Philippe Légé et Jacques Rigaudiat, membres des Economistes Atterrés, co-auteurs de "Penser l'alternative : réponses à quinze questions qui fâchent" aux éditions Fayard, sont les invités de #LaMidinale.
Analyse de plus en plus indigente et indigeste. Si votre émission ne sert qu'à faire monter GLUCKSMANN, vous pouvez stopper tout de suite et vous taire. Merci de ne plus faire de pub à la droite PS.
@@SabineHecebon hécébon elle est là elle !!! on t'adore etcestbon, t'es bonnarde dans tes comms... "apparatchiks", naaan pas à LFI, tu confonds avec toi... on te voit partout, tu trolles des que tu vois une critique de la gauche mollarde!!!
coucou @@SabineHecebon toujours là dès que la vraie gauche est attaquée par des débiles mentaux Le PS ultra-libéral et capitaliste, c'est le futur de la Macronie ?
Rien que le titre est vraiment effarant ! Comme si ce que propose le gouvernement actuel et le modèle proposé par le néolibéralisme est crédible et souhaitable. Mais j'attends leurs arguments.
Pardon, mais il n'est pas juste de dire que "les patrons versent des cotisations". Ce sont les salariés qui socialisent une partie de leur salaire. Le salaire est le salaire brut. La différence entre le brut et le net, ce ne sont en aucune manière des cotisations patronales. Parler de cotisations patronales amène à des erreurs de raisonnement. L'obligation légale est faite aux salariés de socialiser une partie de leur salaire. Les entreprise ne font que "collecter" cette part socialisée. On pourrait tout à faire verser le salaire brut aux salariés et leur demander de faire le chèque à l'URSSAF. Pour moi, parler de cotisations patronales, c'est aussi aberrant que de parler de charges sociales.
Merci de préciser cela au public et de désamorcer un tant soit peu (Sans contradicteur, hélas, la messe a été dite.), leurs niaiseries, lorsqu'un économiste, te parle de miracle (11:50) comme "argument", pour camoufler sa mauvaise foi, tout est dit, ce sont vraiment des membres d'un clergé capitalo-centré indécrottable.
Les cotisations sociales se décomposent entre les cotisations docizles retenues sur le salaire (que l'on dit brut) et on obtient un salaire net : effectivement elles pourraient être payées par le salarié Et il y a les cotisations sociales de l'employeur qui paient leurs cotisations sociales calculées sur le salaire brut qui sont autour de trois (à quatre je ne sais plus) fois le montant de la cotisation renseignez vous avant d'affirmer des vertes partielles
@@colettedion4757 depuis des années le patronat bénéficie d'exonérations de "charges" qui visent précisément ces cotisations, "la part patronale" (doit on rappeler ici que l'employeur ne fait qu'exploiter le travail produit par le salarié, pique toute la valeur pour ne lui en redistribuer qu'une mince partie ?), donc l'employeur comme vous dites n'encourage en rien ce qui a été mis en place en 45 et préfère que l'état s'en occupe via l'impôt, tout en voulant en payer le moins possible. La sécurité sociale bien que préexistante à 45 n'a absolument rien produit en terme de sécurité pour le monde du travail, les hôpitaux était des mouroirs, et ce qu'a permis le régime général c'est bien de transformer de fond en comble les modalités, les orientations et finalité de la sécurité sociale en redonnant du pouvoir aux créateurs de richesses, c'est à dire à ceux qui travail (et non pas à ceux qui exploitent le travail), en passant par une caisse de cotisation sociale qui exonère l'état de cette "charge". En outre le régime générale de la sécurité sociale qui ne voit le jour sous cette appellation pour la distinguer de ce qui avait été avant 45, à permis la construction de tout les CHU pratiquement sans recourir à d'autres financements. C'est bien à ce système que l'on doit notre indépendance en matière de santé et notre excellence de la recherche dans ce domaine. Sans compter que la sécu c'est en plus des soins, la retraite et la caisse des alloc. Bref, en résumé la sécu, c'est rentable (sauf pour le monde de la finance) et bien plus fonctionnel.
