Je suis Esther Taillifet, coach en émotions spécialisée dans les pensées obsessionnelles à propos de la nourriture et du corps.
Mon coaching est pour toi si tu en as marre de penser h24 à la nourriture et à ton poids, que tu réussis tout ce que tu entreprends en mode "badass woman" mais que dire "non" à un cookie te parait sur-humain. Et tu te tapes dessus à cause de ça. Par ailleurs t'es féministe et t'as conscience que tout ça c'est juste de la grossophobie internalisée. En gros c'est le merdier dans ta tête car tu oscilles entre envie de maigrir et envie de te foutre la paix.
Ma mission: 1) t'aider à réduire le brouhaha à propos de la bouffe en lui redonnant sa vraie place dans ta vie 2) t'aider à aimer ton corps et te lâcher la grappe. 3) Vivre une vie intentionnelle qui te ressemble grace à l'espace mental retrouvé Tu vas apprendre à ne plus répondre aux émotions par la nourriture et devenir toi même en chemin. T'es prête ?
Merci Esther pour la clarté de tes explications, et merci de partager le fruit de tes compréhensions. C'est pour moi libérateur de t'entendre. Au même titre que ton exemple sur les tee-shirts et la grossophobie, t'écouter me donne déjà envie d'être plus tendre avec mon estime de moi. Merci.
Tu as repris tout le poids que tu as perdu il y’a 4 ans , ce n’est pas une critique mais un constat car moi même j’étais dans cette situation très douloureuse pour moi.
Je vous déconseille de passer un diplôme en psychologie, vous avez fait votre propre thérapie via internet mais vous devriez vous contenter de ce que vous avez.
Hum ... ces explications ne me semble pas satisfaisantes, bien, je crois que c'est plus que ça. J'ai cru comprendre que ça a rapport à la manière dont les adipocytes réagissent aux régimes. Les régimes les feraient se multiplier davantage et se remplir plus facilement une fois qu'on revient à notre alimentation normale (celle avec laquelle on a engraissée).
Super vidéo bon contenu mais dommage de bouger comme ça sans arrêt c’est insupportable. L endroit est beau mais on s’en fou c’est pas ce qu on cherche en vous regardant
Coucou, personnellement j'ai trouvé l'astuce d'aider à servir ou débarrasser pendant les repas familiaux/amicaux, comme ça ça m'éloigne des propositions ☺️
Oui moi je dis juste « non merci » poliment et avec un ton avenant 🤷🏻♀️ si les gens mettent quand même dans mon assiette, je ne le mange pas et si on me fait une réflexion je dis simplement que j’avais dit que je n’en voulais pas/plus. Faut apprendre à respecter quand c’est non, si ça vexe ce n’est pas mon pb je ne suis pas la poubelle de table et les gens n’ont qu’à s’éduquer à la politesse la plus basique. Pourquoi c’est tjs à ceux qui ne font rien de mauvais de trouver des subterfuges pour s’adapter aux gens qui se comportent mal et ne surtout pas les froisser ?
Coucou Esther :) Merci beaucoup pour ces astuces, ça me servira très clairement pour les vacances ! Le problème chez moi c'est que je suis vraiment pas au clair avec moi à la base 😅 (Quelle miniature !)
Le poids de forme est également perturbé par la multiplication des cellules graisseuses une fois que celles déjà présentent ont trop grossi et le système homéostatique du corps empêche que ces cellules se vident complètement. Pour l’ozempic merci de penser aux personnes diabétiques qui en ont un besoin vitale et qui se retrouvent parfois sans le médicament qui leur sauvent la vie. Pour le moment l’ozempic n’a pas d’AMM pour le poids mais bien pour le diabète et a force d’en demandé pour la perte de poids on se retrouve en rupture de stock
Apres avoir fait des régimes car ado quand je faisais un 42 on m'a dit quil fallait que je perde du poids, fait un max de truc debiles comme boire du vinaigre (yes) jai perdu mais surtout grossi et suis maintenant plutot sur un 46-48 🤷🏼♀️ Du coup en effet maintenant jai peur de la restriction que je tient pour une des coupables 😅 alors ta video tombe à pique merci. C'est si dur de faire avec tout ça
Je suis en plein dans le sujet dont vous parlez ( restriction avec phases de compulsion puis compensation). J’essaie de trouver un équilibre avec ma diététicienne et ma psy, je veux guérir, même si c’est pas rose tout les jours. Votre vidéo vas pouvoir m’aider, Alors je vous remercie Esther.
