Eaux noires 

Bonjour Amannsall, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Éric, Merci pour ton commentaire. C'est sûr, question vie sous les Caraïbes il y a plus glamour comme sujet 😄. Pourtant, sur un bateau, cette question va se poser au moins une fois dans la journée à une personne. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Hervé, Merci pour ton commentaire. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Michel, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Il y a des sujets comme ça, où trouver le juste positionnement entre donner de l'info, initier une réflexion sans verser sur un pan moralisateur n'est pas évident. Le point de départ est propre à chacun, le plus important reste le cheminement. Si c'est vidéo peut à son niveau nourrir ta réflexion c'est le principal. N'hésite pas à me faire part de tes idées. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Patrick, Merci pour ton commentaire. À bientôt, Lilian 😀

Salut Gilles, Merci pour ton commentaire. 100% d'accord avec ton analyse. Ce qui est navrant c'est que ceux qui sont les plus prompts à juger les autres sont souvent ceux qui font le moins preuve d'exemplarité. À bientôt, Lilian 😀

C'est bien vrai !! 😉

Bonjour Jej, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Je comprends l'intérêt de séparer les liquides des solides. Par contre, s'il n'y a plus de sciure dans le réceptacle des solides il doit y avoir des odeurs au bout de quelques jours ? À bientôt, Lilian 😀

Salut Nono, Merci pour ton commentaire. À bientôt, Lilian 😀

Salut Stéph, Merci pour ton commentaire. Si mes souvenirs de mathématiques sont exacts, 1 m3 est un cube d'un mètre sur un mètre, sur un mètre. Du coup, pour 2m3 on a un cube de 2m de haut. Multiplié par 200 bateaux ça nous fait un cube de 400m de haut. C'est déjà du joli cube. Il y a bien 2 marées par jour à Sainte Anne, mais avec un marnage d'environ 40 cm, on est loin des marnages bretons qui brassent l'eau en profondeur. De plus, les eaux noires concernent l'ensemble des mer et océans, ce problème se pose également en méditerranée, par exemple dans les calanques dans le midi. Au final, dans certaines zones la cuve est devenue obligatoire, et dans d'autres zones le mouillage a été tout bonnement interdit. Et lorsque ce ne sont pas les autorités locales qui ont mis le holà, les tensions avec les locaux sont devenues telles que la cohabitation plaisanciers/locaux fait exploser le rêve de carte postale du mouillage idyllique. Je pense que c'est un problème global qui dépasse les considération purement écologiques. Beaucoup de plaisanciers gardent en tête les récits de tour du monde de nos prédécesseurs des années 70. Si je force le trait, je dirais qu'on est passé en 50 ans du routard au tourisme de masse avec toutes les derives qu'on lui connaît actuellement. Je ne dis pas que ma vision est la bonne et j'entends parfaitement que d'autres aient des points de vue différents. Je recherche une approche qui concilie mes convictions écologiques, la pérennité de mon mode de vie nomade et les relations cordiales avec les locaux dans un esprit gagnant/gagnant. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Pierre, Merci pour ton commentaire qui illustre bien le fait que pour un même sujet les avis peuvent être complètement différents. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Mpa aimar, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Je suis d'accord avec toi. Je ne sais pas comment a été déterminée la limite des 12 miles. J'imagine que dans le meilleur des cas, elle repose sur des données scientifiques. Le problème pour moi, arrive lorsque cette règle s'applique de façon globale sans tenir compte des caractéristiques locales (par ex: profondeur, courant...) et dont l'application ne tient pas compte des considérations pratiques de ceux quidoiventl'appliquer : manoeuvres, distances et durées de trajets. 12 miles, à une vitesse de 5 ou 6 nœuds, tu compte 2h à 2h30 aller. Donc 4 à 5h AR. Tu rajoutes 2 X 1/2h de manœuvre de mouillage. On arrive à 5 ou 6h. À répliquer tous les trois jours. On pourrait dire : ben il faut profiter des traversées. C'est vrai, mais toutes les traversées ne sont pas supérieures à 12 miles et un bateaux en grande croisière passe en moyenne 70% de sont temps au mouillage. Je ne dis pas qu'il faut pas de règles et qu'il ne faut pas protéger l'environnement. Je dis que lorsque les règles ne tiennent pas compte des réalités de vie de ceux qui doivent les appliquer, les résultats sont souvent pires que ceux qui auraient été obtenus avec une règle "moins parfaite". À bientôt, Lilian 😀

​@@ikigai-voyages Pour ma part, je ne pense pas que la réglementation soit dictée par des considérations evironementales ! On peux avoir 30 m d'eau à 12 miles mais aussi 2000 m de fond à 2 miles selon l'endroit ! Et si j'ai un bateau à moteur, je dois avoir le permis hauturier pour aller à 12 miles !!! Merci d'avoir abordé un tel sujet. 😉

Bonjour Christian, Merci pour ton commentaire. Comme dit le proverbe : "Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants". À bientôt, Lilian 😀

Salut Stéph, Merci pour ton commentaire. C'est parce que le corpus législatif est imparfait que, pour moi, la responsabilité individuelle et la vision globale est si importante. Question papier toilette, sur Ikigaï, nous ne le jetons jamais à la mer. À bientôt, Lilian 😀

