Charles Pouliot, pilote du Saint-Laurent, secteur Québec/Trois-Rivières, explique.
L’embarquement constitue la partie la plus risquée du travail des pilotes du Saint-Laurent car la plupart des navires qui transitent sur le fleuve ne s’arrêtent pas pour les faire monter à bord. Les pilotes s’approchent de ces imposants navires à l’aide de petits bateaux qui les déposent au bas d’une échelle de corde dans laquelle ils doivent s’empresser de grimper pour débuter leur travail.
Extrait du projet « Savoirs et savoir-faire des pilotes du Saint-Laurent »
4 окт 2024