Un régime amaigrissant peut provoquer une faim accrue. Cela provient du fait que la sécrétion de leptine (hormone de la satiété) diminue avec la réduction des adipocytes et de la masse grasse. Les stratégies d’augmentation du volume alimentaire (notamment se blinder de légume vert, peu caloriques) fonctionnent à moyen terme en inhibant la production de ghréline (antagoniste de la leptine) mais cela est provisoire. La recherche échoue à démontrer un avantage au déficit calorique léger par rapport aux déficits caloriques « agressifs ». Nous avons même des études montrant des avantages à la perte de poids rapide qui, pour certains sujets, favorisent l’adhésion grâce aux progrès rapides. D’un point de vue cognitif, il a été démontré « qu’ignorer » être au régime permet de ne pas ressentir les effets supposément attendus quand on est en déficit calorique (typiquement le manque d’énergie, le brouillard mental…). À moins d’être proche des niveaux de masse grasse essentiels (taux de masses grasse des culturistes pour monter sur seine) ces symptômes sont majoritairement expliqués par un effet nocebo. À votre disposition pour partager la bibliographie si besoin.
@@Anatsuii Pour être en déficit calorique il existe une multitude d’approches, des plus réfléchies aux plus loufoques. Le principal reste l’adhésion, typiquement, les changements de lifestyle doivent créer le moins de friction possibles pour être durables. Par exemple, certaines personnes pourront facilement réduire la taille de leur assiette, d’autres faire le jeune intermittent, supprimer les sucres raffinés, augmenter sa dépense énergétique par l’activité physique… À voir ce qui fonctionne le mieux pour vous. Il est important de trouver une stratégie durable, tout en préservant sa santé.
J'ai l'impression que chaque fois que je me "contrains" à qqchose qui va à l'encontre de mes automatismes (mécanismes), un élastique se tend et que tôt ou tard il va lâcher d'un coup et revenir encore plus loin dans l'autre sens. Mais je vais tenter l'exercice pour voir si c'est différent de cette façon
J’ai mon ancien salarié qui m’attaque au prud’hommes. Le jugement est le 16 juillet. J’espère ne pas dévaliser le frigo au fur et à mesure que la date approche. Mais oui, je ressens tout à faire le moyen de défense qu’est la nourriture. Et j’avoue, l’assumer et déculpabiliser fait aussi que j’arrive à dévier qques crises sur un autre mode de défense. Merci.