Salut Alain, Merci pour ton commentaire. Le WC chimique c'est super. Le sujet invite nécessairement à une réflexion individuelle avant départ. Car c'est à ce moment que les aménagements sur le bateau sont les plus faciles à faire. Une fois parti c'est une histoire de comportements et de choix individuels dans un système de contraintes donné. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Thomas, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Je suis ravi d'apprendre que tu passes as l'action. Sur Ikigaï, la cuve est dans le cabinet de toilette avant bâbord. Au dessus des toilettes. La vidange se fait par gravité. Pour placer la cuve, une découpe à été faite dans le contre moulage de la cabine de douche, puis habillé avec du Komacel. Sur certaines vidéos, par exemple la visite d'Ikigaï, du devrais le voir. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Voilier Chance, Merci pour ton commentaire. Je te confirme que ce n'est pas évident à gérer. Comme je le dis dans la vidéo nous essayons de faire au mieux. Hier, nous sommes passé à Sainte Anne, puis au Marin en voiture, nous n'avons pas compté le nombre de bateaux à la bouée et au mouillage, mais c'était vraiment impressionnant. Ces bateaux restent là très souvent plus d'une semaine. Pour résumer je dirais que : D'un côté, tu as les partisans du: tout ça c'est naturel donc il n'y a pas de problème donc pas de sujet et pas de comportements particuliers à adopter. De l'autre, il y a les personnes qui pensent que ces rejets ont, à un niveau ou à un autre, un impact sanitaire, écologique et/ou social et qui adaptent leurs comportements qu'il y ait une loi ou pas. Lorsque tu fais parti de cette catégorie l'exemplarité à 100% n'est pas évidente, mais tendre vers c'est déjà mieux que rien. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Cyrille, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Dans la vidéo j'aborde le sujet des toilettes sèches et, pour moi, de leurs limites en navigation. La cassette pourrait être une idée, un peu comme le réservoir d'un WC chimique. En grande croisière, la cassette devrait avoir une taille et donc un poids une fois pleine, qui en rendrait la manipulation et le transport à terre, à mon avis délicat. Et pour être franc, sur les voiliers munis de cuves à eaux noires, les propriétaires qui ne vidangent pas au delà des 12 miles et n'utilisent pas les infrastructures de pompage, n'utiliseront pas davantage la cassette. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour RokyPalmor, Merci pour ton commentaire. Je n'en ai jamais entendu parler. Au regard de la taille, somme toute réduite, de nos cuves à eaux noires, les vidanges sont relativement fréquentes, du coup je ne sais pas si les ferments auraient le temps d'agir. Je te souhaite de passer de bonnes fêtes de fin d'année. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Cyril, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Comme nous n'allons pas au port nous n'utilisons pas les services de pompage. Donc, nous limitons autant que possible le remplissage de la cuve à eaux noires en utilisant les toilettes à terre (bars, restaurants, centre commerciaux...) et une fois pleine nous vidangeons au delà des 12 miles. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour André, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Concrètement sur Ikigaï, nous avons une cuve à eaux noires que nous utilisons. Les moyens à terre ne sont pas à plus de 12 miles, ils sont à portée d'annexe : entre 300 et 900m selon le mouillage. Comme nous sortons quasiment tous les jours du bateau c'est assez simple. Le reste du temps par exemple envie d'aller aux toilettes en pleine nuit nous utilisons la cuve. À bientôt, Lilian 😀

@@ikigai-voyages Bonjour, Ces histoires de caca passionnent, Freud ou Françoise Dolto pourraient nous l expliquer. De ce que je comprends vous videz votre cuve à eau noire qq part entre le mouillage et les fameux 12 milles lorsque vous jugez que cela se diluera facilement. Comme moi. Quand une règle est inapplicable on la transgresse.

@@andrepallotta8633 il me semble avoir précisé que je vidange au delà des 12 miles. De votre côté vous êtes libre d'appliquer les règles comme bon vous semble

Bonjour Bruno Bruno, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Je ne connaissais pas ce produit. Je te remercie pour l'info. Je vais l'ajouter à la description de la vidéo afin que chacun puisse se faire son avis. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour Didier, Merci pour ton commentaire. La question du papier toilette est une vraie question. Sur Ikigaï, le papier n'est pas jeté à la mer mais récupéré. Chaque cabinet de douche/toilette dispose d'une poubelle. Un peu comme à terre pour ceux qui ont des toilettes sèches ou une fosse septique. Certains de nos amis n'utilisent pas de papier mais se rince comme il est de coutume dans certains pays. Je sais qu'il existe du papier spécial toilettes marins. Certains l'utilisent, pour nous ce n'est pas une solution. De plus, en termes d'approvisionnement, de disponibilité et de coût, il y a une grande différence entre naviguer en France à la journée ou à la semaine et rentrer à son port d'attache en fin de croisière et naviguer en grande croisière. Quand je parle de grande croisière, j'entends : vivre à l'année, durant plusieurs années sur un bateau en itinérance. Lorsque l'on voit, ne serait-ce que pour l'avitaillement de base, les gesticulations et anticipations qu'il faut faire dans certaines zones, je ne me verrais pas courrir après du papier toilette spécial WC marin. À bientôt, Lilian 😀

Salut, Merci pour ton commentaire. En tout cas cette vidéo a libéré ta créativité 😄 À bientôt, Lilian 😀

oui j'avoue que sur ce sujet qui trône d'une importance vitale , je me suis lâché 😁 néanmoins j’éviterai toutes baignades dans les 12 milles @@ikigai-voyages

Bonjour Bruno Bruno, À 100% d'accord. Je pense que c'est un peu la pensée magique des toilettes. Dans une maison ou un appartement, tu tires la chasse et ce que tu ne vois plus n'existe plus. Dans un mode de vie nomade, voilier, camping car ou van, que ce soit pour : - la production et la consommation d'énergie, - l'approvisionnement et la consommation de l'eau, - la production et le traitement des déchets, Ta conscience des différences paramètres de ces systèmes est quotidiennement sollicitée. Ensuite c'est une question de responsabilité individuelle et d'état d'esprit. À bientôt, Lilian 😀

Bonjour, merci pour cette réponse, en effet le Bon sens, une qualité pas forcément innée donc des lois et encore des lois... Merci