Démystifions les langues, anciennes comme modernes - rien de compliqué, en vérité ! Tu es ici sur la chaîne qui parle de langues, de leurs particularités, et de la richesse (un mot germanique) linguistique de cette petite planète (hop un mot grec). Une vidéo toute les deux semaines plus deux LIVES où on fait de l'étymologie sauvage (tu peux venir et demander n'importe quel mot, on tâchera du trouver d'où il vient et d'expliquer comment il a évolué).
Est-que tu pourrais faire une vidéo sur les Ligures? Je suis italien, et j'habite dans la region italenne qui prend son nom de ce peuple. (Pardon pour mon français "scolaire")
Tout d'abord excellent français, pourquoi pas l'année prochaine, ce sont des peuples qui m'intéressent beaucoup mais j'ai beaucoup à apprendre avant d'en parler !
Je connais pas le Russe mais le gros avantage de la prononciation allemande sur la prononciation française c'est que presque toujours toute les lettres se prononcent et presque toujours de la même façon. D'ailleurs pourquoi le français a t il autant de règles et d'exception de prononciation par rapport aux autres langues européennes porches ?
globalement le facteur déterminant c'est la volonté de réprésenter un état antérieur du mot par la graphie, "graphie étymologique", avec une norme qui s'établit en se basant beaucoup sur l'état latin.
Moi je dirais, juste en pensant à la façon dont il est prononcé actuellement, qu'il pourrait avantageusement évolué en habre. Avec le h pour donner l'idée d'un a long
Patati patata, la masturbation d'un type qui ne veut pas voir la réalité : l'usage de mots anglais désigne des traitres, des incultes, des paresseux et surtout des individus qui croient être "moderne", appartenir à la néo-aristrocratie mondialiste (qui les méprise et les utilise), être libre car dégagés de l'appartenance nationale.
Excuse-nous Gérard, d'être des traîtres à ta nation quand on utilise le mot "boss". J'imagine que ceux qui achètent du beurre de cacahouète sont des scélérats à supprimer aussi. J'ai rarement vu un commentaire aussi idiot et outrancier pour un sujet qui, quoi que tu en penses (et apparemment pas grand-chose de notable ou d'intelligent), est causé par énormément de facteurs et présente une grande variété de nuance dans sa réalisation. Mais il est plus facile de traiter les autres d'incultes quand on l'est soi-même, je suis bien d'accord avec cela et vous emprunte le procédé. En vous souhaitant a good day.
@@quidneuf Réponse classique d'une petite chose de la troisième catégorie susdite. Vous ignorez tout de mon imprégnation et de mon univers culturel et votre réponse, que vous croyez être une saillie originale, n'est que redite creuse, mille fois lue, en revanche votre prédictibilité et un signe qui trompe rarement. "boss" dites-vous, justement vous en avez un, moi pas, jamais : ni Dieu, ni maître !
@couvertgerard7742 je n'en ignore pas tant, car un véritable anarchiste ne fustige pas les autres de traîtres, un fielleux ayant la soixantaine et se rêvant pour un Brassens ou un Ogeret alors qu'il n'est au mieux qu'un Clavier, oui. C'est ton commentaire que tu penses avoir quelque vérité qui n'est qu'une redite de tous les plateaux télé depuis Sabatier. Alors pour le procès d'originalité on repassera. Mais quand tu insultes tous les francophones (et toi-même car ta culture français au vu de tes opinions rancies dès l'époque de Platon ne semble pas aussi brillante que tu ne le penses, et tu utilises tout autant des anglicismes que tout autre). À ta différence j'ai quelques respects pour les véritables penseurs anarchistes et ta réponse me désole tout autant qu'elle les navrerait.
