Rencontres et Débats Autrement du mercredi 25 janvier 2012, Invité: Bernard STIEGLER, à l'occasion de la sortie de son livre : "ETATS DE CHOC" Bêtise et savoirs au XXI è siècle
Je ne voulais pas le reconnaître, je ne souhaitais peut être pas que ça puisse ce faire lorsque j'écoutais Mr Stiegler mais en faite j'avais tord. Il est bipolaire comme beaucoup d'autres mais lui aussi à pris conscience de ce aucune nouvelle individuation du savoir pouvait apporter à la société. Nous avons besoin de liens et de synthétisation de la connaissance non plus de normalisation du savoir. Je communiquerais toutes mes recherches personnelles "amateur"à arsindustrialis au plus tôt. Ce discourt ma percuté. Tout ses guides sont aussi les miens . Derrida Foucault, Chomsky mais encore je pense que ce concept d'"intrication" de la connaissance est universelle. Merci à Mr Stiegler
Sauf que "la bêtise systémique " n'est pas une donnée définie! elle se définie uniquement par l'acceptation d'une norme collective estimée "raison systémique". Ce qui fait que ce propos n'a aucun sens existentiel ! Même la base du propos est "bête", l'humain n'est pas incomplet, il est contraint d'exister après avoir subit "l'inconvénient d'être né". Sinon les exocets (poisson volant) on juste développé un système qui leur permet de se faire bouffer moins vite par plus gros, ils ne font pas ça pour s'amuser, pour faire joli ou devenir oiseau
Je suis assez déçu de cette conférence et j'ai beaucoup de désaccords avec ses ses propos. Je ne connaissais pas le personnage il a un sacré parcours de vie et beaucoup de courage. Il est décédé en 2020.
Croire à la faiblesse d'un système s'étant propagé "par dépis" est un peu naïf. Nous n'avons plutôt pas su promouvoir une contre-pensée face à celle de la mondialisation construite de main de maître, autour de la constriction des valeurs structurantes ( honneur, famille, nation, dualité HF ... ) en une seule numéraire et "départageante", grâce à l’inondation d'énergies fossiles émancipatrices des pulsions, pour faire de l'homme enraciné, un nouvel homme "hors sol" structuré par ses seuls rêves, inconscient de sa propre exploitation. L’énergie tombe et cet homme là tombe avec...
Dire qu'un système s'est propagé par dépis revient exactement à dire qu'on n'a pas su construire une contre pensée. Parce qu'en l'absence d'une alternative, on choisit donc par dépit (c'est la définition). Par contre, un contre système doit être progressiste. C'est le conservatisme aveugle qui montre toujours des limites (par définition, ce qui dure finit par ne plus marcher dans un contexte qui évolue). Il faut donc construire une pensée nouvelle en contexte, c'est ce que j'appelle le progressisme. Et pour finir : Honneur famille nation ??? Sérieux ? Le pétainisme on a vu mieux comme "contre-pensée" !!
il me semble que l'"individuation" dont il parle dans la vidéo n'exclut pas la bêtise. C'est pas parce qu'une personne est "devenue elle-même" qu'elle est intelligente (malheureusement).
+Mélanie M qu'est-ce que devenir soi-même ? c'est la question ardue que chacun évite, est-ce un absolu (sûrement pas), un devenir est par définition un processus (de devenir... à moins qu'il ne s'arrête, ce qui amènerait à avoir comme comme but de ne plus devenir). Ensuite, peut-être que le processus de devenir soi-même n'est que l'éclosion des potentialités tributaires du milieu (un peu comme les graines qui produisent en fonction de leur génétique et du milieu), mais en suivant de façon bornée des lois bornées de la nature. Aussi peut-être que pour développer son potentiel il faut aussi admettre qu'on a besoin de se taire et apprendre bêtement, si tant est qu'on soit bien suivi par une bonne école et de bons maîtres.
