Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elïna Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique. Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical de la Lettonie, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions. Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.
The finest performance possible.Mathematically perfect. Netrebko is working hard on coloratura...great. She will become the best of the best of the best. And Garanca's wonderful.They will do great things.
WE LOVE YOU ENDLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESS !!! YOU ARE FANTASTIC VOICES !!! YOU ARE FANTASTIC ACTORS !!! BRAVO !!! GOD BLESS YOU !!! GOD BLESS YOUR FANTASTIC TALENTS !!! THE MUSIC IS FANTASTIC, TOO !!! GOD BLESS THE FANTASTIC MUSICIANS !!! YOUR ETERNAL FANS NADYA MIRKOVA AND FRIENDS FROM BULGARIA
Woah!!!!!!! What has happened to Anna? She is WONDERFUL again :) Yayay!!!! Absolutely stunning! Her phrasing is sensuous and subtle, sumptuous and divine! Her coloratura and sostenuto are remarkable! A huge transformation!!!! No breathiness or sloppiness at all. Garanca, divine as always!!! Is there a full recording of this opera with them? Oh, wow, that's really made my day finding this on here :)
Mise en scène à la Wiener Staatsoper du 5 avril 2011, sous la direction du chef d’orchestre Felino Pidó, la scène de l’Opéra ‘Anna Bolena’ de Gaetano Donizetti aux décors sombres avec des variations géniales d’un éclairage fantastique a mise en relief émouvant des costumes d’un raffinement exquis, des physionomies et mimiques en harmonie avec des expressions musicales du mélodrame romantique de la fin tragique de la reine ‘Anna Bolena,’ réunifiant sur le plateau des plus talentueux acteurs, actrices, choristes et instrumentalistes, mariait les splendeurs des beautés sonores dans une féerie picturale d’une irrésistible fascination. Dans la mise en scène de l’opéra les turpitudes du roi Henri VIII d’Angleterre, dévoreur de huit femmes successives, le superbe baryton basse Ildebrando D'Arcangelo, par la vigueur expressive de sa voix grave et virile, de sa mine et de son parfaite mimique gestuel, présentait sur la scène toutes les qualités d’emploi de ce beaux brut, se débarrassant de son deuxième épouse Anna Bolena, sa reine mis en scène par Anna Netrebko, pour convoler sa troisième victime, la candide Jane Seymour, l’amie intime et demoiselle d’honneur à la cour, mise en scène par la mezzo-soprano Elïna Garanča. Mais mon affinité musicale m’a évidemment orientée vers les scènes des duos et dialogues vocalisés avec brio entre mes deux sublimes grandes favorites adorées du monde de l’opéra : mon ravisant étoile Anna Netrebko et ma déesse du bel canto Elïna Garanča, bien que la sérénade et les récitals de passion au timbre particulier de la jeune alto ou mezzo Elisabeth Kulman, travestie en page Smeton amoureux de la Reine, a bien agréablement flatté la sensibilité de mon ouï masculin par sa voix douce, d’une caressante féminité. Rivales aux émotions exacerbées dans le scénario musicalisé, la belle brune soprano Anna Netrebko au timbre russe d’une cristalline pureté vocale polie à la wiennoise et la captivante blonde mezzo-soprano Elïna Garanča de mon cœur, d’une étonnante agilité vocale, se sont livrés à des sublimes rivalités de finesse et précision de vocalisation à l’unisson, dans des duos ou dans des dialogues passionnés valorisant leurs tessitures très larges, aux éblouissantes couleurs dans l’aigu en variant dans le grave. Leur virtuosité dramatique atteignait le sublime dans l’éloquence des mélodies : un fascinant et vibrant expressionnisme lyrique, imprégnant l’émotion sur les intonations, des gestes de tout beauté, de grâce et d’adresse, des chants dans toutes les raffinements des puissances des tonalités émouvantes de l’anxiété, de l’embrasement dévastateur des sentiments d’amour, de dépit de la trahison, de lamentations, plaintes déchirantes, du pardon, des prières saisissantes, de la pitié poignante au dénouement vers la folie et la mort tragique de la reine. Un chef d’œuvre émouvant, inoubliable. Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna.
you are right! Good singing is good singing. And HEY!!! Netrebko produced a real fine trill at 3:30mins. Well, one less thing for her detractors to complain!
Thank you to Luis Sierra. I am aware that Elina Garanca is a Mezza Soprano and just referred both she and Anna Netrebko, as Sopranos collectively, thinking that people on this site would already understand that. However, I was incorrect, so I shall endeavour to be more precise in the future to avoid any further misunderstanding. Thanks again.