Le "problème" des anglicismes ce ne sont pas ces anglicismes en eux-mêmes car ce ne sont que des mots, du vocabulaire principalement. Le problème c'est la tendance qu'ils suggèrent : un pays (ses habitants) qui ne croit plus trop à sa langue "historique" et tend à adopter une autre langue dite plus puissante, moderne, universelle, belle etc. Il suffit de regarder la tendance, depuis par exemple les années 60 et se projeter dans une cinquantaine d'années... car c'est un phénomène très progressif et sournois. Comparer la situation actuelle avec la place du français outre-Manche de 1066 au 15ème siècle est totalement absurde... pas du tout les mêmes civilisations, technologies... Une langue ça vit et ça meurt
Tendre à adopter une langue plus puissante, etc. C'est ce qu'on fait les anglo-saxons dès 1066 avec le français. Donc c'est un juste retour des choses, non ? Personnellement, je suis plus inquiet du désamour de notre langue en ce qui concerne l'écrit. Car combien se moquent du respect des règles les plus élémentaires de la syntaxe ? A l'oral, c'est autre chose. Le français emprunte à l'anglais mais pas seulement. Et c'est tout à fait acceptable finalement. Du moins, c'est ce que je pense.
Merci d'avoir fait un bon video en explicant les raisons pourquoi la langue française est championne. Pour moi c'était évident. En plus, d'avoir un bon vocabulaire en anglais sont souvent mots francaises, e.g. begin/commence (commencer), next to/juxtaaposition, macabre, mobid...Vive la france :)
D'après la plupart des linguistes, les emprunts au français ont été plus massifs après la guerre de 100 ans, au moment même où le français perd son status de langue royale. Il y a eu un bilinguisme continu des élites anglaises jusqu'à la deuxième guerre mondiale. D'ailleurs, les calques humoristiques abondent en anglais. Par exemple, il est évident que «It goes without saying» est une traduction littérale de: "il va sans dire", qui rappelle ce livre: "Sky my husband" qui s'amusait à faire des traductions littérales. Une autre expression que je trouve fascinante est: "force brute" devenue en anglais "brute force", là aussi une traduction littérale (brute n'est pas un adjectif en anglais), que les informaticiens français emploient tel quel sans jamais s'interroger sur l'étrange ressemblance avec la forme française d'origine. Je me suis même fait reprendre un jour par un informaticien, agacé que je dise: «force brute», alors que m'a-t-il expliqué c'était de l'anglais... Je n'ai toujours pas compris l'origine de son agacement.
@@quidneuf Dans mon milieu, je suis chercheur en IA (je suis informaticien et linguiste), c'est à un point où les gens finissent par parler une langue totalement hybride souvent incompréhensible pour les néophytes. C'est au point que certains ne sont plus capables de parler français du tout. J'ai un collègue qui passe son temps à me demander comment on dit telle ou telle expression en français, alors qu'il est français et qu'il n'a quasiment jamais vécu ailleurs qu'en France, à part un séjour de six mois en Californie. Je n'arrive plus à savoir si c'est du snobisme ou s'il a vraiment réussi à perdre sa propre langue sans avoir jamais vraiment bougé de son propre pays. C'est une véritable énigme pour moi.
@@lesfreresdelaquote1176 Dans sa tête il a fait la bascule (selon son jargon : "il a switché"), pour lui le français est une langue obsolète et encombrante du passé, l'anglais la langue du présent et du futur. Qu'il refoule ou efface même de sa mémoire le français pour laisser place à l'anglais est donc logique. Sans nul doute que sa consommation culturelle (cinéma, séries, musique) est du même ordre : tout en anglais... Je constate qu'à Paris l'affichage public tend (progressivement) à être strictement bilingue français-anglais, voire monolingue en anglais. Je l'ai même constaté dans un très grand cinéma qui vient de réouvrir après rénovation.
@@jandron94 Il me fait surtout penser à ce passage dans Pantagruel où Pantagruel rencontre un étudiant qui s'exprime dans une langue incompréhensible, où le latin se mélange au français au point qu'il lui faut un interprète pour le comprendre.
