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« L'exclusion est un processus au fondement de la modernité politique » 

Regards
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La politiste Réjane Sénac et l'histoire Julien Le Mauff, auteurs et coordinateurs de "Politique de l'exclusion" aux éditions PUF, sont les invités de #LaMidinale.

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28 мар 2024

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Комментарии : 5   
@valerylozat5674
@valerylozat5674 Месяц назад
C'est aussi le processus d'acculturation anthropologique qui arbitre ces accumulations plus largement culturelles (au delà de la Langue et des discours politiques) par des distinctions et différences d'avec les communautés avoisinantes, qui font évoluer plus vite & enrichissent les sociétés humaines (exple sur le plan religieux/culturel: l'Occident & l'Orient).
@valerylozat5674
@valerylozat5674 Месяц назад
Bravo pour votre exposé planant 💖!
@valerylozat5674
@valerylozat5674 Месяц назад
Il convient de trouver des moyens dans le déjà là encore moderne, de faire la révolution vers ce que nous souhaitons.
@jeromelaville8757
@jeromelaville8757 Месяц назад
Il faut voir ce que la pseudo société parfaite uniformisée propose à l'individu... Plus on essaye de l'incorporer dans un tout cohérent et plus on l'empêche d'être lui-même et de prospérer en tant qu'individu. Il faut pas s'étonner ensuite que les jeunes s'excluent d'eux-mêmes et cherchent le support de communautés moins rigides partageant les mêmes codes même si on envisage pas le fait de faire un commun universel. Il y a ceux qui veulent absolument correspondre à ce qui est proposé et cherchent à acquérir les codes peu originaux en s'alimentant de télé-réalité, de commérages et autres sentiments d'appartenance vis à vis des modes et des popularités. Et peut-être ceux-là n'arrivent même pas à s'imaginer qu'il puisse y avoir autre chose et il y a les "exclus" qui sont bien souvent heureux de l'être en considérant la médiocrité de la société. Après, en ce qui concerne le communautarisme si détesté par l'extrême droite, c'est déjà parce qu'on ne veut pas les intégrer et s'adapter à leurs particularités qu'elles se mettent d'elles-mêmes à rejeter la société. Donc bien sûr les valeurs républicaines sont un point de départ pour faire communauté, en considérant que l'individu est libre par essence mais soumis à des normes sociales pour que la société ne s'écroule pas sous le poids de l'individualisme mais il y a tout l'entre-deux à revoir. Car comme je l'ai dis, qu'est-ce que la société a à nous proposer autre qu'une uniformité et à côté des plaisirs que l'on peut considérer comme des raisons suffisantes. Matrix ne raconte rien d'autre que ça d'ailleurs. Il y a une notion de choix déjà pour appartenir à une culture underground, et puis le fait de se battre pour elle et pourtant la machine finit toujours par se l'approprier et la digérer. Comme les valeurs de Mai 68, comme l'écologie qui finit en greenwashing, comme les œuvres artistiques révolutionnaires que l'on cherche à reproduire pour faire du fric... (le remake de Matrix par exemple, qui se fout lui-même de sa gueule par la même occasion) mais pour le premier monochrome, on se dit "waw quelle audace!" Et puis on fait un deuxième et on se dit juste "ô putain quel foutage de gueule!" Parce que l'exclusion nait de l'uniformité et les intérêts qui vont avec. Comme un homme politique a tout intérêt à créer un mythe d'un peuple uniforme pour mieux le séduire, le contrôler ou que sais je, et celui qui convient pas à l'uniformité donc est exclut ou fait le choix de sortir de l'uniformité. Comme Mélenchon n'admet pas autre chose que son matérialisme historique et que la société est trop habituée à cette gauche uniquement intéressée par l'égalité des richesses (que je ne remets pas en compte mais bon voilà...) la politique devrait rayonner par un peu plus de culture et de joie de vivre qui ne trouve pas toujours sa source dans la consommation. Si la politique n'admet même pas le fait qu'on puisse avoir envie d'autre chose que le capitalisme, comment sortir de ses vices? Des programmes télés débiles, du temps de cerveau disponible pour des publicités... Avoir le cerveau atrophié et n'avoir d'autre horizon que cet unique univers de conformité. Il n'est pas question d'argent à l'école par exemple, pourtant l'école est à l'image de cette société. Une vraie machine d'exclusion sociale et d'uniformité. L'enfant est à l'image de l'éducation matérialiste de ses parents, donc vide. Vide que l'on cherche à remplir par le plus d'informations possibles. Bourrage de crâne pour faire de vrais petits robots capables de remplir leur rôle dans la société. Rôle que l'on ne cherche même pas à deviner chez l'enfant, puisqu'on ne cherche pas à savoir ce qu'il pense, comment il réfléchit, réagit, ingère ce qu'on lui apprend... Comment il pourrait partager ce savoir avec les autres enfants, comment il pourrait se forger son propre avis, avoir une esprit critique. Mais qu'avons-nous besoin de ça si on considère que le peuple n'est bon qu'à travailler à la chaine?
@user-hl4cw7bd2v
@user-hl4cw7bd2v Месяц назад
Fentanyl, à grosses doses
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Como ela fez isso? 😲
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Alain Badiou et mai 68
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« L'école publique tremble sur ses fondations »
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