Merci infiniment Mme Chabbi. C'est un réel bonheur que de profiter de votre grand savoir d'arabisante et d'historienne et de plus un savoir offert avec simplicité; j'ai aussi appris tellement de choses grâce à vos livres qui battent en brèche tant d'idées reçues répandues aussi bien chez les musulmans que chez les autres, chez les tenants des thèses de la "secte judéo-chrétienne" que chez ceux du Tanzil chimiquement pur. Oui le savoir est bien le plus efficace 'antidote contre les fanatismes religieux ou pas.
D 'après vous l'apparition de la langue Arabe remonterait à quinze siècles environ,soit à quelques années près l'age du Coran. Pourtant la langue Arabe était écrite et parlé au plus loin qu'on remonte dans l'histoire.les Arabes qui étaient des fervents adeptes de poésie se concurrencés a l'aide des fameuses moualaquates (les suspendues) et dont les gens lisaient et donnaient leurs jugements sur la meilleure.
Que la paix soit sur vous madame je suis amazigh et je vous aime au nom de celui qui a tout créé..les amazighs,les arabes,les gaulois..etc..les papillons aussi 😅..que la paix soit sur vous 🙏
Madame, avec tout mon respect, vous vous trompez en disant que la langue arabe existe depuis 1500 ans ! vous vous êtes basée sur la date approximative de la révélation du coran ! Ce qui est impossible parce que les gens ne l’auraient pas compris !
Comme toutes les langues, l'arabe à évolué, changé et emprunté des mots à d'autre langue apparu plus tardivement pour s'enrichire. Je comprends votre démarche et le système de datation par écriture. Mais ne pas retrouver d'écrits d'une langue avant une certaine date ne veut pas dire qu'elle n'existait pas avant (ou qu'il n'y a pas eu d'autres documents, détruits ou trop anciens pour parvenir jusqu'à nous)
Akkadien est mélangé au sumériens qui n'est pas sémitique. Les mots sémitique akkadien sont les mêmes que l'arabe. Ensuite elle dit que dans le coran qu'il utilise des mots Latins sans donné aucun exemple.
لماذا تقدس لغتك، تتكلم عنها كانما الذي ليس عربي هو خذول، هل تحسب انكم قوم عرب هم الاحسن لديكم لغت الله و جنة لكم، ما بك اللغات سامية تنزل من اب واحد، عربية جزء من سامية، اذن سنذهب الى نوح و نقول له سمي ابنك عربي و ليس سام، ما بكم تعيدون اخطاء بني إسرائيل، تقدسون انفسكم، و تحسبون انكم افضل على اخريين، تريدون العلى في الارض،
ce n'est pas la langue arabe qui pose problème. elle est pleine de poésie et de philosophie. le problème c'est l'arabe en tant que personne. la langue arabe ne porte pas de ceinture explosive, c'est l'arabe qui se fait exploser
je regrette de vous rappeler que la langue arabe était déjà parlée en Egypte que le la langue grecque n'y était pas parlée. ces pharaons grecs qui avaient pris le pouvoir vivaient en minorité comme d'ailleurs les Amazigh. le fait que vous soyez anthropologue ne vous autorise pas à clamer vos opinions ou vos conclusions comme étant des vérités scientifiques.