Le problème ce n'est pas les emprunts étrangers, c'est les emprunts transparents, sans effort de se les réapproprier dans notre langue car le français est une langue trop rigide encore. En espagnol, ils n'hésitent pas du tout à hispaniser leurs emprunts (Futbol et nous football). Il faudrait généraliser l a francisation qui existe déjà dans notre langue, comme le témoigne "tupéroire" qui est une francisation de l'anglicisme "tupperware" La cohérence orthographique et esthétique du français et sa vitalité méritent largement qu'on commence à franciser les anglicismes.
La bascule d'une partie de la population vers l'anglais comme langue maternelle se fera de toute façon avant une éventuelle francisation Il faudrait vraiment mener des études poussées sur cette anglicisation de la populatuon et mesurer sa progression. Sujet assez tabou car l'anglais est perçu par beaucoup comme la langue du progressisme (au sens large) universel, c'est un marqueur politico-social. Il existe encore des digues "naturelles" à l'anglicisation en France : école obligatoire en français, services publics en français... mais ces digues pourraient fort bien sauter d'ici la fin de ce siècle...
Dommage que les sous-titres ne soient pas tout le temps présent, et que ce ne soit pas réellement des sous-titres, mais des sur-titres puisque en haut de l’écran, n’arrêtant pas d’être masqué lors de l’apparition d’une notification sur mobile. Sinon très intéressant.
How about those two abortions which have crept back into English, "nom de plume" and "cul de sac". Yes, we really p[ut up signs throughout the UK saying a short road is the arse of the ballbag !
Which is funny because in belgium and france it would be inappropriate to write it officially, instead they use IMPASSE, or VOIE SANS ISSUE. Actually a lot of the french/norman loanwords in english could be labelled as "luxury loanwords" which is a category of loanwords that is both non necessary and bears more prestige in contrast with the already used words. And that make it even more funny that we could (even if debatable for this one) classify "cul de sac" within this *Luxury loanwords* category haha.
Je remarque le formidable 'mythes et épopée' du grand Dumézil sur ton étagère ! En outre, les langues d'Asie de l'est n'ont rien à envier de la relation entre le français et l'anglais : comme ce sont les chinois qui ont introduit leurs systèmes d'écriture en Corée et au Japon au Ve siècle, près de 70% du vocabulaire coréen et japonais est ultimement sinon chinois au moins largement sinisé. Le Chinois ayant joué pour ces deux culture un rôle analogue à celui tenu par le latin en Europe durant le moyen-âge.
Naja ich stimme zu insofern deutsch ist nicht super schwierig aber man muss auch zugeben dass Englisch und Spanisch viel einfacher für Franzosen sind, oder ?
iya un mois quelqu'une qui habite à Lyon parle de la "place d'hétéros" à cette ville. ce qui me rendt confuse. je découvris ensuite qu'on l'écrit différemment. 😅
Grâce à l'intonation similaire, i est relativement facile pour les francophones européens (moins les canadiens car i ont une intonation un peu différente) à apprendre ma langue paternelle.
Ça fait des kilomètres si on se trompe de drapeau en effet. Mais oui souvent la bahasa indonesia est classée dans les seules langues non indo-européennes relativement facile à apprendre pour les francophones. Mais de fait je ne connais personne qui l'ait apprise.
@@quidneufoui c'est étonnant comment beaucoup de francophones qui apprirent l'indonésien n'ont pratiquement aucun accent étranger. je peux t'apprendre si tu veux. 😊
Ouii, super vidéo ! Et très heureux d'avoir travaillé avec toi (même si ça ne se voit pas sur cette vidéo). Ca me fait penser qu'il existe, pour les langues romanes, pas mal d'approches didactiques permettant de favoriser l'intercompréhension entre ces langues. La plupart du temps ces approches sont destinées aux locuteurs natifs de langues romanes, car il est nécessaire, pour développer sa faculté à l'intercompréhension, de bien connaître au moins l'une de ces langues. Mais si je me souviens bien, l'une d'entre elles, focalisée sur la lecture, permettait de partir de l'anglais : EuroComRom - The Seven Sieves: How to read all the Romance Languages right away. Et c'est entre autres parce que l'anglais dispose, avec tous ces mots et morphèmes issus du français, normand, latin, d'une bonne porte d'entrée vers les langues romanes !
