Regarder le film "il faut sauver le soldat ryan" la veille d'aller au musé du D-day, s'apercevoir qu'on passe par carentan, donc s’arrêter au "Cole's Bayonet Charge Memorial" et voir que pour aller au musé on pren la Purple Heart Lane, finir par regarder de nouveaux cette vidéo.
Le jour ou les américains on affronté les allemands pour essayer d'imposer leur dollar français ( billet drapeau), certain disent qu'il comprendrons par la suite qu'il est plus efficace d'employer les allemands pour les imprimer a partir de 2003
Merci pour votre travail ! C'est toujours lumineux, jamais ennuyeux. De plus, vous abordez des sujets, peu traités. Comment trouver vos ouvrages, svp ? Comment verser de l'argent ?
Merci. Mes ouvrages sont tous listés sur Amazon.fr, il suffit de taper mon nom dans le moteur de recherche. Pour verser de l'argent, je vous suggère d'attendre l'ouverture de la nouvelle chaîne RU-vid "Champs de Bataille", mais si vous voulez financer directement mes recherches vous pouvez faire un don directement via Paypal en utilisant cette adresse mail : quietus@club-internet.fr
J’ai consulté les archives de la première guerre car mon arrière grand père y était aussi dans l’armée coloniale bien qu’Ariégeois (il n’avait pas été à l’école et ne parlait que en Occitan). Il a raconté quand la guerre fût finie que l’officier qui les avait envoyé à cet assaut avait dit "la cantine ne suivra pas car ce n’est pas la peine"! Bref, on les envoyait à la mort sans état d’âme. D’où les insurrections par la suite.
Bonjour ! Merci infiniment de votre travail historique, vous êtes quelqu’uns à renouveler les questions militaires. C’est passionnant. Je voudrais savoir si vous compter rééditer votre ouvrage. Merci
Je suis mitigé sur certains point de votre exposé, en effet il y a bien une légende dorée autour du personnage mais il a quand même fait un bon chemin au niveau militaire même si en effet sa manie du "Vorwärts" tel un Gebhard von Blücher, a failli le perdre plus d'une fois je pense que en Afrique c'est surtout le fait que l'Allemagne avait ouvert un front de trop en Afrique car le Front Russe était déjà bien trop gourmand en moyens logistique et matériel. La défaite en 1942 s'explique davantage par le coup de main américain car les britanniques n'avait que très peu de blindé à opposé avant décembre 41 pour réussir à en déployer plus de 1000 moins d'un an après sur se seul front africain sauf miracle mais sinon j'y vois une grosse aide américaine. La perte de la supériorité aérienne aussi à joué énormément mais les avions encore une fois il y a fort à parier qu'ils étaient américains. Même si je ne nie pas que la perte de l'équipe italienne à eu son importance elle fut en vérité qu'une goutte d'eau qui a fait débordé le vase d'une situation qui se profilait à mesure que le temps avança et que Rommel génie ou pas n'a tout simplement rien pu changer tout comme aucun chef militaire n'eu changer quoi que ce soit même avec tout les talents du monde . J'ajouterais en plus que à partir du printemps 1942 la Wehrmacht a vacille par deux fois d'abord à Moscou en hiver 41 puis avec la poche de Demiansk en ce même printemps 42. Il est fort probable que cela fit réfléchir Hitler et pris dans son désir de détruire en priorité la Russie il fit sûrement comprendre à Rommel que son ravitaillement viendrait si il en avait les moyens. C'est là le gros problème de l'affaire d'Afrique c'était le front de trop qui emmena gentillement le Reich Allemand à sa perte et pas de la faute à Rommel mais la faute aux faits qui étaient que l'Allemagne n'a jamais supporter une guerre sur deux fronts . Je dirais que Rommel par son goût de l'offensive rapide et des manœuvres de choc a permis à l'aventure de durer plus longtemps que ce qu'elle aurait dû. Voilà mon humble point de vue avec toute la réserve dû du fait de mon manque d'expérience et que je n'ai pas autant de connaissance que vous
Si l'esclavage n'est pas au centre de la mobilisation de l'Union comme de la Confédération, il est tout de même présent dès le début du conflit. La question de son extension à l'ouest, à commencer par le Kansas, déchire le pays au sens propre du terme. Dans ce dernier État, les affrontements entre pro- et anti-esclavagisme prennent l'allure d'une véritable guerre civile. Au Texas, des prêcheurs abolitionnistes sont lynchés. Dans le nord, des manifestations massives contre l'esclavage ont lieu, animées par une "organisation" Les Éveillés, auxquelles participent Grant et Sherman. À Boston, un esclave réfugié dans le Nord est livré par décision de justice à son ancien maître, mais quand il doit rejoindre le navire qui doit le ramener, la foule bloque son passage et l'intervention de la troupe déclenche une émeute. Lincoln est le candidat d'un parti favorable à l'abolition, créé en 1855, les Républicains Noirs. Il fait partie de la tendance la moins