Je ne comprend pas vraiment votre point je suis arabe et musulman et personne ne dit que c est la langue la plus ancienne soit chez les sunite soit chez les cheites..... Mais c est bien une tres anciennes langue et c est une langue sémitique donc je comprend vraiment pas votre point si vous cherchez par exemple la langue araméen syriaque c est presque la meme chose par exemple les nombre sont tous similaire : wahid jouj talata arbaa....tamanin tisiin moa.... Ça c est en araméen tout les arabe comprennent bien que c est meme nomination de chiffres les lettres aussi sont tres tres proches de l arabe
« Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire, car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidigitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir dans les Hébreux et dans leur « culture > les ancêtres suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie, ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque. Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique. Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine depuis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le patronage des autorités israéliennes une belle édition de l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes, hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et parlant araméen ainsi que tous les Palestiniens de son époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe, grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’accord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie, fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les «samaritains sont hébreux mais pas juifs ». (page 361 éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expression vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des autres religions égypto-babylonienne, orphique, chrétienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier ?» ou bien «pourquoi me laisses-tu en arrière ? » II n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentaires de certains érudits. Voile D’Isis Pierre Rossi
*Vous avez dit* *_Lorsque Jésus sur la croix_*_ jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria [..] « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier[.] _*_II n’y a rien d’hébreu_*_ là-dedans_ ► *Arrêtez de contredire Allah qui affirme que Jésus n'a pas été crucifié, puis redevient évasif en fin de verset; preuve qu'il n'est pas omniscient* ◙ *4-157* _et à cause leur parole : « Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah » _*_Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié mais ce n'était qu'un faux semblant_*_ Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude : ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures _*_et ils ne l'ont certainement pas tué_* ► *De plus Jésus parlait ici en araméen et n'a parlé que dans l'Evangile Allah n'a pas pu le faire venir ni à la Mecque ni à Médine en 23 ans de révélation* ◙ *Matt 27-46* *_Et vers la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Eli, Eli, lama sabachthani_*_ ? c'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? 47Quelques-uns de ceux qui étaient là, l'ayant entendu, dirent: Il appelle Elie_ ► *Dans l’Evangile Jésus parle à son Père[Je 17-4,5] Et son Père lui répond ... Et Jésus parole de vérité affirme qu'il est UN avec le Père* *Jean 12 -28* *_PÈRE, GLORIFIE TON NOM! ET UNE VOIX VINT DU CIEL: JE L'AI GLORIFIÉ, ET JE LE GLORIFIERAI ENCORE_*_ 29 La foule qui était là, et qui avait entendu, disait que c'était un tonnerre. D'autres disaient: Un ange lui a parlé_ *Matthieu 3-16* _Dès que _*_JÉSUS_*_ fut baptisé, il remonta de l’eau, et voici que les cieux s’ouvrirent : _*_Il vit l’ESPRIT DE D.IEU_*_ descendre comme une colombe et venir sur lui 17 Et des cieux, UNE VOIX disait : « _*_CELUI-CI EST MON FILS BIEN AIMÉ_*_ en qui je trouve ma joie_ *Jean 10-30* _MOI et le PÈRE, nous sommes UN_ *Jean 14-8* _Philippe lui dit: Seigneur, MONTRE -NOUS LE PÈRE et cela nous suffit. 9JÉSUS lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe! CELUI QUI M'A VU A VU LE PÈRE; comment dis-tu: MONTRE NOUS LE PÈRE_ ? ► *Ceci vous démontre que Jésus n’a rien à voir avec Allah puisqu’ Allah dit qu'il ne peut pas engendrer [112-3]* *Coran112-3 _Il [Allah] n'a jamais engendré, n'a pas été engendré non plus_ Paix sur vous
Selon les apologetiques musulmans, l'arabe est la langue d'Allah, des anges, des démons et d'Adam. Et, le jour du Jugement dernier, tout le monde y compris les Aztèques, les Aborigènes d'Australie, les Inuits et autres seront interrogés et jugés en arabe. Par conséquent,tout le monde doit se mettre à étudier l'arabe et à délaisser toutes les autres langues comme le préconise Ibn Khaldun dans ses fameux 'Prolegomenes' /Al Muqaddima/
