Habermas, The Structural Transformation of the Public Sphere - De Dicto #2 

Super vidéo j'adore Merci depuis la Tanzanie

Je regarde vos vidéos chaque matin en route vers l'université. Merci depuis l'Algérie .✌️

Un grand Merci à vous Depuis Haïti 👏🏽👏🏽

Was just reading my friend’s recently published article about the public sphere and the philosophy of Levinas!

Merci (oui merci parce que j'écris Habermass depuis le début de l'année 😓)

Encore une fois merci beaucoup ! Je vais à mon partiel avec la tête remplie de références et de notions (nouvelles pour moi) cette vidéo a tout remis bien en place. Je suis totalement aufgeklart maintenant 😉

Je pense qu'il faudrait seulement baisser un petit peut le son de la musique, pour qu'on puisse se concentrer mieux. Sinon votre explication est simple et directe et facile à assimiler.✌️

Excellent épisode, merci pour ce travail!

Super vidéo, comme d’habitude! Merci beaucoup!

Excellent très agréable , merci

Excellent ! Je viens de découvrir ta chaîne, et j'adore ! :D

MERCIIIIIIIIIIIIIIII

Ta chaîne est géniale, la présentation est très agréable, continue comme ça! Merci!

Merci pour cette belle synthèse que je diffuserai avec votre autorisation auprès des stagiaires que je forme comme futurs agents de développement et de médiation interculturelle à Bruxelles

Merci énormement.

merci beaucoup

Pourquoi n'ai-je pas découvert cette chaîne plus tôt ?

Génial ce retour sur les origines et l'évolution de la publicité !

Merci merci merci merci merci

excellent

Merci beaucoup pour cette vidéo et le choix des musiques qui sont très belles. Cependant, pourrais-je te suggérer de me pas mettre des musiques à texte qui malheureusement risquent d'interférer avec ta voix ?

Miam miam !

Sa ma fait penser à "la société de l'indécence" de Stuart Ewens

4:16 beau chat

bonjour. Super boulot, merci beaucoup. Finalement, la notion d'espace public désigne donc, selon habermas, tous les espaces d'expression de la sphère publique?

I also think that there is a sort of an intersection between Habermas’ public sphere and the philosophy of Foucault (Subject and power).

Super vidéo, seule problème, la folia en fond… J'adore cette basse obstinée mais c'est vraiment difficile de se concentrer sur la vidéo

Bonjour ! Quelle est la musique à partir de 50 secondes? J'ai son nom sur le bout de la langue :/

Passage de la sphère publique littéraire (bourgeoise) à la sphère publique politique (bourgeoise) qui est forte d'un contenu critique à l'aide de la Raison (les Lumières sont émancipatrices des "tutelles" anciennes). Mais plus tard il va y avoir dissolution de la sphère publique bourgeoise (SPB) et perte de la critique politique et de "l'opinion publique" qui la soutenait . L'opinion publique devient alors publicité répétée.

Très bien. La suite sur l'agir communicationnel ? Il est quasi absent de la youtubesphere

Aujourd'hui, internet paraît en effet redynamiser l'espace public. Cette vidéo en est l'exemple ;). Est-ce que Habermas a fait une analyse de ce nouveau média de masse?

Génial! Est-ce que la notion "chomskienne" de "Manufacturing Consent" est basée sur Habermas?

super video ...Quelle est ta formation ?

tu conseillerais le ou lesquels de ses livres, pour aborder Habermas ?

S'il vous plaît la dernière phrase je l'ai pas entendu "l'opinion publique se retrouve aujourd'hui manipulé... Quoi ?

wtf on dirait la musique de IB en fond

wtf la deuxième partie la musique on dirait un truc qui était dans chroma aussi

je crois que je comprends mieux pourquoi je deteste habermas: finalememt il devrait etre considere comme sociologue. Mais il y a toujours eu un usage public de la raison c'est juste le nombre qui a change.

Bisous du Yémen 🍆✌️✌️

wtf la 3ème chanson c un truc dans les simpson nn ?

En réalité, il ne s'opère là qu'un transfert de pouvoir, d'un jeu d'aristocraties à un jeu d'oligarchies. La sphère publique autrefois conrtre-pouvoir centré dans la bourgeoisie, est par la suite usurpée par les nouvelles structures du pouvoir. Bien qu'elle soit encore labellisée "sphère publique", elle n'en garde aucunement la substance. Habermas a distingé la fonction et la forme de ce qui constitue une sphère publique. Aujourd'hui la "classe moyenne" a remplacé la bourgeoisie dans notre vocabulaire et elle jouit toujours de l'usage de son entendement et de la liberté de délibération. Ce qui complique la donne aujourd'hui, tel que l'a évoqué Lyotard, c'est que l'opinion publique et la production du savoir sont fragmentés en un foisonnement difficilement porteur de consensus - un phénomène que Lyotard nomme "paralogie" (cf. La Condition Postmoderne). Si l'avènement des réseaux sociaux brouille le consensus en octroyant à chaque individu son porte-voix, en revanche les "voies de contournement" offertes par ces mêmes technologies de l'information, sabordent le monopole des grands media et permettent à la critique de se constituer en masses. Les assauts contre la liberté d'expression dans les média sociaux, s'ils ne visent pas exclusivement et avec précision à endiguer la diffusion de "hate speech", portent en eux en même temps le risque de servir une opération de musellement de la sphère publique, dans l'intérêt seul des diverses oligarchies. La nature cependant trouve toujours son cours, et autant chercher à arrêter la mer avec ses bras. La sphère publique constitue donc à la fois une fonction - l'opinion critique - et une mode de communication social - la publicité kantienne. Ce qui change d'une époque à l'autre, c'est les moyens par lesquels cette publicité est mise en oeuvre. Si en Chine l'État parvient à museller l'opinion publique par un contrôle sur les TIC, il n'en reste pas moins que cette opinion y circule aisément à travers les médias sociaux, notamment par le truchement de langage codé et de mèmes répandus dans la culture populaire. En Occident, le contrôle s'exerce de façon à la fois plus sournoise et pas vraiment plus efficace; on nous sert bien une dose du "Meilleur des Mondes" de Huxley, mais l'artifice ne dupe pas au degré imaginé par cet auteur.

Pourquoi gâcher les deux : la musique et la science…

J ai aimé mais tu parles de l opinion public et non de l espace public