TOP de vacances, subjectif et biaisé, pour se mettre des objectifs d'apprentissage dès la rentrée. Tchao ! #learnlanguagesonline #langues #esperanto #latin
l'inconvenant du norvégien c'est que la langue est peu standardisée, très dialectale et comprend deux normes écrites, elles mêmes tolérant de nombreuses variations. Mais l'avantage de la grande variation dialectale c'est qu'il est toujours possible de trouver des dialectes plus facilement prononçables pour un francophones. Autant les dialectes du Trøndelag ou du Setesdal sont compliqués, autant ceux de Bergen, Stavanger ou Kristiansand sont très facilement prononçable pour nous, il en va de même pour le suédois parlé en Scanie, et même celui de Finlande qui a une prosodie assez proche du français. En terme de prononciation, je mettrais aussi l'hébreu dans les langues faciles d'accès pour un francophone, ainsi que l'ukrainien. Après des années à galérer pour avoir un anglais et un norvégien correcte à l'oral, c'est un plaisir d'apprendre l'ukrainien et de pouvoir rapidement le prononcer sans torturer les muscles de sa bouche.
Beau témoignage ! Assez d'accord pour l'avantage et la flexibilité qu'apporte une grande variation dialectale ! En plus du fait que les interlocuteurs soient plus tolérants aux écarts de prononciation ce qui peut aussi être un plus !
Tu aurais pu franchement parler du persan, langue indo-européenne à la riche littérature, parlée en Iran , en Afghanistan et au Tadjikistan, dans les républiques turcophones voisines de façon variable. La prononciation est aisée, la grammaire itou, avec comme principale difficulté la maîtrise de l'alphabet arabo-persan et la présence d'une grande quantité de mots importés de l'arabe, ce qui nuit à la cohérence du vocabulaire mais procure un marche-pieds vers l'arabe ultérieurement.
Assez d'accord, mais par rapport aux autres langues évoquées ici le système d'écriture est un frein à l'accessibilité au départ. Vâli dorost-é zabân-é-fârsi kheyli zibâ vo sarvamand-é. (Pour évacuer la difficulté scripturale haha).