Quelles qu’aient pu être les particularités doctrinales des religions de Baal, de Jéhovah, d’Isis, d’Orphée ou de Jésus, toutes avaient de l’homme la même idée ; elles le regardaient du haut des cieux ; n’ayant nullement en vue son bonheur personnel elles ne se préoccupaient que de son entente harmonieuse avec les Eléments, avec les Origines, la Mort, l’Univers. Et comme l’histoire de l’Univers ne se mesure pas à la durée d’un jour mais à l’année lumière, la société antique, imbue de religion, établissait ses calculs politiques ou historiques à partir d’énormes quantités d’espace et de temps. C’est dire combien alors une vie humaine ne comptait qu’à la seule condition de se trouver enchâssée dans une réalité tout à la fois cosmique et épique donc mythique, car Dieu ne peut être qu’épique. Il n’est pas là pour faire le décompte de nos états d’âme ou des intermittences de notre cœur. L’histoire au jour le jour, à l’événement l’événement, telle que nous la concevons n’est pour l’homme antique qu’une aventure misérable. Son destin il le voit, il le vit sous la forme d’un drame à plusieurs regis tres où s’affrontent des peuples entiers, des cités célestes, des Puissances fabuleuses. A ce niveau là les différences s’effacent. Toutes les religions se rejoignent au ciel. Le ciel est un, la religion est donc une. Les querelles théologiques n’apparaîtront que tardivement. Temples de Baal ou de Mithra, églises d’Axoum ou d’Arménie, sanctuaires d’Osiris ou oratoires de Mésopotamie, mosquées ou synagogues du Yémen ou de Syrie exprimeront longtemps une mentalité identique. Et cela est tellement vrai qu’on a pu voir tout au long des siècles des sanctuaires passer successivement du culte d’Ishtar, à celui d’Orphée, de l’Eternel des juifs à celui de Jésus ou à l’Islam ; le fanatisme religieux ou philosophique étant la caractéristique du monde contemporain. De cet œcuménisme dans l’espace et dans le temps la langue grecque donne un témoignage singulièrement précieux mais plus encore la langue arabe puisque, sans interrution, depuis ses origines nilotiques et mésopotamiennes jusqu’à l’heure présente, elle a porté en elle toutes les formes, sans exception, de la religiosité dont est pétrie notre société, toutes les méditations, les philosophies, les esthétiques et les sciences occultes ou publiques. En arabe parlait le prêtre de Baal, en arabe le dévot d’Isis ou Moïse l’Egyptien, en arabe bien entendu le Christ quand il s’entretenait avec Caïphe ou avec le peuple de Palestine ; en arabe le prophète Mohammed. La droite ligne de notre culture n’a point dévié. C’est en effet un jeu d’enfant pour un philologue de retrouver à la racine des langues égyptienne, cananéenne, anatolienne ou assyro-babylonienne les éléments essentiels de la langue arabe ; parfois même le mot a été transporté dans son entier à travers les siècles qu’il résume en un racourci stupéfiant. Quelques exemples : dans les textes cunéiformes et araméens la Mésopotamie est appelée Senaar ; l’arabe d’aujourd’hui l’appelle Shenaar. Le dieu solaire Chamash correspond à l’arabe moderne Chams qui désigne le soleil ou l’Orient ; le Baal signifie en arabe « maître », et Rab (terme mésopotamien qui donnera rabbin) veut dire « père » ; Rab el beït est le « maître de maison ». Le suffixe « malek » accolé à tant de noms bibliques veut dire « propriétaire ». Le dieu babylonien de la foudre s’appelle Baraq ; l’arabe du xx* siècle dit Barqua ; le dieu de la fortune est Djad ; en arabe moderne Djada signifie prospérité ; le dieu Tammouz a donné son nom au mois de juillet arabe. Les innombrables termes mésopotamiens ou bibliques contenant la racine Chalem, Chalom etc. rappellent l’arabe Salam. Le dieu syro-palestinien des Enfers s’appelle Moût ; le même terme désigne en arabe la mort. « Hag » signifie en mésopotamien la fête rituelle ; en arabe « Hadj » est la fête du Pèlerinage. Voile D’Isis Pierre Rossi
Très bien....vivement une vidéo plus longuement détaillée. Et puis, à cause de la foi, les musulmans sont dans le déni total...et ils préfèrent se bercer d'illusion (la langue arabe serait la plus ancienne, la plus riche, la plus belle, etc.)
@@superstar-so2mh ► *Une langue jolie n'est pas forcément un critère valable pour l'Eternel* car votre goût personnel ne correspond pas obligatoirement celui du reste de l'humanité ► *Allah a dit* *16-103* _Et Nous savons parfaitement qu'ILS DISENT : « CE N'EST QU'UN ETRE HUMAIN qui lui enseigne (le Coran) ». OR, LA LANGUE de celui auquel ils font allusion EST ETRANGÈRE [NON ARABE], et celle-ci est une LANGUE ARABE BIEN CLAIRE_ *26-198* _Si Nous l'avions fait descendre SUR QUELQU'UN DES NON-ARABES, 199. et que celui-ci le leur eut récité, ILS N'Y AURAIENT PAS CRU_ *41-44* _Si Nous en avions fait un Coran en une LANGUE AUTRE QUE L ARABE ils auraient dit : « Pourquoi ses versets n'ont-ilsPAS EXPOSÉS CLAIREMENT ? QUOI ? UN [CORAN] NON - ARABE et [un Messager] arabe ? » Dis : « pour ceux qui croient, il est une GUIDÉE et une guérison ». Et quant à ceux qui ne croient pas, il est UNE SURDITÉ dans leurs oreilles et ils sont frappés aveuglement en ce qui le concerne ; ceux-là sont appelés d'un endroit lointain_ ► *Puisque le Coran est écrit en langue arabe pour les arabophones et que la langue du Coran est réputée intraduisible* dans une langue autre que l'arabe, c'est la preuve que cette religion n’est pas universelle ► *Puisque le Coran est une guidée pour les uns et une surdité pour les autres* c' est la preuve que le Coran n’est pas universel ► *Puisqu'un mot arabe possède plusieurs significations, chaque individu voudra interpréter* tel mot dans un autre sens que celui défini au plan divin. On peut craindre des ambiguités et un obstacle à la clarté -vérité de la pensée il est donc illogique que L'Eternel ait préféré une langue arabe chargée en mots valises et intraduisible ► Donc Allah n'est pas l'Eternel Paix sur vous
En tout cas prenez un textes araméen et un texte syriaque comparé,et vous verrez,que les racines concorde avec l'hébreu qui sont des langues sémites.Donc pour moi Dieu a parachever cette merveilleuse langue qu'est l'arabe même la guématrie arabes et plus compliqué.
