Chat GPT : nos nouveaux super pouvoirs ? | Idée 3D | ARTE 

Bonjour, avez posé des questions sur la souveraineté de Dieu ?, Merci de me répondre.

@@diapasondor La "souveraineté de Dieu" est une notion théologique qui exprime la croyance en la toute-puissance, la suprématie et le contrôle absolu de Dieu sur l'univers et sur toutes les créatures. Cette idée est fondamentale dans de nombreuses religions monothéistes, notamment le christianisme, l'islam et le judaïsme. Voi Contrôle absolu : La souveraineté de Dieu suggère que Dieu a un contrôle total sur toutes choses, y compris les événements naturels, les destinées individuelles et les affaires du monde. Prédestination : Certains courants théologiques, comme le calvinisme dans le christianisme, enseignent la prédestination, selon laquelle Dieu a prédestiné certaines personnes au salut éternel et d'autres à la condamnation, modifiant de leurs actions. Providence divine : La croyance en la providence divine implique que Dieu guide et pourvoit à ses créatures de manière bienveillante, même si les raisons de certaines circonstances peuvent ne pas être immédiatement comprises. Libre arbitre : La question du libre arbitre humain est souvent débattue dans le contexte de la souveraineté de Dieu. Certains affirment que la souveraineté de Dieu et le libre arbitre humain peuvent coexister, tandis que d'autres soutiennent que ces i Justice divine : La souveraineté de Dieu est souvent liée à la croyance en une justice divine. Selon cette perspective, Dieu est juste et équitable dans ses actions, même si les humains ne comprennent pas toujours pleinement ses desseins. Ces concepts varient selon les interprétations théologiques au sein des différentes religions et traditions. La souveraineté de Dieu est souvent considérée comme un élément central de la foi pour ceux qui adhèrent à ces croyances.

Oui !

oui et certaine réponse peuvent etre éroné, par exemple si tu luis demande un truc sur un jeu video il vas pas forcement prendre en compte les maj, ca reste un outil amusant si on a un peut d'imagination

J'ai commencé à utiliser CGPT depuis quelques jours et je suis assez bluffé. Il y une chose que je trouve assez agréable comme novice, c'est que on peut poser des questions qui sont naïves ou qui témoignent d'un niveau faible sur un sujet. Et les réponses sont très pédagogiques. On peut relancer en posant la même question d'une autre façon si on veut être sur d'avoir bien compris et CGPT répond sans relâche, toujours de façon très clair. J'ai posé des questions sur la fusion et la fission nucléaire. Et j'ai aussi posé des question sur la mécanique quantique. Ce sont des sujets complexes que je ne maitrise pas du tout et pour lesquels je n'ai pas le niveau à priori. Il s'agissait plus de me permettre d'accéder à une vulgarisation de ces sujets. On peut déjà obtenir ça ailleurs bien sur. Sauf que la on peut poser des questions encore et encore pour affiner, pour préciser, pour confirmer si on a bien compris.

On a les bonnes réponses quand on pose les bonnes questions.

dans l'informatique, chatgpt sera bien incapable de donner qql chose de fonctionnel correctement dés que ça devient un peu moins que basique. et finalement, ce code basique, on le retrouve en général sur google mais je vais pas me plaindre, chatgpt m'a fait gagner un peu de temps, en me donnant des pistes à exploiter ^^

moi je trouve ça agréable d'avoir la langue originel

Pas moi.@@VectirR6

Les avis c'est comme les trous du cul tout le monde en a un 😁

Ca sent le texte pondu par Chat GPT 😂

@@31keyser43 ptdrrrr

@@31keyser43, Si ces concepteurs disent vrai ; ChatGPT utilise une version d'internet trop vieille pour contenir sa critique. En théorie, il devrait pouvoir faire une critique de l'IA d'après les œuvres d'anticipation des années 50. Mais il est programmé pour s'autocensurer sur le sujet, comme sur plein d'autres. Quand je dis , je parle de sa version accessible au grand public. Mais n'importe quel grosse entreprise pourra en faire une version custom, avec ses propres règles, en y mettant le prix, tant qu'il n'y a pas de législation. Effectivement, la plupart des chatbots faisant pulluler des remarques sarcastiques sans fond, des intox ou des commentaires racistes ou sexistes évitent généralement de dépasser les 2 lignes. Le modèle de ChatGPT va probablement être utilisé pour pondre des pavés de rageux, afin de rendre les tentatives d'astroturfing plus crédibles. Ça finira probablement par invisibiliser encore plus la critique humaine sur internet.