Echo Classic 2013. Elïna Garanča au Konzerthaus de Berlin : le récital du cantique « Plus grand dans son obscurité » de l’opéra (Paris 1862) « La Reine du Sabbat » de Charles Gounod. (La légende de Balkis d'après Gérard de Nerval). L’entrée solennelle de l’aménité la plus exquise de la divinité du bel canto Elïna Garanča, précédée de l’éclat de l’aura de son renom, est ovationné chaleureusement des deux côtés du couloir central par un auditoire des gens de grand talent de la musique classique. Dans cette salle d’une architecture stylisée des somptuosités modernes de la Maison de Concert de Berlin, la pléiade internationale des étoiles de l’opéra s’est donnée-là rendez-vous en auditoire avertie des récitals accompagnés de l’orchestre pour l’attribution du prestigieux trophée très prisé de « La Cantatrice de l’année ». Digne de la Reine de Sabbat mise en scène musicale, la couleur assortie de la robe d’apparat longue et ample, le tendre bleu clair métallisé, accentue de cette amour d’Elïna la féerique fascination de l’expression des grands yeux aux éclats des saphirs bleus du bel visage au teint d’une blancheur satinée, auréolé de sa couronne des splendides cheveux blonds. Majestueusement enjambé les cinq marges pour monter au plateau, à Elïna, la sublime Déesse du Bel Canto, un accueil chaleureux est réservé par le Roi d’Israël de la symphonie et de la polyphonie instrumentale et vocale, par le maestro Omer Meir Weber. Le talent de l’éminente figure de la musique classique Omer Meir Weber s’est illustré avec l’aussi brillante cantatrice Elïna Garanča dans la présentation du cantique dramatique du troisième acte de l’opéra tombé dans l’oubli : la tragédie lyrique de la légende de La Reine de Sabbat. Pris d’amour du bâtisseur venant de l’étranger pour la construction du temple du roi des Juifs Salamon, l’opéra est la scénarisation dramatique des intrigues de la passionnelle amour adultère, de la séduction, jalousies, lutte d’influence des ouvriers, vengeance, délation, avec en final la désolation de la destruction et mort tragique de l’amant dans des confuses scènes de la mythologie et magie orientale de la haute antiquité. Pour les initiés, une sorte d’allégorie scénarisée des rites maçonniques. En donnant toute la mesure de son divin talent, la sublime Elïna entonne de la Reine adultère la cantique d’une musicalité raffinée, jouant en virtuose accomplie sa gamme infinie des nuances et variations vocales de la finesse de sa perfection transcendente : « Me voilà, seul enfin ! De quelle ardent flamme, brillait les yeux de ce fier étranger, Son orgueil, son courage en face du danger, Ont su toucher mon âme !... Pour être reine, hélas ! Cesse-t-on d'être femme ? Plus grand dans son obscurité, Qu'un roi paré du diadème, Il semblait porter en lui-même, Sa grandeur et sa royauté ! Funeste serment qui me lie ! Résigne-toi, mon cœur, oublie ! L’oublier, lui que j'ai pu voir, De son bras dominant l'espace, Du Roi braver le vain pouvoir, Et l'effrayer par son audace ! L'oublier, quand hier encore, Au caprice de son génie, Ses mains, dans le porphyre et l'or, Créaient la forme et l’harmonie !... Aux lueurs d'un ciel embrasé, Je l'admirais domptant la flamme ! A mes pieds je l'ai vu brisé, Et l'amour envahit mon âme ! » De l’infidélité de la Reine de Sabbat aspirant à la liberté, la mise en musique de la succession des bouleversants états d’âmes, les stades émotionnels de l’admiration de l’amant à la révolte contre le destin, l’abattement, la consternation à la désolation, protestations, des lamentos au dédain et résignation, sont exprimées d’une haute perfection de la magnifique synchronisation des paroles chantés avec l’éloquence des gracieux gestes, de la poignante expressivité de la mimique faciale. Préludée des lentos des bassons et flutes, c’est l’accomplissement merveilleux de la vocalisation dramatique du pathétique et du tragique. Vocalisées de toutes les variations de son registre mezzo-soprano étendu aux hautes de sa voix frisant le perlée du soprano, pour descendre au bas caressants du contralto, l’effet émotionnel la révolte chantée contre la Morale est accru de l’orchestration raffinée des attaques fortes du motif des cordes, passages saisissants ponctués du tact des timbales. Cet émerveillement des exclamations d’une sonorité vibrante des protestations des contraintes du sort, enveloppe d’émotions l’auditoire. Une représentation de polyphonie orchestrale et vocale de très grande classe dans cet univers de la musique vocale classique de Berlin. (La cantique de la Reine de Sabbat, du répertoire classique du couple bien assortie, Elïna Garanča et son époux, le chef d’orchestre Karel Mark Chichon, a déjà fait des succès dans des concerts en Allemagne, Autriche, France, Suisse…). Peter, ‘Le Cavalier de Prose’ enchanté d’Elïna.
