Grand Interview de Charles GAVE sans filtres (2h) 

Lol.. un pourri cet homme.. 30 ans pour être mal à l'aise

Parce UE vous étiez intelligenr

Merci de me donner raison ! , le crétin qui redouble 20 fois sa classe , mais qui se retrouve quand même " ingénieur " ou " patron " de je ne sais quoi , ne vaut pas mieux que les gars qui sont partis bosser à 18 ans pour un SMIC ...

il considère la scène économique depuis son propre point de vue uniquement basé sur son intelligence de la situation. Résultat très SINGULIER 👍🏻

Je pensais que c’était un nouveau live avec Charles.... dommage non? J’avais déjà tout vu😉 organise un nouveau truc avec lui ca serait bien un vrai live avec cet homme 👌

La messe de Charles ! J'adore ! LOL !

Bonjour, quand vous dites " qu'il fallait l'abattre ( le client)" , vous vous y preniez comment , de quelle manière : en lui proposant des produits financiers "foireux " avec lesquels les clients allaient perdre leur argent/économie mais cet argent pas perdu pour vous/cabinet de gestion de patrimoine . C'est cela ? Merci.

@@theMezianaThai Bonjour. Oui. À partir de de l'année 1995 environ, tout à changé. Il ne fallait plus écouter le client. Avant, l'important était d'amener de l'argent à la banque, d'être près du client et de ses besoins puis, de façon assez brusque sont apparus les "comptes gérés". Le client devait choisir un profil et donner toute discrétion à la banque pour gérer cet argent. Les fonds foireux également basés dans des paradis fiscaux. Enfin, toute une panoplie de produits opaques. Ces méthodes nous ont amené à la crise de 2000 qui a été étiquetée "crise d'internet" alors que des actions comme celles de Nestlé, pour donner un exemple ont perdu plus de 50% sur deux ans. Puis, ces mêmes banques ont crée aux USA et en Espagne la crise immobilière. En Espagne, par exemple, je l'ai vécue vu que mon père était promoteur, et je l'ai d'ailleurs sauvé vu que nous avons vendu tous les terrains dangereux et n'avons plus construit à partir de 2006, à une personne qui achetait un appartement de 150'000€, la banque lui prêtait au moins 200'000€. Avec ça il achetait l'appartement, la voiture, les meubles, etc. Puis vint la crise la plupart se sont retrouvés sans rien. Sans parler des milliers de milliards qu'ont perdu les promoteurs et les banques. Les grandes ont été sauvées par Bruxelles, les autres ont disparu avec les fonds de pension de tous leurs employés. Il y avait une réelle volonté de venir à bout de cette classe moyenne qui n'était pas aristocratique mais provenant de gens du peuple qui avaient réussi, grâce aux 30 glorieuses, à se hisser à un niveau social qui devenait dangereux et incontrôlable. Le but n'était clairement plus de protéger le client mais de l'exposer.

@@Olaya_kawaii1922 bjr en gros délit d initié

Quand j'aurai plus d'abonnés et qu'on pourra réunir quelques milliers de personnes pourquoi pas :-) Mais c'est quelqu'un de très pris. Pour autant, j'y pense ...

ce serait génial

J'y rajouterai Etienne Chouard et Attali. Chouard pour son parcours atypique et ses opinions radicales et Attali pour sa mauvaise foi et son double discours permanent. Tout ça serait très croustillant !

Non, pas de débats, demerder vous.

Dans ce cas on pourrait aussi dire que l’entrepreneur est une personne qui croit à ses idées (et peut-être subséquemment à celle des autres).

Son programme serait assez simple, il a tout écrit dans ses livres. Laissez les gens innover et travailler librement en rétablissant une égalité devant la loi pour tous. Bon y a des subtilités mais le fond est là :-) De plus son message c'est bien que chacun se prenne en mains.

Le problème est que les gens achètent des choses qui leur sont inutiles. Personnes ne braque les pistolet sur leur tempe pour acheter chez Amazon. Les entrepreneur ne fabrique que ce qu'ils pensent qui sera demande par les consommateurs

@@nelson7584 le problème vient des deux côtés

Problème du système publicitaire-communicatif. Je préférerais une société 0 pub, ou alors comme aux élections, une affiche standardisée pour chacun, et ensuite, les gens jugent en fonction du produit. Ça tiendrait les entreprises par les couilles, donc avec du risque réel (bon, en échange de baisser les impôts et charges). Là, on est quand même pas mal dans la séduction style pervers narcissique qui empêche tout recul objectif.

Ne pas tomber dans le constructivisme ni mettre tout dans le même panier ; des entreprises mauvaises et avides il y en aura toujours. Si vous mettez en place des mécanismes de pouvoir pour interdire telle ou telle chose ça passera entre les mains des mauvaises personnes. L'enfer est pavé de bonnes intentions ; mais c'est la concurrence naturelle qui fait sortir au final les entreprises les plus respectueuses de la demande réelle, et la concurrence manque cruellement aujourd'hui par la connivence entre gros poissons et l'état

Signez un contrat avec sa société

arrêtez de dire des sottises...