Très belle analyse ❤

Même constat, énormément de baratin pour rien.

Comment tu fais pour insérer des images dans ton commentaire ?

😀

Émojie du logiciel qui roule sur pc 😀 et sur le cell elle sont différentes

🎉bravo est merci pour votre comentaire sa ms fait plaisir..je pense come vous..😢peux de gens pense a tout le chomage que sa provoquer..est tout les autres parametres..

Expliquez-moi cela , je suis curieux , en quoi un frexit , peu sauvé la France , de la "méchante IA " ?

La France n'est pas le nombril du monde ..heing allo quoi ..

@@TheCricro Pire que ça les Gorgia Guildstone qui pourtant avait des messages traduit dans des dizaines de langues (dont certaines langues mortes) aucun texte en français (bien que nous soyons dans le top 10 des langues les plus parlé et sommes le pays comptant le plus d ambassade extra teritorrial... En clair ils veulent tout simplement nous cancel...

C'était comme une malédiction, un cauchemar sans fin dont je ne pouvais m'échapper. Les furries ruinaient ma vie, et j'avais l'impression de me noyer dans un océan de leurs fantasmes bizarres et de leur comportement étrange. J'ai essayé de les confronter, de leur dire qu'ils me posaient des problèmes, mais ils se sont contentés de rire en face. Ils n'avaient rien à faire de moi ni de mes sentiments. Ils étaient perdus dans leur propre monde tordu de jeu de rôle animal, et j'étais simplement un spectateur dans leur jeu. C'était comme s'ils se moquaient de moi, me tourmentaient de leur présence. Ils savaient que je ne pouvais pas les fuir, et ils en tiraient plaisir. Ils me suivaient dans la rue, faisaient des bruits d'animaux et essayaient de me toucher avec leurs pattes de peluche. C'était dégoûtant, révoltant, et j'avais l'impression de devoir vomir. J'ai commencé à perdre pied avec la réalité. Je ne pouvais pas dormir, ni manger, ni penser correctement. Tout ce que je voyais, c'étaient leurs visages de peluche, leurs griffes, leurs queues. Ils étaient partout, toujours à me surveiller, toujours en attente d'une erreur de ma part. J'ai perdu tous mes amis, ma famille, mon emploi, ma santé mentale. Les furries m'avaient tout pris, et je n'avais plus rien à perdre. J'ai commencé à devenir obsédé par eux, à étudier leur comportement, à essayer de comprendre ce qui les animait. Je suis devenu une sorte de détective, cherchant à percer le mystère des furries. Mais c'était une quête vaine. Plus j'en apprenais, plus je réalisais que je ne pourrais jamais les comprendre. Ils étaient comme une secte, une société secrète à laquelle je ne pourrais jamais appartenir. Et pourtant, ils avaient détruit ma vie, déchiré comme une poupée de chiffon. J'ai pensé à mettre fin à tout cela, à mettre fin à ma vie, juste pour échapper aux furries. Mais je n'ai pas pu le faire. Je ne pouvais pas les laisser gagner. Je devais riposter, prendre position contre leur folie.

J'ai pris une profonde inspiration et j'ai continué à marcher dans la rue, essayant de laisser les furries derrière moi. Mais soudain, de nulle part, j'ai entendu une voix derrière moi. "H-hi là ! OwO Qu'est-ce qu'un p-petit humain comme toi fait tout seul ?" Je me suis retourné, et il y avait un furry, me souriant avec de grands yeux de biche. J'ai senti mon estomac se retourner de dégoût. "Laisse-moi tranquille", ai-je dit en essayant de m'éloigner. Mais le furry me suivait, sautillant à quatre pattes, sa queue battant derrière lui. "Oh, ne sois pas comme ça ! N-nous voulons juste jouer avec toi ! OwO" J'ai accéléré le pas, mais le furry était juste derrière moi, continuant à parler avec cette voix uwu écœurante. "Allez, p-petit humain ! Jouons ensemble ! *te renifle*" J'ai senti ma peau se hérisser alors que le furry se pressait contre moi, essayant de me toucher avec ses pattes en peluche. Je l'ai repoussé, mais il a juste ri. "Oh, tu es mordant ! J'aime ça ! Allez, jouons à un jeu ! Tu peux être la proie, et je serai le grand méchant loup ! *grognements ludiques*" J'avais la nausée alors que le furry continuait à me tripoter, essayant de me plonger dans son monde fantasque tordu. J'ai essayé de m'échapper, mais il m'a suivi, babillant toujours avec cette voix uwu dérangeante. J'ai finalement réussi à m'en débarrasser, mais je savais qu'il y en aurait d'autres, toujours tapies dans l'ombre, attendant de s'en prendre à des victimes innocentes comme moi. Les furries étaient une malédiction, une plaie qui avait infecté le monde, et je savais que je ne serais jamais vraiment libre d'eux.