I can absolutely attest that these things happen. Plenty of these mistakes in in my own videos. Feels awful, but ultimately not a biggie. Definitely going to look up "epiphora" now though! :D
Delight to work with you on this! (I feel I've said that a lot over the past day or two, but it's very true.) This video was always going to be the hardest of the three - what with the language difference and our differences in style and approach to videos, but I'm glad to see it's paid off well! Still, I love a challenge, so if ever either of us has an idea for a video together in future, I'd love to work with you again and see if we can mesh even better! :D
Si on considère la situation linguistique de la France au moment de l'instauration de l'instruction publique obligatoire, disons, à la veille de la première guerre mondiale, le français était essentiellement la langue de la bourgeoisie des villes, alors que, dans une France encore très largement rurale, le peuple des campagnes, voire des bourgs, parlait la langue locale, généralement non normée. Alors que les enfants des familles bourgeoises apprenaient tout naturellement à lire et à écrire dans la langue parlée à la maison, des millions d'autres enfants recevaient un enseignement dans une langue qui n'était pas la leur et étaient punis et humiliés quand ils étaient pris à parler leur langue en classe ou en cour de récréation. Il a existé, à la fin du 19e siècle, (du moins en Bretagne, et probablement ailleurs) des méthodes pour apprendre aux enfants à lire et à écrire en même temps la langue locale et le français. Ces méthodes ont été utilisées dans les écoles catholiques, et il aurait été aisé de les adapter à l'enseignement public, mais la politique linguistique de l'état a toujours été l'usage exclusif du Français. Il y a eu dans le premier tiers du 20e siècle plusieurs propositions de loi pour l'enseignement de la langue locale à côté du français, la plupart portées par des députés des pays d'Oc. Ces propositions se sont toujours heurtées à une fin de non recevoir de la part de l'état central, dont la politique a toujours été, non seulement l'apprentissage par tous du français, langue commune, ce que (presque) personne ne contestait, mais également l'erradication de toute la diversité linguistique du pays en dehors du français, langue de la bourgeoisie et du pouvoir.
Je provoque une dissimilation comme en italien du premier _r_ en _l_ mais ce dernier se vélarise devant une consonne, se vocalise et enfin, il y a monophtongaison. arbre > aubre Ce que je n'avais pas prévu, c'est que le mot tombe en désuétude, remplacé par _chêne_ qui prend un sens plus large.
Je dirais juste un “arbe” (à ne pas confondre avec une certaine communauté 😆). On dit bien une “arbalète” (une petite “arbe”? 😅) et du coup, un arbisseau. 😁👍
C'est un changement dont on a des traces car les grammairiens en ont parlé, et cela se serait diffusé depuis les hautes sphères parisiennes à partir du XVIII ème siècle au moins. Quant à l'explication des causes il y a plusieurs hypothèses, pour certains c'est l'influence de l'anglais pour d'autre un développement du français (l'albanais et d'autres langues a connu le même genre de phénomène par exemple). Ceci dit le R roulé a été conservé en France dans beaucoup d'endroits jusqu'à le seconde moitié du XXsiècle et reste pratiqué encore bien que fort minoritaire aujourd'hui
En latin le son "Iks" de la lettre X n'existe pas il est prononcé C, il y a que le francais qui le prononce "Iks"!!! , preuve en est le son Iks (X) n'existe ni en italien ni en espagnol, c'est pourquoi "Alexandre" devient "Alessandro" en italien et" Alejandro" en espagnol. Je crois que la lettre X du latin retranscrit juste le son de la lettre C en fin de mot. Le mot Luxe c'est Lujo en espagnol et Lusso en italien !!... Le son X est typiquement français (et anglais via l'influence francaise) dans les autres langues la lettre X n'existait pas. Comme la lettre W est typiquement germanique et n'existait ni en français ni en latin.