radicale, mais il est perçu par les pro-esclavage comme un président déterminé à obtenir l'abolition. Alors, il est exact que la question de l'union qui est posée, mais elle l'est d'abord et avant tout par le Sud. Avant même les élections, les Démocrates, favorables au compromis sur l'esclavage, qui laisse chaque État choisir ou non d'être esclavagiste et contraint les non-esclavagistes à rendre les esclaves en fuite , sont déjà divisés en nord et sud. En fait, la question qui les divise est celle de savoir si les USA sont une union ou une fédération d'États indépendants, un peu comme dans l'actuelle Union Européenne. Le nord, industriel a besoin d'unifier les USA en un marché cohérent, alors que le Sud, avant tout agricole, est ,pour une part, dépendant des exportations en coton vers l'Europe et, pour le reste, en situation de faiblesse face à la puissance économique montante du nord, ce en pleine conquête de l'ouest. Dans ce cadre, les sudistes justifient leur position au nom de leur droit à disposer d'eux-mêmes et défendent le maintien de l'esclavage comme une de leurs institutions particulières. Les nordistes mobilisent sur la base du maintien de l'union et de son renforcement, mais aussi de leur opposition à l'esclavage. Parmi les officiers nordistes, on trouvera ainsi des positions diverses concernant les esclaves en fuite rejoignant les troupes de l'Union. Certains, favorables aux positions démocrates, les renvoient. D'autres, abolitionnistes, les intègrent. Et n'oublions pas que, aussi bien dans le corps des officiers que dans la troupe, des migrants européens récents sont venus se battre dans l'armée de l'Union avant tout pour l'abolition. Sur le plan international, les gouvernements anglais et français ont plutôt intérêt à la sécession, mais sont confrontés à une opinion publique opposée à l'esclavage, et c'est ce qui explique leur prudence. Le maintien de l'Union est donc indissociable de l'abolition de l'esclavage. En déclenchant la guerre, les États du Sud ont cherché à bloquer un processus aussi bien unioniste qu'abolitionniste, même si certains de leurs responsables politiques et militaires étaient conscients que l'esclavage ne pourrait pas durer. Mais en passant du terrain politique au militaire, ils ont radicalisé ce processus, l'ont accéléré et l'unioniste Lincoln a pu se révéler l'abolitionniste Lincoln. Le bref discours de Gettysburg a réellement un impact sur la troupe, en témoignent les lettres de soldats et l'intégration de régiments noirs. Aussi savoir si les soldats de l'Union se battaient quant à eux pour l'union ou l'abolition est pratiquement impossible à déterminer de façon globale. Cela dit, merci pour cet éclairage sur les avancées en matière militaire opérées par un homme comme Grant. Par contre, je crois que si l'armée US et, de façon plus générale, les USA n'ont pas tiré toutes les leçons de ce que la guerre de Sécession leur avait fait découvrir, c'est que les guerres qu'ils ont mené ensuite n'étaient plus du même acabit. Les guerres indiennes était dissymétriques, contrairement à la guerre civile. Elles furent aussi éparses et quelque peu sporadiques. Enfin, la fonction de l'armée US fut durant trente ans celle d'une force de maintien de l'ordre sur des territoires aux institutions fragiles. Ce n'est qu'au cours des années 1890 que, avec la guerre contre l'Espagne et la conquête de Cuba et des Philippines, les questions de guerre moderne recommencèrent à se poser, et encore.... Il suffit de repenser à la désastreuse guerre contre Pancho Villa à la veille de l'entrée en guerre des USA en Europe. Je pense que c'est ce qui explique que ce soit ailleurs que la réflexion sur ces avancées se soit opérée.
Les esclaves haïtiens qui venaient de faire leur révolution ont dû parfaitement apprécié le retour à l'esclavage grâce au glorieux Napoléon avec le soutien de son ennemi anglais... Grâce à l'empereur, Toussaint Louverture a pu grandement apprécié les Vosges du fond de sa cellule. Pour le sucre de canne, il n'est pas revenu, car le blocus a été efficace. Moralité : on a eu le sucre de betterave. Quant au film, c'est un copier-coller des journaux anglais de l'époque, bref une caricature. Quant à Hegel, ce n'est pas Napoléon qu'il admire, c'est l'aboutissement de ce qu'il décrit dans la Phénoménologie de l'esprit, à savoir le cheminement et l'évolution dialectique de "l'esprit" ou "l'idée" à travers l'histoire et son action en tant que phénomène dans le réel. Pour Hegel, l'histoire a un but et Napoléon s'inscrit dans ce but à la suite de la révolution française. Pour Hegel, l'État est le phénomène ultime de l'action de l'esprit dans le réel. Après Napoléon, Hegel sera le grand défenseur de l'État prussien. Pour Hegel, Napoléon est admirable, non pas par sa personnalité, mais parce qu'il incarne cette phénoménologie de l'esprit et l'approche encore plus de son but ultime.