Le manque de crédibilité des organisations de gauche : Ça veut dire quoi exactement ? Que la crédibilité de la gauche devrait passer par la "bénédiction" des partis et organisations qui ne sont pas de gauche ? Qu'une classe ou une partie de la population serait seule habilitée à définie qui est crédible et qui ne l'est pas ? C'est curieux de s'extraire ainsi de toute définition claire, précise et partagée de la démocratie, pour lui tourner le dos tout en prétendant la défendre ? Je ne sais déjà pas ce qu'est une organisation de gauche et qui en fait partie ? Alors qualifier ou disqualifier des "organisations" dont on ne sait rien de ce qu'elles défendent me semble être assimilable à une excommunication religieuse et même à une accusation d'héresie par une inquisition au pouvoir.
Et malheureusement la rédaction de Regards fait la part belle à ce discours défaitiste. C'est un discours d'apparatchiks qui sont terrorisés de voir qu'ils sont en train de disparaître. Or, s'ils disparaissent, c'est tout simplement pcq les médias alternatifs et l'élévation de notre conscience politique nous a affranchis d'eux. On n'a plus besoin d'eux et ils ne l'acceptent pas. Ils ne supportent pas qu'un mouvement large et fluide soit né qui brasse des traditions militantes de - en - concurrentes et de + en + convergentes. Car ces gens prospèrent sur la concurrence entre les organisations. Vive la gauche populaire!
Voilà j'en ai assez entendu. Je ne comprends pas ces gens qui écrivent pour ne rien dire .Ils n'apportent rien et rien ne pourrait changer avec de telles personnes. Que du gaspillage de papier.
Sur l'énergie, j'attend qu'on me démontre la faisabilité physique de l'électrification massive. Avec ou sans nucléaire, les ressources en cuivre, sont plus que limitées. On fait comment ?
Sur la transition énergétique, il existait un groupe de travail de LFI qui a essayé d'infléchir le programme avec des arguments techniques, la direction non seulement n'a pas écouter le groupe mais la dissous. Pour faire parti du groupe il faut maintenant absolument être anti nucléaire sous prétexte qu'une "votation" à tranché.
Quand a le seul programme à la présidentielle "l'avenir en commun" présenté, chiffré, financé et validé par la banque de France et autres instituts.. 250mds de dépenses < 267mds de recettes par ans Quand tu impose la planification écologique à toute la classe politique (Le plan de la bifurcation= 200MDS sur un quinquennat) Le programme à fait l'objet d'une émission de 3H dispo sur yt
Ils sont moins atterrés qu’atterrant, le Père Rigaudiat utilise plusieurs fois le terme extraversion (que je ne connaissais pas), une petite recherche pour voir ce que en économie (extraversion économique) cela veut dire et ça en dit long sur leur "résistance" ou "critique" du modèle en place.
bon, on a compris, le productivisme, c'est bien, le nucléaire youpi !!! la seule chose qui compte, c'est de décarboner, la pollution de l'eau, la biodiversité on n'en a rien à faire... et vive le PC
Mais quel rapport ? Défendre ce qu'il reste de VIVANT, dont nous faisons partie intégrante, et cesser de transformer la terre et son atmosphère en gigantesque poubelle, n'implique pas le retour à la lampe à pétrole.
quelles conneries , tu parles de gauche mais #PS et #EELV sont de droite , #PCF à la rue effectivement à la rue mais il reste à gauche , de plus en plus fort à gauche, radicalement sans se coucher devant le poudré , #LFI qui a un programme ( l'AEC + ) et des gens aux idées très claires qui les expriment très bien
lfi des idées très claires qui s'expriment très bien, ha bon !!! les bras m'en tombent, ils ne faut pas sortir de sciences politiques pour s'apercevoir que ce programme s'apparente a un inventaire à la prévert, c'est ni plus ni moins que le programme de Mitterrand 1981actualisé, la filiation est toute fait et je dit cela sans polémique
Vous avez commenté une vidéo d'une heure... seulement 20 minutes après sa publication. Bravo pour votre (très) rapide et brillante analyse, qui contribue à enrichir le débat public.
Je me joins à Philippe (ironique ici) pour trouver dingue votre façon brutale (et populiste? Ce serait un peu mieux) de réagir? Avez vous lu cet excellent livre, et ces apports si utiles par les temps qui courent. Il vaudrait mieux s'abstenir plutôt que de réagir de façon si négative et si peu propice au débat. Il faut toujours essayer de comprendre ce que dit l'autre chercheur, militant, ou citoyen...