Bonne remarque, depuis le 20 éme siécle au moins "le connais-toi toi même" inscrit au frontispice du temple de Delphes est comprise comme une invitation au développement personnel. Il faudrait connaître les tréfonds de son âme, se pencher avec complaisance sur son nombril. Le sens initial de comprendre que l'homme est un élément de l'univers un petit un minuscule morceau du tout. Rien à voir donc avec le contentement béa de soi, les tests de personnalité et les selfies. Schopenhauer me semble -t-il fait de la volonté la force individuante qui est à l'origine de la souffrance des antagonismes et de la violence... La surabondance de biens a conduit le marketing à jouer sur le ressort de l'individualité. le consommateur se aura la possibilité d'acheter une bouteille de boisson gazeuse "personnalisée" portant son prénom, le conducteur aura une voiture personnalisée avec toute une série d'options et la ménagère pourra acheter une machine à laver qui lui ressemble...
27' 29 " La pensée se désorganise il commence à parler dans sa barbe il n'a plus rien à dire sauf à dire que tout va mal...Et une pincée de psychanalyse c'est la compulsion de répétition. 31 "Aimer c'est investir dans un objet de désir" après avoir pourfendu l'économie, critiqué ( attention c'est du lourd " l'économie politique" ) voici que, sans faire de manières, M. Stiegler se met dedans en choisissant, ironie du sort, la métaphore économique (une de celles utilisées par Freud qui en utilisée d'autres).
A 20' 44 " : "il faut aller au delà de la philosophie des lumières pour penser une philosophie des ombres et des lumières". Alors premièrement la philosophie des lumières et le nom que l'on donne à un courant de pensée ce n'est pas à proprement parler une réflexion sur la lumière. Deuxièmement M. Stiegler s'engouffre dans une métaphore foireuse. C'est le fameux changement de cap par un virage à 360 degré. Je veux juste faire remarquer que pour qu'il y ait de l'ombre il faut de la lumière. Par contre je suis d'accord la bêtise ne peut pas être vaincue. Combattons la.
Je me questionne à propos de l'externalisation des savoirs de l'ouvrier par l'industrialisation, l'automatisation et la fragmentation des tâches : en étant dépossédé d'un savoir, l'ouvrier n'a-t-il pas été soulagé (cognitivement), et a alors pu se politiser, s'organiser en syndicat et participer à la lutte sociale ? Peut-être que je me trompe et que les syndicats sont antérieurs. Quelqu'un aurait une idée à ce sujet ?
J'aurais plutôt tendance à penser que l'industrialisation à dénaturé de telle manière le travail qu'il en est devenu insupportable. Si la pensée socialiste apparaît avec la révolution industrielle, ce n'est pas un hasard. Auparavant, l'ouvrier avait de la valeur car il était le seul à pouvoir fabriquer de ses mains. L'ouvrier était bien plus proche de l'artisan (un artisan subordonné à un employeur, certes !) que de la machine. Il en tirait de la fierté. Cette fierté rendait son sort plus supportable. Avec la mécanisation, l'ouvrier se rapproche de la machine, et son travail est d'autant plus dévalorisé qu'il devient productif. Il est facilement remplaçable, et son salaire diminue. La spirale infernale est engagée, et amène à ce que nous connaissons aujourd'hui : les entreprises qui font le plus de chiffre d'affaire sont souvent celles qui fonctionnent avec le moins de salariés. Si le syndicalisme apparaît, au XIXème siècle, c'est pour des raisons de survie de la classe ouvrière, lesquels ouvriers risquent leur vie chaque jour en allant travailler. Ajoutons que la fin du corporatisme à la révolution a sans doute rendu nécessaire de nouvelles formes de réunions des travailleurs, dont le syndicalisme est une expression.