Madame les hébreux se sont des cousins des arabes ! leur père est Ibrahim ( Abraham) Ibrahim avant de mourir a prêté conseil a ses 2 fils Ismaël et yashak Ismaël a entendue ce que son père lui a dit de reconnaître le prophète Mohamed ! donc les arabes sont très anciennes
Faux, Les plus anciennes inscriptions arabes datent de l'an 267 ce qui fait qu'elle est ancienne d'environ 1800 ans. 300 ans ce n'est pas négligeable vu l'âge du Français est d'environ 500 ans
'e français trouve ses origines dans la langue latine dont les premiers textes remonte au VIIe siècle avant Jésus-Christ. Il existe des textes français datant du Ce siècle, d'où tu sors tes 500 ans du français. De plus,il y a le serment de Strasbourg de 843 qui est un texte écrit dans une langue intermédiaire entre le latin et l'ancien français. Donc quand tu dis que le français n'a que 500 ans, c'est n'importe quoi.
@@tyrex3559 ET toi d'où tu sort les textes écrit en Français du VIIe Av. jc?? Faut pas abuser. Les serments de Strasbourg est écrit en langue d'oïl, une langue du bas latin avec de fortes influences germanique, qu'on pourra qualifier de l'ancêtre du Français, et ce en 842. Le Français médieval n'a vu le jour qu'entre le XIe et le XIV siècle, et la Francisation de la France n'a officiellement debutée qu'en 1539, ce qui fait du Français une langue relativement très jeune. L'Arabe est au contraire, une langue beaucoup plus ancienne, les plus anciennes inscriptions en langue Arabes actuelle datent de 267, et une forme plus ancienne de l'Arabe date d'un millénaire Avant notre ére. L'Arabe est une langue sémitique est ses origines remontent à plus de 4 millénaires avant JC
@@brainlessfool7815 la langue d'oïl c'est l'ancien français idiot. Tu prétends que la langue française n'a que 500 ans alors qu'il y a des textes datant du XIe siècle. Le français est l'évolution local du latin qui est une langue dont les premiers écrits date du VIIe siècle avant Jésus-Christ. On peut retracer l'évolution de la langue française depuis le latin archaïque parler au VIIe siècle avant Jésus-Christ jusqu'au français actuel. J'ai bien précisé que le serment de Strasbourg était écrit dans une langue intermédiaire entre le latin et l'ancien français. La langue française est plus ancienne que l'arabe sauf qu'avant c'était du latin. Les langues latines sont au latin ce que les différents dialecte arabes sont à l'arabe littéraire.
@@brainlessfool7815 le français est l'évolution local du latin dont les premiers textes date du VIIe siècle avant Jésus-Christ. Techniquement,le latin et le français sont la même langue mais à un stade d'évolution différents. Le français actuel est aussi différents du latin archaïque du VIIe siècle avant Jésus-Christ que ne le sont n'importe quel dialecte arabes actuels par rapport à l'arabe du VIIe siècle après Jésus-Christ.
La langue 'Parlé' date de bien avant l'écriture. Elle fut un jour presque animal. Personne a eu l'idée d'écrire à l'époque ! Par ailleurs il me semble que les échanges occasionnés par les langues et écritures, ont forcé le mélange et la fusion des mots. Bien plus que, distinguer dans des appellations académiques.