Mais je reconnais cher ducgerard qu'il y a certains passages assez complexes qui demandent une attention soutenue. Il faut cependant saluer ce travail éditorial qui a dû demander des mois de travail (collectif); etle travail de lecture de Pablo qui a demandé lui aussi des efforts de compréhension et de synthèse. Bien orchestré ici. Je recommande enfin la lecture de ce livre. Pour tous les militants (notamment de gauche) et les citoyens curieux de la chose publique et surtout des biens publics. Comment les maintenir et les renforcer aujourd'hui, c'est une des questions clés...
Ces économistes appartiennent à une culture qui n'a pas intégré la notion de limites planétaires. Oui, les partis politiques ne présentent pas la sobriété comme le sacrifice qu'elle sera. Mais la croissance est un indicateur totalement invalidé par les nécessités de respecter les limites planétaires. C'est bien de se soucier de la quantité de métaux nécessaires aux éoliennes. Ce n'est pas la seule production qui rencontrera une limite. Venir nous expliquer qu'on va pouvoir augmenter l'électrification par le nucléaire ; c'est aussi se foutre de la gueule du monde. On ne va pas être les seuls pays à en faire. L'acquisition de minerai d'uranium sera le même cirque que pour le pétrôle. Ca permet aux économistes de ne pas trop réfléchir. Mais in fine, il faudra abandonner le nucléaire pour la même raison qu'on doit abandonner le pétrole. Ça pollue, procure une rente à des dictatures, nous en rend dépendant, est épuisable, nous enferme dans un réseau centralisé peu résilient, assure une facilité d'usage nous confortant dans une société productiviste prédatrice de ressources, normalement à partager avec notre écosystème vivant. Donc, ils sont bien gentils à nous expliquer que c'est titanesque de changer les modalités du réseau d'électricité. Mais en réalité, cela n'est qu'un point de détail sur le changement de monde nécessaire, pour éviter la disparition de l'espèce lors de l'extinction de masse en cours. Ils ne sont focalisés que sur le dépassement de CO2 dans l'atmosphère. Mais ça, c'est une des 6 limites planétaires dépassées sur 9. Maintenant, pour passer pour des gens sérieux, il faut qu'ils intègrent à leur réflexion les 5 autres. Autant je peux pardonner à des politiques de mettre l'accent sur l'urgence (car le réchauffement est ce qui risque de nous buter en premier), autant j'ai dû mal accepter que les théoriciens du grand tout dénombrable s'en contentent.
@@sisyphe7320 Il n’a jamais dit ça : il a dit que il pouvait gouverner avec d’autres forces politiques comme à l’époque avec de Gaulle mais que puisque la politique actuelle de Macron est extrêmement anti socialiste il a refusé. Mais si Macron devient soudainement socialiste il pourra accepter
Merci Pablo , j'ai écouté cet entretien avec beucoup d'intérêt . En ce qui concerne les relocalisations dans le cadre d'une UE repensée , je suis d'accord . Ainsi nous devrons produire beaucoup plus d'électricité et nous ne pouvons nous passer du nucléaire , c'est évident pour de plus en plus de citoyens de gauche alors que les Communistes étaient considérés ringards sur le sujet il y a peu . Pourquoi la Gauche non Communiste est-elle antinucléaire . Il y a plusieurs raisons , certaines ont été évoquées . Je vais en donner une autre : la puissance des lobbies pétroliers . Les antinucléaires se sont fait bernés par les financiers lesquels ont intérêt à un retour sur investissement rapide , quasi immédiat avec la rente pétrolière , donc ils ont intrumentalisé les Verts et la gauche non Communiste dans le but de faire un maximum de profit le plus rapidement possible .
Ceux qui sont pour l'arrêt du programme nucléaire ont plus de facilités à se projeter dans l'avenir, et à envisager nos dépendances : - pour l'approvisionnement en combustibles, sans parler de ses impacts délétères sur les populations alentour, - pour le traitement de la plus grande partie de nos déchets en Siberie, - et enfin technologiques. Vu l'évolution et les incertitudes actuelles en geo-politique, tout peut à chaque instant être remis en cause. Enfin, les catastrophes naturelles sans commune mesure avec celles que nous avons connues jusqu'ici, ainsi que le réchauffement et la baisse de niveau des fleuves, induits par les bouleversements climatiques, n'épargneront pas les centrales. "Le business as usual" nous a conduits dans le mur où nous nous trouvons. Et il faudrait continuer, en regardant les multi milliardaires se faire construire leurs bunkers de luxe ?