Depuis au moins deux décennies, Tsahal bombarde régulièrement Gaza surpeuplée dont la population est sans avenir, car enfermée. Il faut partir de cette situation pour analyser ce qui se passe. Un mot sur l'IRA provisoire. Il se trouve que je connais bien son histoire. L'IRA n'a commis qu'une seule fois un crime sectaire. Si cette armée avait commis les attentats à l'aveugle que vous suggérez, son pendant politique le Sinn Fein aurait sombré. Il semble, sauf erreur de ma part, que ce soit le contraire qui se passe. Le SF est aujourd'hui le premier parti de toute l'Irlande et a gagné des comtés qui jusqu'aux Accords du Vendredi Saint étaient des bastions unionistes. Enfin, un mot sur les résistances : aucune n'a jamais existé, dans quelque pays que ce soit, y compris le nôtre, sans violence non seulement contre l'occupant, mais aussi contre ceux qui collaborent ou soutiennent celui-ci ou sont perçus comme tels. Exiger de la part d'une résistance la perfection est une illusion, quia mène vite à une 'opposition au droit à résister. Pour revenir à Israël, la question centrale s'appelle le sionisme et je vous conseille de vous pencher sur l'histoire de ce courant politique et de ses relations plus que troubles dans les années 1930 avec l'Allemagne nazie, en particulier l'accord dit Ha'avara signé en 1934, qui cassa l'élan en faveur d'un boycott des produits allemands, en particulier aux USA, premier client de ce pays ; de même, le courant sioniste révisionniste, dont le Likoud se réclame et ses rapports avec Mussolini,qui forma militairement une partie de ses militants à La Spezia. Enfin, issu du révisionnisme, le groupe Stern organisa, alors que Rommel était aux portes du Caire, des attentats contre les Britanniques en Palestine. Pire, en décembre 1941, ce groupe adressa une lettre au ministère des Affaires Étrangères allemand pour proposer la formation d'une brigade juive de lutte contre l'URSS, soit plus de deux ans après la création des ghettos en Pologne et six mois de génocide en URSS. Netanyahou, mais aussi Sharon, ont toujours présenté publiquement ce groupe comme exemplaire. Ce sont donc ces gens-là qui sont à la tête de l'État d'Israël. Quant à ceux qui ont employé le terme nazi à leur sujet, ce sont d'abord des Israéliens eux-mêmes dans les colonnes de Haaretz. Précisons aussi qu'être Juif ne veut pas dire être a priori potentiellement Israélien. Plus de 65 % des Juifs ne le sont pas et n'ont aucune intention de le devenir. Beaucoup se sentent concernés parce qu'ils ont des membres de leur famille en Israël, mais c'est tout. La plupart du temps, ils s'en désintéressent et vivent parfaitement leur judéité religieuse ou simplement culturelle de façon totalement indépendante de ce pays. Je termine par une citation d'un dirigeant rescapé du ghetto de Varsovie, Marek Edelman, membre du Bund, peu avant sa mort en Pologne en 2009 : "chez moi, il n'y a pas de place ni pour un peuple élu ni pour une terre promise (...) Quand on a voulu vivre au milieu de millions d'Arabes, on doit se mêler à eux et laisser l'assimilation et le métissage faire leur œuvre;"
Si vous vous renseignez sur le projet dit "canal Ben Gourion", vous découvrirez une motivation beaucoup plus prosaïque à la volonté de détruire Gaza et d'en chasser les habitants.
''Vers de nouveaux horizons'' TDM !!! Je viens de voir le Servent Garcia sur LCI-LCU , il a retrouvé ses cheveux !!! Avec une nouvelle coupe et une teinture !!! Pour l'air bête et les propos stupides, rien de nouveau sous le soleil !!
Merci pour tout le travail effectué sur cette chaine depuis plus d'un an. Grâce à vous j'ai pu re-découvrir des pans entiers de l'histoire militaire en me procrurant parfois les ouvrages que vous recommandiez. Je suis heureux de la reprise des champs de bataille, ce format ne pourra que mieux sublimer les connaissances et les idées que vous avez exposées sur cette chaine. Bonne continuation !
Merci pour tous ces bons moments. Étant modéliste et peintre, vous m'avez accompagné durant de nombreuses heures. Je suivrai champ de bataille et il me reste encore pas mal de vidéos à regarder sur cette chaîne. Merci.
Merci M. Ferreira pour ces informations et pour l'ensemble de votre travail. Votre chaîne ici offre déjà un contenu très riche pour les passionnés d'histoire et c'est toujours un plaisir lorsque l'on prend le temps d'écouter vos différents bulletin Très hâte également de vous retrouver dur Champs de Batailles. Bon courage pour la suite!