1 L'ethiopien n'existe pas mais plutôt l'amharique (une des seul langues 'sémitique' en Éthiopie'). De plus il y a d'autres langues en Éthiopie/Eritrea comme l'oromo, le tigriniya... Voici donc une erreur flagrante! 2 L'hebreux est une langue moderne inventé dans les années 1920 par un sioniste d'origine russe à partir de l'araméen, du yiddish, de l'arabe... 3 L'arabe est beaucoup plus ancien que son alphabet car les populations utilisaient énormément l'oral mais également d'autres alphabets sémitiques. Donc les documents écrits ne constituent pas un paramètre suffisant pour mesurer l'ancienneté de la langue.
Shame = sem étymologiquement noir. Tous les systèmes des écritures dites sémitiques, en réalité sont d'origines égyptiennes ( noir et africaine) voilà pourquoi les langues modernes africaines, ressemblent les langues du proche - Orient, car les premiers nations des ses contrées furent noires et sémitiques = étymologiquement noir. Le terme sémite fût une simple appropriation tardive des peuples eurasiatique, les Syriens, les perses et outres peuples de la mer , ayant envahi l'Égypte et Canaan et appelés plus- tard de phéniciens ( Palestine , Israël actuel, Jordanie, Liban, sud Syrie antique) peuple d'origine nubie Égyptienne ( kemete)
Concernant l'hébreu,tu racontes n'importe quoi. L'hébreu existe depuis l'époque du royaume d'Israël. Cette langue est devenu une langue morte peu de temps après la conquête d'Israël par les assyriens puis les babyloniens. À partir de ce moment là,les juifs ne parlaient plus l'hébreu mais c'est devenu leur langue liturgique, celle dans laquelle ils faisaient leurs cérémonie religieuse et dans laquelle ils lisaient la Thora. Brefs,chez les juifs, l'hébreu avait le même rôle que le latin c'est les catholiques. Le son,iste dont tu as parlé n'a pas inventé l'hébreu, ça fait 2500 ans que les juifs utilisent cette langue,il a juste fait en sorte que cette langue redevienne une langue vivante en cherchant des mots pour nommer des concepts moderne. Pour cela,il a soit fait des néologisme à partir de mots hébreux déjà existant quand c'était possible, où soit c'est inspirés des autres langues sémites pour inventer de nouveau mots hébreux. C'est exactement comme si on voulait faire en sorte que le latin redevienne une langue vivante. De nos jours, nous connaissons parfaitement le latin mais nous aurons besoin d'inventer des nouveaux mots pour nommer des choses qui n'existaient pas durant l'Antiquité.
@@tyrex3559 L'hébreu actuel a été construit par Elizer Ben Yehouda. L'hébreu de la torah a déjà été "ressuscité" une fois par les massorètes alors que l'hébreu était déjà une langue morte, donc Elizer Ben Yehouda a fondé une partie de sa reconstruction de l'hébreu sur la torah dans laquelle l'hébreu de celle-ci n'est qu'une tentative pour retrouver l'hébreu quand celui-ci était une langue vivante, donc je ne suis pas sure que l'hébreu moderne soit le meme que celui d'il y a 3000 ans. @Bob Voortrekker Tu as raison de préciser qu'il ne faut pas confondre la langue parlée avec l'alphabet. Dans l'antiquité l'arabe avait 2 alphabets , le nabatéen (alphabet actuel) et le sabéen qui n'est plus utilisé, donc l'arabe peut avoir été parlée pendant des millénaires tout en ayant adopté des écritures différentes, mais cela n'est qu'une affirmation gratuite. PS: j'aimerais bien que les archéo-paléo-anthropo-linguistes essaient de lire les textes akkadiens, sumériens, assyriens... en arabe qu'on rigole un peu.