There is NO ONE note that is not totally musical,no one note that is only a "show". We cannot only say "brava". We have to testify that "Divas" like these have nothing in common with certain "circus freaks" from recent past or from recent "present". There is not only talent here, but a precise cultural position showing us that public is not totally stupid and quality CAN have success.
Yes, her trill was very good. But wait until you hear her sustained trill in one of her arias. I was amazed when I heard it. It's so funny that sometimes Netrebko isn't capable even of singing a fake trill, but in other venues she sings wonderful ones. I'll post her exquisite singing in that aria in the next days.
You certainly mean the "old" Pavarotti and Domingo, because Pavarotti wasn't exactly an "old guy" in his real prime (and wasn't that fat by then), and Domingo actually looked much better than most tenors around nowadays. He actually had the best "physique du rôle" of all in his prime.
@Homoclassicus The fact that Portuguese has more sounds than Spanish is one reason Portuguese are so good at learning foreign languages and speaking them well. I was in Madrid once with some Portuguese in a cafe and the Spanish around us whispered, after eavesdropping. "deben ser Russos."
I was trying to repeat a popular joke here in Peru: ,,,,,,,,,,,,, mais grande do mundo!! for anything we wish to magnify and is related to Brazil -probably inspired by our admiration of Brazilian soccer. In Peru we would have said "La panza mais grande do mundo" (keeping "la panza" in Spanish) - Barriga in Spanish is a normal "barriga", Panza is an enormous one. Sorry, I can read portuguese fluently but shame on me I have never learned to speak it. Saludos.
exactly, marketing. That is why villazon is necessary, as he couples marvelously with anna. audiences (read marketing) precisely need this. Villazon needs to study more, but dont let him aside, please: good looking tenors are hard to find.
É un fatto anche, che alcuni mezzo-soprani hanno interpretato ruoli come Aida o Tosca, per esempio Grace Bumbry. Quindi, dovremo aspettare e vedere che cosa dice il tempo.
Ah, that's good to know! I wasn't aware this was a common joke in Peru. So are you joking with the Brazilian people, eh?! I'm kidding. You know, we Brazilians ourselves joke every time about ourselves. :-) If you can read Portuguese then it's already a 50% complete job. Speaking Portuguese is more difficult for Spanish-speakers than vice-versa, because we have some "unusual" sounds, but hey, you only need to be positive about it. You Peruvians have "a cabeça mais grande do mundo!". ;-P
Garanca ha una voce bellissima di soprano,è un fatto. può cantare anche Ulrica questo per me non cambia nulla! e carissimo amico mio non dimentichi mai le mie parole: - un giorno tu sentirai Garanca di cantare il repertorio del soprano! lo spero!
@wenckemanie Thanks, yes got it not long after it was released :) I do like it, although I wish it had Juan Diego Florez instead of Calleja - no matter how much I listen to him and try to see what all the hype is about, his fast vibrato (almost tremolo) and strange buzzing sounds on high notes is vulgar. I always try to see the good in a singer and hate being negative, but he ruins this recording for me!
Actually, Filianoti was awful - perhaps even more so than Villazón - in the broadcast of Rigoletto last weekend. I hope he's better now, for he's a great tenor. Villazón is (or was, I'm afraid to say) a wonderful tenor, one of the best lyric tenors I've heard (I don't mean only vocal aspects, but the whole package). But his timbre isn't for all tastes. As for his Edgardo, AFAK, he'll be replaced only in one performance but will be available for the HD broadcast.
Ok! I take it as a joke, don't worry! hehehehe But, don't take it as a complain, let me just correct you in order not to let the Portuguese language offended: we say "A barriga maior do mundo!!". "Mais grande" sounds wrong - however, in Portugal it'd be accepted, or so I was told. :-)
No, Garanca é una mezzo -soprano. La tessitura di Garanca non é di soprano, é di Mezzo. Altrimenti non potrebbero cantare Carmen di Bizert o Dalila di Saint-Saëns.
Non é il loro repertorio, cantano discretamente ma il cantoi elegiaco non éper loro, e la Garanca é comunque più aderente al testo. Però serve un soprano ed un mezzosoprano e loro sono obiettivamente due soprani di diversa caratura vocale.
O.K., OK. I don''t mean villazon is a pretty boy - let that for the girls to decide. What I mean is that -such as is in the movies and in the theatre, actors have to look like their characters. Rodolfo, Alfredo, have to be played by men in their thirties - not later. Unfortunately good singing is seldom accompanied by a good figure. Pavarotti, an old guy looking like a chest of drawers, Domingo, looking like grandfather, or Mimi or Violetta looking like the owner of a pizza shop...!