Je passais devant tout les matins pour aller à l'école Emile Ternois, par la rue du haut. On faisait tout pour éviter la boue, les camions qui nous éclaboussés, le tapis roulant qui transporté les pulpes et qui goutaient sur la route et les trottoirs. Et puis cette odeur que j'ai encore en tête, 50 ans plus tard...