C’est un fait que l’arabe même si ce n’est pas vrai est sans doute la langue qui a l’aspect le plus ancien. En fait elle a été reconstruite pour avoir l’aspect le plus ancien. En particulier elle a un aspect beaucoup plus ancien et proche du sémitique originel par son aspect que l’hébreu. On y trouve une déclinaison à trois cas parfaitement régulière qui a disparu des autres langues sémitiques et qui pourrait bien être à l’origine des systèmes de déclinaison des autres langues qui en ont. On n’y trouve que deux temps de verbe (parfait, présent-futur) ce qui était le cas des plus anciennes langues indo-européennes. On y trouve trois voyelles élémentaires seulement comme en Sanskrit. Mais ce caractère primitif de l,arabe est quelque chose de reconstruit sans doute par Mohammed en grande partie ou du moins par la tribu de Qoreish : en fait bien des mots sont d’origine grecque : siraata par exemple vient du grec et du latin strata pour dire rue ou route. Jamaa vient clairement du grec gamos, accoupler, rassembler, et le son arabe est d’évolution postérieure. Ce n’était pas la langue commune des Arabes de son temps.
C est l hebreu la langue la plus ancienne , dans laquelle le monde a été créé . le premier homme s appelle ADAM car il a été créé de la terre ( ADAMA en hébreu )
Ici nous voyons que vous ne maîtrisez pas le sujet, il suffit d'avoir un exemple concret le français d'aujourd'hui comment et pourquoi il a été imposé dans toute la France, et surtout son évolution, ses empreints.
Si on veut progresser dans nos connaissances, il faut approfondir les recherches historiques rigoureuses et objectives à mon sens sans prendre de position au préalable. Dans ce sens, je trouve cette contribution est intéressante. J'invite les opposants à cette contribution d'enrichir le débat par la discussion et l'ajout de données s'ils en dispose et comme ça on avance. Sans prendre partie, logiquement si un document est écrit en utilisant une langue plus ancienne, comment expliquer alors que ce document utilise des langues plus récentes qui devrait apparaître tardivement?
Vous ne semblez pas bien comprendre comment fonctionne les recherches; Tout les doctorants peuvent émettre des thèses restent cependant à être reconnus par les siens.... Et jusqu'a preuve du contraire, lorsqu'un travail n'est pas commenté par ses paires ça peut aussi être du à une non reconnaissance de son travail, et sa pertinence... Tant qu'a faire, il y a toujours la possibilité lorsqu'on fait de l'hypercritique ou du révisionnisme de se confronter à des débats contradictoires... Et de toute évidence cette doctorante n'est pas dans cette demande ou cette démarche de faire "progresser les connaissances" comme vous dites.. Je vous donne une vidéo par exemple, qui aurait mérité une réponse de madame Chambii... ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-naQjPWZOuMc.html C'est la difficulté avec les chrétiens qui nous soumettent leurs "analyses"... Demandez lui pourquoi elle n'est pas dans un dialogue... car il ne serait pas difficile d'avoir des interlocuteurs musulmans si elle souhaitait vraiment un retour de la part de musulmans instruits.. ils seraient nombreux à se bousculer au portillon...
@@lerecklessbadger2411 Que vient faire son hypothétique obédience religieuse ici? Nombreux à se bousculer ? Lol ! La majorité des musulmans suivent qui va dans leur sens : imams, concordistes, al qaradawi, Deedat etc Sans compter que la plupart ne sont musulmans que par tradition (l'apostat et le rejet voire pire) et associateurs en plus (coran + sunnah)
@@jacarondalaura On s'en fout de la majorité des musulmans, je vous ai parlé d'islamologue, de spécialistes dans le domaine - vous êtes assez intelligent pour savoir d'ailleurs que le monde musulman n'en manque pas.. et lorsqu'on parle exégèse ça n'est pas du luxe de savoir de quoi l'on parle ; au risque de ne pas avoir peur du ridicule. Cette dame possède une notoriété RU-vidsque ça je vous l'accord : donnez moi une des grandes universités mondiales au département réputé ou son travail est commenté. Peut être des débats contradictoires si vous avez ça dans vos tiroirs... Allez montrez moi la nature de votre intelligence, puisse que j'ai eu l'amabilité de vous répondre.. Dites moi ce que vous comprenez de cette demande en vidéo qui n'a pas été adressé par votre chercheuse. ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-naQjPWZOuMc.html
@@jacarondalaura Et rallumé votre vidéo (et pourquoi pas votre cerveau) puisqu'à 1 minutes 32 secondes Jacqueline Chaabi ne traduit pas du tout la réalité historique (telle qu'on la connait ; et qu'elle doit la connaitre vu sa spécialité en histoire du monde musulman). Elle efface "sciemment" (spéculation de ma part) le fait que c'est les savants musulmans qui ont établis par consensus que la terre était ronde... C'est à travers l'Espagne musulmane que cette réalité scientifique à été introduit en Europe... et comme un petit tour de passe passe, elle vous parle d'une théorie émise par les grecs puis les européens au moyen age... Les savants musulmans voilà comment cela nous à été transmis et ces savants parlaient des connaissances des égyptiens à ce sujet.. et comme le savoir des grecs vient des égyptiens.. voilà un bel exemple 'eurocentrisme... C'est aussi un détail que ce sont les musulmans qui ont transmis le savoir grec. Et ça n'explique pas une supériorité intellectuelle mais un changement radical par rapport aux manifestations de Dieu et d'observations des Signes de Dieu dans la nature et Ses commandements.. Un changement de paradigme qui rejette les superstitions pour l'observation empirique. Tout lecteur du Quor'an est pleinement conscient que sa lecture encourage cette approche des choses. Regardez la pharmacologie des grecs.. c'est à base de bave de crapaud et de sang d'une pucelle les jours de pleine lune pour la plupart.
