super métier a cette époque j'ai connu, dur oui et non plus personne ne veut faire ce métier donc tout se perd , hélas plus de qualité, ensuite les normes absurdes, misent en place, EUROPE ou pas, des incapables ,ont tout tué, avec des lois des normes, la main d'oeuvre, difficile a trouver, mais ils étaient libres en journée, isolés de tout , oui, mais il y avait des compensations, une belle liberté, c'était autre chose,
C'était beaucoup d heures de travail pour gagner pas grand chose mais les gens vivaient heureux. C'était comme ça a l'époque. Il y avait moins de camions sur les routes car les gens consommait moins qu'aujourd'hui par contre ils consommaient utiles pas ce quil navaient pas besoin garde robes et chaussures et autres.
Le Buronnier c'est celui qui travaille dans les bureaux selon zezette épouse x 🤪🤣🤣 Les salers sont les plus belles Vaches du monde. Oui c'est le travail qui donne la Valeur des hommes . 👍👍👍👍👍
Un pur moment de bonheur , je ne pense pas que de nos jours on retrouve cette vie , avec toutes les "foutues" normes européennes , ça c'était la vie , dure , mais bien réelle .
Excellent documentaire sur la traite, le calme des bêtes, la pratique de l'amairage du veau pour que la vache donne le lait. Ces hommes sont remarquables. Merci au réalisateur.
Très beau documentaire sur le travail manuel particulièrement rude dans les burons , jusque dans les années 60, avant la mécanisation. La cavé est magnifique, une pièce par jour. La saveur de ces fromages est inoubliable, des arômes de fleurs. Le commentaire du vacher est émouvant, c'est sa dernière saison, et il est le dernier vacher.
@@laurenta8770 personne n' a autant de Salers en lot et garonne !.....sinon , t ' as raison, ça ressemble un peu aux contreforts de la chaine des puys vu de loin
Je suis allé dans un des derniers burons, à une vingtaine de kilomètres de Moussages, il y a plus de 40 ans ; cela m'a marqué jusqu'à maintenant ! Les hommes travaillaient dure et sans électricité ! J'ai beaucoup de respect pour votre documentaire !
Aujourdhui il y aurait pas baucoup de jeunes pour faire ce travail car il ny a pas de. Formation pour faire la traite sur des vaches salers et autres races
Derrière cette grande misère se cache une noblesse élevée par la nature , par les sons de la nature....ces hommes étaient l'empreinte du shiste et du granit. C'étaient les vaches qui apprenaient les hommes à se ranger dans ce milieu montagnard. Nous aurions pu rester patre pour quelques vaches....hélas le vacher a pris trop de responsabilité sur son dos .L'ambition et l'argent ont detruit les hommes de bonne volonté.
Salut Serge Bien sympathiques ces vieux camions et ce serait dommage de rater ça surtout lorsqu'ils passent à coté de chez soit. J'aime bien les rassemblements de vieilles voitures et j'ai la chance d'en voir souvent en région parisienne. Mais ce que j'adorerai, c'est revoir les vieux autocars de mon enfance, ceux qui sillonnaient les campagnes aveyronnaises lorsque presque personne n'avait encore de voiture. Ah, ça ne grimpait pas très vite dans la cote entre Aubin et Montbazens, et j'entends encore les craquements sinistres de la boite de vitesse lorsqu'il fallait rétrograder, j'allais presque aussi vite en vélo ! Mais ils irriguaient les petits bleds et transportaient des petits paquets pour rendre service. Je me souviens que ma tante avait acheté un matelas chez Crouzy le marchand de meubles à Aubin et le car l'avait chargé sur la galerie et nous l'avait déposé devant la porte de la petite maison de notre Grand-mère à Privezac où toute la famille passait ses vacances d'été. On avait quand même l'électricité dans la maison, mais on allait chercher l'eau à la pompe dans la cour de la ferme voisine. C'était sommaire mais on était heureux. On n'avait rien, mais tout le monde était logé à la même enseigne dans cette région plutôt pauvre, avec une agriculture de subsistance, des terres morcelées avant le remembrement. Et à douze ans lorsque j'ai eu mon vélo demi-course pour mon certificat d'études, j'étais le roi avec mes copains sur les petites routes de campagne presque désertes. Et la région n'étant pas plate, autant dire que j'avais les mollets musclés. Enfin je ne sais pas pourquoi j'évoque tout cela ... la nostalgie sans doute ! Amitiés - Christian