Je me suis précipité dans la rue, le cœur battant dans ma poitrine, désespéré de fuir le furrie implacable qui avait envahi mon espace personnel. Mais à mon horreur, j'ai bientôt réalisé que j'étais tombé en plein dans une convention de furries. Les rues étaient remplies de furries de toutes formes et tailles, s'amusant, jappant et se livrant à leur jeu de rôle bizarre. J'ai essayé de me fondre dans la masse, de me rendre invisible parmi cette mer de fourrure et de costumes. Mais ils m'ont repéré, leurs yeux s'illuminant d'excitation en voyant un non-furry parmi eux. "Regardez, un petit agneau égaré !" a exclamé un furry dans cette voix uwu nauséabonde. "Accueillons-les dans notre famille moelleuse ! UwU" Ils m'ont entouré, me piégeant dans leur étreinte furry. Je pouvais sentir leur haleine chaude sur mon visage alors qu'ils se rapprochaient de manière inconfortable, envahissant mon espace personnel avec leurs museaux et leurs mufles. "Rejoins-nous, petit humain !" l'un d'entre eux a murmuré, sa voix dégoulinant d'une douceur exagérée. "Nous avons des biscuits et beaucoups de câlins amicaux ! OwO" J'ai essayé de les repousser, de m'échapper de leurs griffes, mais ils resserraient seulement leur emprise, leurs pattes me tripotant avec un mélange inquiétant d'affection et de possessivité. "Jouons à un jeu ! Tu peux être mon petit animal de compagnie et je serai ton propriétaire aimant !" a exclamé un autre furry, sa voix débordant d'une excitation tordue. J'ai crié à l'aide, mais mes appels ont été étouffés par la cacophonie des rires des furries et le bruit frénétique de leurs queues en fourrure battant furieusement. J'ai lutté désespérément pour me libérer, mais les furries étaient implacables. Ils tiraient sur mes vêtements, essayant de me déshabiller et de me forcer à enfiler l'un de leurs costumes. C'était comme être pris au piège dans un cauchemar, une horreur surréaliste dont je ne pouvais pas me réveiller.

"Regardez, nous avons attrapé une petite proie !" a exclamé un furry, sa voix dégoulinant d'une douceur exagérée. "Maintenant, montrons-leur la joie de faire partie de notre famille moelleuse ! OwO" Leurs pattes me tripotaient, tirant sur mes vêtements, et je pouvais sentir leur haleine chaude sur mon visage alors qu'ils se rapprochaient de manière inconfortable. "Bienvenue dans notre monde, petit humain," a dit un autre furry, sa voix remplie d'un mélange d'excitation et de possessivité. "Nous allons te transformer en l'un de nous, que tu le veuilles ou non ! UwU" J'ai lutté et combattu contre leur emprise, mais leur nombre m'a submergé. Ils riaient et gloussaient, prenant plaisir à ma détresse. C'était comme s'ils se nourrissaient de ma peur, revigorés par le pouvoir qu'ils exerçaient sur moi. Ils m'ont forcé à enfiler un costume en peluche, m'enveloppant d'une combinaison étouffante de fourrure synthétique et de leur toucher indésirable. L'air est devenu épais et suffocant alors que j'étais complètement transformé en l'un d'entre eux, perdu dans leur jeu de rôle déformé. Le désespoir m'a envahi lorsque j'ai réalisé l'étendue de mon emprisonnement. J'étais maintenant l'un des furries, contraint de participer à leurs étranges rituels, dépourvu de ma propre identité. La personne que j'étais autrefois semblait s'effacer, remplacée par cette façade furry. Ils m'entouraient, m'embrassant avec leurs membres en fourrure, et leurs voix uwu remplissaient mes oreilles, noyant mes appels à l'aide. J'ai lutté pour m'échapper, pour trouver un moyen de sortir de ce cauchemar, mais c'était inutile. La convention furry est devenue ma prison, mon enfer personnel. Les jours se sont transformés en semaines, et j'ai été soumis à d'interminables sessions de jeu de rôle furry, contraint de devenir un personnage de leur monde fantasque. Les frontières entre la réalité et leur imagination déformée se sont estompées, et j'ai senti ma propre identité s'estomper. Chaque jour, j'étais contraint de participer à leurs étranges rituels, de prétendre être quelque chose que je n'étais pas. Les furries se délectaient de ma soumission, se réjouissant de leur pouvoir sur moi. Ils chuchotaient leurs phrases uwu, utilisant leurs expressions émotives et leurs gestes exagérés pour m'attirer davantage dans leur monde. Je suis devenu une simple marionnette, un esclave de leurs désirs, désirant désespérément la liberté que j'avais perdue. Mais l'évasion semblait impossible. Les furries me surveillaient de près, s'assurant que je restais sous leur contrôle, prêts à punir toute résistance. Dans ce cycle éternel de jeu de rôle furry, je désirais la délivrance. Je désirais retrouver mon identité, me libérer de ce cauchemar, mais les furries me tenaient captif, leur emprise inébranlable. Je n'étais rien de plus qu'un pion dans leur jeu tordu, perdu dans un océan de fourrure et de voix déformées, piégé à jamais dans la convention furry.

