Excellent reportage sur une époque méprisée jusqu'à recemment. Je suis heureux de la voir mise en exergue par Compiègne et Scribe Accroupi. Si l'on a evoqué L'Impératrice Eugénie entourée de ses dames d'honneur de Winterhalter, on devrait aussi aborder Le Cercle de la rue Royale de James Tissot. Ces deux peintures sont les serre-livres picturales du gratin Troisième Empire: l'une féminine et campagnarde, l'autre masculine et citadine. Il y a même un couple entre les deux--Anne-Ève Mortier de Trévise, marquise de la Tour Maubourg (et dame d'honneur de ladite impératrice) et son mari César de Faÿ de La Tour-Maubourg. Le musée d'Orsay a sagement acquis ce Tissot en 2011--même à un prix record.