Y a-t-il meilleure façon d’échapper aux fausses catégories que sont l’aryanisme et le sémitisme ? Quant au judaïsme, orphisme, christianisme, manichéiste, islam, gnoses innombrables, les gens d’autrefois les considéraient comme les éléments d’un ensemble indivisible ; l’échange des dieux et des anges s’opérait aisément pour la simple raison que ces gens d’autrefois étaient profon dément des Croyants. Et c’est bien sans doute parce que nous ne le sommes plus que nous nous attachons furieusement à quelques points de dialectique auxquels nous avons réduit la religion. L’œil inexorablement fixé sur les mêmes fantômes nous perdons de vue la course du soleil. Avouons que notre horizon se borne à nous-mêmes et à quelques idées reçues qui nous confirment dans une haute idée de notre valeur. Laborieusement, scrupuleusement nous travaillons à parfaire l’image où nous nous complaisons. Tandis que les peuples de grande culture acceptent de vivre inconscients et intégrés corps et âme à leur histoire, nous autres, Européens, sommes travaillés par l’insomnie d’une quête perpétuelle. Les civilisations égyptienne, cananéenne, babylonienne ou ana- tolienne ont été étudiées séparément selon la méthode de la monographie, de même qu’a été inventé un « monde arabe » lui aussi à part ; poussant plus loin l’analyse nous avons distingué à l’intérieur de ces civilisations des sous-groupements provinciaux qui ont été à leur tour divisés puis sous divisés en corpuscules confessionnels, éthiques, familiaux etc. L’art de la dissection est allé si loin que les civilisations, sous notre microscope meurtrier, ont fini par se briser en miettes. Car dans le même temps que progressait la démarche analytique, reculait le goût de la synthèse sans laquelle pourtant il n’est pas d’histoire possible. Il paraît inconcevable à nos critiques de juger de l’histoire de l’Orient et de l’Occident non à partir de tel ou tel pays isolé, non en se fondant sur tel ou tel épisode, mais à partir d’une unité culturelle et sociologique dont tous les documents démontrent la cohé rence indiscutable. Militaires ou politiques les frontières tracées selon les besoins des professeurs ou des archéologues ne passent pas nécessairement par le cœur des hommes. Lorsque, dans une vision de synthèse, nous affirmons que l’Orient se définit par une culture arabe dans un espace arabe, nous n’inventons rien ; nous ne faisons que rassembler et réajuster l’un à l’autre les élé ments géographiques et culturels maintenus jusqu’ici dis persés par une volonté d’analyse excessive. Volonté qui est la première responsable de notre exclusion du monde réel. Le second coupable est l’enseignement universitaire dispensé depuis la Renaissance exclusivement en faveur d’Athènes et de Rome devenues des Utopies rétrospectives dans lesquelles l’Européen, depuis le xve siècle, a cru découvrir l’apogée de ses idéaux. C’est à compter de cette époque que les Arabes cessent d’intéresser la culture européenne pour s’enfoncer dans des sables de plus en plus reculés d’où ils seront extraits au xxe siècle par les spécialistes du chameau, de la tribu, de la vendetta, des Bédouins. C’est aussi à partir de la Renaissance que, pour expliquer tout de même l’extrême raffinement artistique, industriel et scientifique de la période des Califes, on fait des Arabes les traducteurs et les adaptateurs des Grecs. La légende a la vie dure et il se trouve aujour d’hui encore, chez les Arabes eux-mêmes, des gens pour s’en prévaloir dans la défense et l’illustration des thèses arabisantes. Sous la plume d’un auteur bien intentionné nous lisons : « Si Avicenne n’avait pas traduit Aristote, saint Thomas d’Aquin n’aurait peut-être pas existé. » La vérité est autre ; elle est celle-ci : « Si la Grèce n’avait pas été formée à la culture arabe, Aristote n’aurait cer tainement pas existé. « Oui, au firmament de la Renaissance ne brillèrent qu’Athènes et Rome. Elles étaient l’alpha et l’omega de l’honnête homme. » Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homère « se promet Ronsard avec gourmandise. Dans son admirable toile de « l’Ecole d’Athènes » Raphaël s’est proposé de figurer l’architecture mentale de la parfaite humanité. Les pontifes catho liques de Rome revêtent la majesté