Et pourtant si, preuve en est qu'on disait Alexander en latin, ce qui retranscrit le Ksi du grec. Ce sont l'italien et l'espagnol qui ont fait évoluer le son.
Vous voulez parler le latin à partir du français, ce qui est une aberration !! c'est pour cela que vous prononcez le X de luxe iks, un espagnol aurait prononcé "luche".... Rien n'atteste que le X latin était prononcé Iks comme en langue francaise, vu que c'est une langue morte et seulement réapprise selon le langage premier des nouveaux locuteurs avec leur propre back ground linguistique, même le meilleur linguiste et grammairien en latin de nos jours ne saurait parler exactement le latin avec sa vraie prononciation originelle. C'est comme apprendre le chinois ou l'arabe en se basant sur la prononciation française !!.... Le son X étant étranger à l'Italien et l'espagnol est une preuve manifeste que le X français et différent du X latin.
Mon père fait de l’élevage de pigeons (poulets, canards, lapins) depuis des décennies pour les manger. 😆 PS: il y a quelques années, un oncle à moi qui habitait dans un petit village dans les montagnes du Portugal (à côté de Chaves) faisait de l’élevage de cochons d’Inde pour les bouffer aussi. 😆🇵🇹
PS: dans les années 80, quand j’avais 10 ans, une fois j’ai ramené un pigeon qui avait une aille cassée à la maison pour essayer de le soigner. Et le soir, il était dans nos assiettes. 😢🍽
Vas regarder les vidéos d'Impératrice Wu. J'aime bien sa chaîne et son contenu, mais les intonations me sortent parfois pas les yeux. C'est exactement ce que tu décris !
le patois de nos régions , c'est pas mal non plus ! en plus , on a des fois des concepts vernaculaires qui n'existent pas dans les langues véhiculaires ( en lorrain roman , il y a les concept de l'imparfait proche et lointain pour deux actions passées identiques mais pas simultanées ) .
@@quidneuf je suis enseignant chercheur maître de conférences à l'université en linguistique. J'ai préféré ne pas répondre à ce que vous dites dans votre vidéo car il y a beaucoup trop d'erreurs.
@@quidneufdéjà un point, on parle du latin vulgaire et non du latin classique et sur le latin vulgaire on a très peu d'informations sur sa phonétique et sa phonologie. On sait cependant qu'il y avait en latin vulgaire un seul R d'un point de vue phonologique, maintenant d'un point de vue phonétique il est fort probable qu'il y avait plusieurs réalisations selon le contexte phonétique comme c'est le cas en français et dans d'autres langues romanes.
@UnLinguiste Vous êtes un blagueur avant tout, si vous êtes maître de conf' en linguistique je mange mon chapeau. Je suis désolé de vous apprendre que pour tout chercheur ou même étudiant en linguistique comparative votre crédibilité malheureusement s'est étouffée dès votre premier commentaire, pas la peine de mentir sur votre statut ça ne vous grandit pas.
Le mot français « boxe » provient de l'anglais « boxing », qui dérive du verbe « to box », signifiant frapper avec les poings. Ce verbe a une origine germanique liée à l'idée de frapper ou de donner des coups, et il a évolué pour désigner l'activité sportive d'échange de coups, connue sous le nom de « boxing ». En revanche, le mot anglais « box » qui signifie « boîte » n'a aucune relation étymologique avec le terme utilisé dans le sport. Bien qu'ils s'écrivent de la même manière, « box » en tant que « boîte » provient du latin « buxis » (ou « pyxis »), qui désigne un petit coffret en bois, souvent fait de buis. Les deux termes sont donc des homographes avec des histoires et des origines totalement différentes.