l'ouvrier au 19ème était un citoyen avant de devenir définitivement un ouvrier. si on ne l'évoque pas on ne rend pas compte de cette violence institutionnelle qui n'a eu de cesse de trouver un visage acceptable,ou tout simplement démocratique...on la retrouve là ou elle met tout en oeuvre pour échapper au jugement populaire...à travers son nouveau statut ancré dans l'institution et son expression de résilience démocratique elle ne fait qu'occuper de manière dictatoriale un espace de parole qui s'il n'est pas tout de suite muselé et réduit à une simple représentation,l'appareil d'état dans son impératif à tout maintenir dans la représentation de lui mème,se retrouvera dans une posture ou elle ne peut empècher le dévoilement de ses intentions premières...en écrivant et actant l'histoire elle peut ainsi échapper à l'oeil (critique) du sens commun qui lui ne supporte aucune complaisance et compromission dans la relation à l'autre,au groupe...et se dévoiler dans sa transindividuation (intersubjectivité) portée par une perversité inouie de la conscience de son renoncement à ètre avec les autres...on n'y verrait qu'une simple garce qui très conciente de son charme,si elle était réduite à son effet aliénant,ne pourrait plus se réaliser (et donc vivre comme telle) le maximum de pékins dans un temps réduit....l'espace social ainsi surinvesti devient alors le seul espace à vivre...le langage partagé de son vivant affecte alors durablement le socle commun qui nous constitue dans son espace d'expression et qui ne peut plus permettre une vision commune,seule condition au Sentiment d'ètre ensemble...l'espace ainsi redéfini ne peut plus dès lors produire son expression fédératrice,entropique (fédérante devrait on dire) son aspect indispensable,incontournable..son expression...universelle qui 'lui permet d'échapper à tout jugement...elle redeviendrait alors la chose commune,la chose simplement accessible...inconcevable pour un pouvoir qui ne se vit que dans la défr;agmentation du corps social... là ou l'ensemble ne cherche plus plus à s'y retrouver.
Adhésion complète, les concepts philosophiques traitant de l'apport des nouvelles technologies dans l'économie est urgent pour combattre les charlatans oeuvrant d'influence illégitime sur les politiques gouvernementale pour annihiler toute réglementation leur étant défavorable! je remarque que cette prise de conscience est en train de murir voir d'éclore a travers le monde. Espoir.
La pomme, certes, mais dans son sens "thérapeutique". Il ne l'utilise pas pour devenir "bête" (comme il l'aurait fait s'il passait sa journée sur des sites de divertissement) mais au contraire pour structurer sa pensée et faire des recherches pour son travail.
Monsieur, Il exprime lui-même l'utilité de la technologie. Il revendique le non-savoir de son utilisation. Ces outils permettent d'un côté, de s'instruire, mais regardez dans tout les transports publics, toutes ces têtes devant leur Natel s'abrutissent ! il y à une différence entre l'outil en question et son utilisation ;) cordialement
Derrida à 9' "le plus grand penseur de tous les temps". La bêtise nous frappe tous effectivement. "De tous les temps" l'individu qui se croit de tout temps est une des figures de la bêtise.
Oue vous savez là on a affaire au langage poétique du quotidien. Comme lorsqu'on dit " le soleil se lève " et se couche :) C'est une des caractéristiques de Bernard Stiegler de mélanger science et poésie
32 ' Il donne des cours ! Dans une école !? Je plains les étudiants il faut que dans leur copie ils reprennent son galimatias tout en l'organisant et lui trouver des qualités. Dur métier que celui d'étudiant.
c'est une pensée assez riche et qu'il est donc difficile de transmettre totalement à l'oral. La lecture d'article peut aider. Pour ma part, je regarde d'autres vidéos du philosophe. La compréhension émerge lentement :)
bien au contraire le discours est complexe et perdrait beaucoup de sa teneur si on cherchait à le réduire à une pensée compréhensible ds l'immédiat. c'est mon sentiment juste une opinion.
le discours oral d'une conférence est la retranscription d'une pensée murie, structurée et couchée sur papier. Ce n'est pas une opinion, c'est un fait : la lecture d'article est le meilleur moyen de comprendre...
sarsky22 qd j'ai 'écrit " c'est mon sentiment juste une opinion "...c'était juste pour rappeler que ce que je venais d'écrire etait juste une opinion...