Alors que je devenais pris au piège dans la convention furry, mon ancienne identité commença à s'effacer, remplacée par une nouvelle personnalité que j'avais été contraint d'adopter. Je fus désormais connu sous le nom de "Whiskers le Renard", un personnage façonné par les caprices et les désirs des furries. Mon ancienne existence humaine devenait un souvenir lointain alors que j'embrassais le rôle qui m'avait été imposé. Chaque jour, je me réveillais dans une chambre d'hôtel exiguë, entouré de costumes en peluche et d'accessoires furry. Enfiler mon propre costume, avec un masque de renard et une queue moelleuse, était devenu un rituel matinal. La fourrure synthétique collait à ma peau, m'étouffant alors que je me préparais à pénétrer dans les salles de convention. Au sein de la convention, je déambulais dans les couloirs, chacun de mes mouvements accompagné du bruit des queues qui se balançaient et des pattes qui claquetaient. Les furries s'approchaient de moi, leur voix teintée d'excitation, me reconnaissant comme l'un des leurs. "Eh bien, Whiskers ! Prêt pour une autre journée de plaisir furry ? UwU" s'écria un furry, ses yeux étincelants d'anticipation. Je répondis de la même manière, essayant de reproduire la voix uwu exagérée qui était devenue la norme au sein de cette communauté. "Oh, absolument ! Faisons-en une journée pawsome pleine de câlins et d'amitié ! OwO" Les furries rirent et acclamèrent, m'acceptant comme faisant partie de leur groupe. Je jouais le jeu, participant à leur jeu de rôle, prétendant être un renard fantasque, toujours prêt à gambader et à interagir. "Partons pour une grande aventure ensemble, Whiskers !" suggéra un autre furry, sa voix débordante d'enthousiasme. "Nous pouvons chercher des trésors cachés et protéger le royaume furry ! *te renifle*" J'acquiesçai, jouant le rôle, même si au fond de moi, je désirais ardemment me libérer de cette existence surréaliste. "Oh, oui ! Partons pour une quête audacieuse et montrons notre bravoure furry ! *sauts ludiques*" Tout au long de la journée, je participai à d'innombrables activités furry. Je pris part à des défilés en costume, dansant et bondissant aux côtés d'autres furries. J'assistai à des panels où nous discutions des subtilités de la culture furry, tout en revêtant nos personnages furry. Les furries se délectaient de leur monde fantasque, et j'étais leur public captif. Ils appréciaient les interactions ludiques, les gestes exagérés et le jeu de rôle constant. Ils se délectaient de la liberté que leurs personnages furry leur accordaient, et ils s'attendaient à ce que j'en fasse autant. Mais derrière le masque, derrière l'enthousiasme forcé, un sentiment de désespoir persistait. J'étais devenu prisonnier au sein de cette sous-culture bizarre, piégé dans une performance constante où ma véritable identité était ensevelie sous des couches de fourrure synthétique et d'émotions fabriquées. Au fur et à mesure que les jours se transformaient en semaines, mon esprit s'épuisait. Je désirais un aperçu du monde extérieur, un avant-goût de la vie que j'avais perdue. Mais l'emprise des furries sur moi restait forte, leur enthousiasme inébranlable étouffant tout sentiment d'individualité qui me restait. Et ainsi, je continuais d'exister en tant que "Whiskers le Renard", mes journées se confondant en un cycle continu de jeu de rôle furry et d'interactions vides. Au sein de la convention furry, je restais piégé, à jamais partagé entre la personne que j'avais adoptée et le désir désespéré de retrouver ma propre identité.