusement et qui ont su évoluer malgré la mysoginie, aujourd'hui je suis dévasté de voir ce qu'il ce passe en France...
Magnifique version Sybille ! cette chanson tu lui apporte ta couleur, ton timbre, ta griffe artistique. En ces images noires et blanches, claires obscures. un Hymne à une Femme, à Louise. Gérard doit entendre, encore, autrement. Les oeuvres ne meurent jamais et vivent de quelques façons que ce soit. Là, mélodieuse, conteuse d'une histoire. MERCI !!!
Une remarquable interprétation mise en valeur par cette voix expressive et émouvante. Une émotion à laquelle on n'échappe pas ! Un drame malheureusement assez courant...
Sublime interprétation de Sibylle Lievois que je ne connaissais pas du tout . Moins d’émotion que la version de Berliner mais tellement crédible et touchante . Bref , magnifique !
Brigitte, Cette chanson m'a marqué au fer rouge de telle sorte que je n'oublierai jamais que c'est une femme qui m'a fait naitre. J'ai tellement à apprendre des femmes, qu'il me faudrait vivre éternellement...
Sans donner dans le pathos, on ferait bien d'enseigner cette chanson à notre "" belle jeunesse "" Et bravo à cette belle interprète pour son talent qui mériterait tant d'être mis en avant.
C'est une merveilleuse version; Mais juste pour l'histoire qui se répète, allons voir celle de la majorité de nos élus quant à leur engagement physique et notamment celle du père du Label rouge pour la viande(Un ministre!!!) ,le député Rochereau. Merci.
merci pour l'hommage rendu a gerard berliner cette chanson parle de tous ces jeunes parti et que beaucoup de louises ont attendu mais il ne sont pas revenus que de souffrances ces gerres et pourquoi?
Je ne te connaissais pas....mais j'avoue que ton interprétation n'est pas mauvaise... pour moi cette chanson représente mon côté triste...et quand je ne vais pas bien j'aime l'écouter... alors merci.
louise d berliner on l a entendu naitre cette chanson he oui suis un vieux la mome fait ce qu elle peut mais cette chanson de berliner ne peut etre chantée que par berliner et puis c est tout
J'ai une maquette de 3 chansons inédites de berliner qui était un ami proche 2 chansons écrites par aznavour jamais interprètes je les avais proposés gratuitement je connaissais son inpressario si ça vous intéresse appelez moi
Trop belle, trop pure, pas assez pute pour être validée par le système.. moi je t'aime sans arrière pensée c'est le plus important à mes yeux, à mes oreilles
"Mais qui a soulagé sa peine Porté son bois, porté les seaux Offert une échappe de laine Le jour de la foire aux chevaux Et qui a pris soin de son âme Et l'a bercée dedans son lit Et qui l'a traitée comme une femme Au moins une fois dans sa vie Le bois que portait Louise C'est le Bon Dieu qui le portait Le froid dont souffrait Louise C'est le Bon Dieu qui le souffrait Ce n'était qu'un homme des équipes Du chantier des chemins de fer À l'heure laissée aux domestiques Elle le rejoignait près des barrières Me voudras-tu, moi qui sait coudre Signer mon nom et puis compter L'homme, à sa taille, sur la route Passait son bras, la promenait Et l'amour qui tenait Louise C'est le Bon Dieu qui le tenait Le regard bleu sur Louise C'est le Bon Dieu qui l'éclairait Ils sont partis vaille que vaille Mourir quatre ans dans les tranchées Et l'on racontait leurs batailles Dans le salon après le thé Les lettres qu'attendait Louise C'est le Bon Dieu qui les portait La guerre qui séparait Louise C'est le Bon Dieu qui la voyait Un soir d'hiver sous la charpente Dans son lit cage elle a tué L'amour tout au fond de son ventre Par une aiguille à tricoter Si je vous garde, Louise, en place C'est en cuisine, pas devant moi Ma fille, priez très fort pour que s'efface Ce que le curé m'a appris là Et la honte que cachait Louise C'est le Bon Dieu qui la cachait Le soldat qu'attendait Louise C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber Y a cinquante ans, c'était en France Dans un village de l'Allier On n'accordait pas d'importance À une servante sans fiancé Le deuil qu'a porté Louise C'est le Bon Dieu qui l'a porté La vie qu'a travaillé Louise C'est le Bon Dieu qui l'a été."