Au point de vue du vocabulaire, si bêtise n'est pas en rapport avec les bêtes pourquoi ne pas utiliser le terme stupide? Sa éviterais les erreurs d'interprétation...
On sent bien que vous ne l'avez pas assez écouté ou compris. C'est jamais la technique qui est condamnée mais notre rapport aux choses, notamment aux outils du numérique. Écoutez enfants - écran
Bernard est certe savant et pour moi a du savoir mais il ne cesse de rester sur le concept et ne redescend jamais pour appliquer, il se perd au fil de ses idées. Je le trouve très bon dans des interview mais il est brouillon et sa pensée n'aboutie à rien lorsqu'il fait des monologues.
Que de philosophes depuis l'abandon de Dieu ? Si les Ecritures sacrées n'avaient pas étaient falsifiées par des âmes noires ( ancien et nouveau testaments), les Gens se porteraient mieux .... telle est la " Bêtise"
+Carmelle Dina Y a pas de Dieu. La philosophie, c'est quand même vachement plus concret. La bétise, c'est d'envoyer des prières vers un ciel vide de toute déité, dans l'espoir d'avoir une réponse.
Il parle trop vite et presque à voix basse, il marmonne les mots entre ses dents, on ne pige rien (ou presque) à ce qu'il raconte. On dirait qu'il ne fait que se parler à lui-même ! Ce "philosophe" qui nous fait un exposé sur la bêtise semble ne pas avoir identifié un genre de bêtise qui est le plus susceptible de le concerner, en tant que pédagogue, c"est celui qui rend quelqu'un incapable de se mettre à la portée de son auditoire. Si les concepts philosophiques sont déjà souvent difficiles à assimiler et si un mot prononcé demande souvent pour celui qui l'entend une seconde ou deux de réflexion qu'en est-il alors s'il faut en plus reconstituer la phonétique par déduction à partir d'un grommellement étouffé et caverneux, ou de ce qui ressemble à une psalmodie murmurée en vitesse ! C'est le genre de personnage qui n'a pas son pareil pour dégoûter les gens de la philosophie et par la même répandre cette fameuse bêtise dont il parle ! J'ai comme un soupçon: n'y-a-il pas une certaine intentionnalité dans cette attitude de non-communication ?
Bien d'accord avec toi Eric, je viens de voir une autre conférence avec lui. Elle promettait d'être passionnante, et en réalité elle est très vite gâchée parce que tu décris, cette espèce de marmonnement inintelligible avec sans arrêt des digressions. C'est extrêmement pénible à suivre et au bout d'un moment, on finit par décrocher. Je pense que ce n'est pas intentionnel : cela signifie simplement que ce type ne se comprend pas lui-même ! Ce qu'on conçoit bien , s'énonce clairement. et les mots pour le dire viennent aisément. Ce type n'a que de vagues intuitions et aucune construction sérieuse pour les exprimer. C'est l'image type de l'intello qui est totalement noyé dans ses références culturelles, et qui improvise ! C'est pas sérieux.
Vous êtes des cochons gavés à youtube. Avant d'aborder un conférencier glosant sur la ramification d'un important corpus de savoirs contemporains, il serait bon de lire ses livres (Oh mon dieu lire ! Vous sauriez ?). Livres qui ne connaissent pas l'imprécision intrinsèque à un discours tant soit peu consistant. Vous vous figurez que la philosophie surannée des Montaigne, La Boétie et autres Pic de la Mirandole a encore cours ? La philosophie moderne n'entretient plus des passions triviales, elle est une controverse sur l'orchestration de savoirs spécifiques (c'est ainsi que Sartre l'a définie), donc suppose des minima de connaissances techniques pour être appréciée. Et ces "marmonnements" et digressions pointent (mais ne les développent pas) les savoirs qui asseyent telle ou telle proposition. Je vous imagine parfaitement essayer de lire un livre de théorie des nombres algébriques. Après 3 ou 4 heures d'absolue incompréhension vous le jetteriez aux cris de : "Ce qu'on conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément. C'est pas sérieux." Vous êtes pitoyables. Eric, je vous le rappelle : grommeler signifie protester à mi-voix. Décorer un texte de mots inaccoutumés fait généralement paraître bien idiot devant ceux qui en ont l'exacte définition.