C’est un exercice intéressant. Après, même si je comprends qu’il s’agit d’un mécanisme de défense, j’aimerais mieux développer d’autres mécanismes de défense, tant qu’à faire…..Mais commet faire 🤔
J'aime bien tes nouvelles vidéos Esther et j'ai remarqué un petit changement dans ta tonalité. Merci pour le temps et l'énergie que tu consacres à créer du contenu utile
Enfin (je sais, je suis bavarde), un autre domaine où le contrôle est mal compris et mal appliqué est celui des émotions, qu’on ne peut pas contrôler. Et pour moi, il se trouve que les deux étaient liés, je n’ai pu renoncer à l’idée de contrôler mon corps que lorsque j’ai renoncé à l’idée de contrôler mes émotions. Ce qui n’est guère étonnant puisque mon moyen de contrôle (d’étouffement) de mes émotions était la nourriture. 25 ans pour comprendre ça…
Sur un autre aspect que tu abordes dans la vidéo, celui du jugement et de la valorisation esthétique du corps, et plus particulièrement du corps féminin, j’ai choisi de faire des efforts conscients pour m’en détacher, à propos de mon corps, à propos des autres corps, comme un refus de la normalisation que j’applique partout (enfin, j’essaye). Pour moi, ça n’a plus de sens de trouver un corps beau parce qu’il serait mince, musclé ou bronzé, tout comme ça n’a pas de sens de trouver un chat beau parce qu’il serait noir plutôt que tigré. Mon corps est parfait tel qu’il est parce qu’il est en bonne santé et nous en revenons au commentaire précédent, j’ai la chance d’être en position de contrôler ce que je fais pour qu’il le reste. C’est toutes mes aspirations vis à vis de mon corps, et ce sont les accomplissements de mon quotidien.
Au-delà de ses valeurs et de l’estime de soi, je pense, parce que dans une certaine mesure c’est mon cas, moins on a l’impression de contrôler sa vie, plus on cherche à contrôler son poids, même si on échoue de façon répétitive. Ça aggraverait même la situation quelque part, avec l’arbre du poids qui cache la forêt de la situation professionnelle insatisfaite, du mariage qui ne rend pas heureux ou un lieu de vie qui ne nous convient pas. Le contrôle absolu du poids est certes une illusion, mais elle est particulièrement tenace, surtout quand la société ne cesse de nous l’imposer.
Il faut changer son environnement si il est toxique, s'entourer de bonnes personnes, faire différentes activités... c'est un travail non sans mal qui prend du temps mais qui paie fort.
2 remarques: Le corps va taper dans les muscles si digestion en cours car lipolyse désactivée, si jeun il touchera pas trop au muscles car ça lui demande beaucoup d'ATP pour le faire, il utilisera en priorité les triglycérides. A ma connaissance le cerveau peut fonctionner qu'avec des corps cétoniques ( β-hydroxybutyrate) , y'a peut être un peu de glycérol qui sera utilisé une fois transformé en glucose, n'hésitez pas si vous avez des infos
Coucou Esther, merci pour cette vidéo qui tombe vraiment à pique pour moi aujourd'hui ! Petite question : comment faire quand tu travailles dans une société ou toute ta direction est composée d'hommes à grosses tendances misogynes qui valorisent les femmes avec un physique "dans la norme" plutôt que les femmes compétentes ? Je comprends qu'il faut s'accepter telle que l'on est, mais comment accepter qu'on évolue encore dans une société (au sens large) encore autant grossophobe ?
Manger moins de viandes rouge et fromages de mauvaise qualité et faite du sport léger tout les jours et ça ira mieux. Et manger léger le soir pour mieux digérer. Bon courage.
Tu as totalement raison j’ai décidé d’avancer gros déclic je me suis fait suivre pour comprendre les mécanismes j’avais juste besoin qu’on me guide . Bien sûr j’ai eu recours à la chirurgie pour m’aider à un moment donné dans mon parcours et mtn je travaille tjs sur mon rapport au corps et la nourriture ( psy + diet + inscription au parcours post op qui est super intéressant ) c’est difficile mais je me laisse guider et je travaille dessus !
Bonjour, je crois que le lien émotionnel à la nourriture est au centre de la question. Je suis mince sans effort et effectivement je mange quand j'ai faim, et ne mange pas si je n'ai pas faim. Je n'ai pris du poids qu'une seule fois dans ma vie, à une période difficile où je mangeais des gâteaux et pâtisseries par compensation émotionnelle. Ça a duré quelques mois. J'ai eu la chance que ce lien ne s'ancre pas. J'ai retrouvé la relation "indépendante" à la nourriture que j'avais jusque là. Les personnes de mon entourage pour qui le poids est une question mangent systématiquement quand elles sont contrariées.