Maxime Dual Des gens comme ce Bernard Steigler sont à mon avis de purs escrocs qui parviennent, comme les gourous de sectes, à s'auto-persuader que leur discours a un sens, une cohérence et un lien avec le vrai monde. Comme les gourous ils ont leurs adeptes, un auditoire aveuglé par un snobisme obsessionnel, faire partie de la toute petite minorité de ceux qui ont compris des choses très subtiles et inaccessibles au commun des mortels. Si bien que le gourou peut tant qu'il le veut les gaver de son baratin apparemment riche et profond mais en réalité sans signification réelle, ils se persuaderont toujours qu'ils y ont compris quelque chose car leur snobisme forcené les illusionnera dans ce sens ! On pourrait même avec succès leur faire le canular qui consisterais à publier un pseudo texte philosophique, signé par un philosophe de renom, qui ne serais qu'un alignement de termes parmi les plus abscons ou sophistiqués du jargon de cette discipline mais en s'appliquant cette fois à ce que l'ensemble n'ait strictement aucune signification de quelque nature que ce soit. Sans nul doute ils tomberaient dans le panneau et se montreraient élogieux envers l'instrument de la farce ! ( Ce canular a été fait à New-York il y a quelques années de cela, mais ça concernait plutôt le domaine scientifique je crois. Je n'ai pas plus ample détail. ) Au sujet du mot "grommeler" c'est le terme qui m'est venu en tête, non en raison de sa signification, que je connais très bien, mais par analogie sonore. (Quelqu'un qui parle à mi-mot, de manière inaudible, avec une voix sourde.) Les gens intelligents auront compris. Les autres, qu'ils ricanent et aillent se faire f***** !! Voilà ce qui apparaît de ma fenêtre, peut-être suis-je en partie dans l'erreur mais je suis aussi pas mal dans le vrai, ça je le sais !
Maxime Dual primo en tant que cochons nous n'avons pas été gardés ensemble, secundo, les rousseau, voltaire, la boétie étaient considérés de leur vivant comme de brillants orateurs, éloquents et tranchants, et je doute que Stiegler mérite d'être comparé à eux, tertio : ce n'est pas la personne de Stiegler qui est attaquée alors détends toi et pète un coup.
Maxime Dual ----> Mais ho! grand érudit!... N'est-ce pas ce que fait Bernard à mi-voix, protester et re-protester et encore protester, bref MURMURER ENTRE SES DENTS, style monologue grinçant, alors qu'il n'est pas seul avec lui même mais bien face à un auditoire attentif outre mesure dans ce cas précis de nullité pédagogique. Il faut vraiment être de mauvaise foi ou profondément inepte pour ne pas un minima percevoir que cet homme fait un discours amphigourique avec un ton grave, limite risible, et qui fait preuve d'un béotisme à faire bailler même le plus avide de connaissances utiles surtout si ce (pseudo) savoir n'est bien qu'une masturbation intellectuelle pour celui qui ce le marmonne... Montaigne, La Boétie et autres Pic de la Mirandole.... on une "philosophie surannée" d'après vous? Et vous valorisez les inepties de ce dégénéré se nommant Sartre... Mais mon pauvre garçon, sans vouloir être caustique, vous marchez sur la tête certainement aliéné par le formatage conventionnel de l'éducation nationale au service de la ploutocratie, crasse cognitive depuis bien trop longtemps au dépend de tous les peuples...