militaire et juridique des Césars. Mais sous l’apparence des retrouvailles intel lectuelles avec l’antiquité débute en fait l’ère du rétrécis sement culturel, car si Athènes et Rome, qui ne furent que des puissances relativement modestes, envahissent à partir du xvesiècle toute la scène européenne, en contre partie s’efface de notre tradition le souvenir de l’immense culture arabe qui du Nil à l’Indus avait couvert une durée plusieurs fois millénaire. Avec les xviii“ et xix” siècles, sous l’influence des théoriciens de la démocratie et de la libre pensée qui allaient s’emparer des écoles et régner souverainement sur la rédaction des manuels scolaires, Athènes devint l’idole de l’enseignement républicain, la Rome des Brutus l’enseigne des vertus civiques. Carica turées en maîtresses du genre humain les deux capitales figurent au fronton des chapelles politiques, des professions de foi de la société libérale. La Prière sur l’Acropole d’Ernest Renan reste un chef-d’œuvre du genre en même temps qu’un bel exemple de niaiserie littéraire. Voile d’Isis Pierre Rossi
Les groupes de Sem Et le mots sem est en son avant l'écriture arabe....chez les arabes et à l'époque des pharaons....les sem(s) existé depuis très longtemps 1000 avant la datation de j-c
Je ne comprends pas cette corrélation entre moment ou époque de l'écriture d'une langue, et son parlé. On peut avoir parlé une langue bien, des millénaires, avant de l'avoir écrite.
...et rien sur les langues africaines ? Pas sérieuse même sans formation de linguiste je vois des racines africaines dans l’Arabe.c’est bien de cité l’éthiopien mais l’éthiopien n’est pas sémitique ; d.ailleurs le sémitique comme l.indo européenne sont nébuleuses . La vérité est dans ce que vous ignorez ou vous voulez ignorer
@Bent Arabi C'est pas logique de ta part d'afficher ton soutien à la Palestine, de dénoncer le sionisme alors tu manifeste un racisme très méprisant à l'égard des Africains noirs. L'islam est contre le racisme, c'est écrit dans le coran et le prophète Muhammad a dit que personne n'était supérieur en raison de son ascendance, couleur de peau... Mais par le piété. Malcolm X qui avait bien compris l'islam savait qu'entre le racisme et l'islam, il fallait faire un choix. De plus, le terme de sub-saharien est une invention de géographe et nier tout lien entre populations arabes et africaines est une grande absurdité!
Madame vous êtes toujours dans le déni de la culture arabe et de la religion musulmane. Est ce que vous savez que l'hébreu est un dialecte qui dérive du berbère.
Vous avez oublié de parler de tifinagh langues Amazigh parler de l'Égypte jusque de nos jours (isle siwa) jusqu'au Canaries où elle encore parlé de nos jours et bien-sûr toute l'Afrique du Nord les linguistes la classe parmi les langues sémitique et elle serait contemporaine du sumérien ??
Par acquit de conscience nous avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal que la Révélation conçue pour la prédication et la prière universelle, faite pour la compréhension populaire, soit devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inventée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la science arabes des représentants prestigieux. Nous avons dit que la première version de la Bible juive se présente dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III, en même temps que furent collationnées les œuvres homériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellénique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lecteur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduction ou l’adaptation d’une première version en langue hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une telle hypothèse. C’est seulement à partir du iii e siècle après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradition juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraïques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au i”siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardivement, entre le ixe et le x” siècle de notre ère, par des sa vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui utilisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en araméen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques années beaucoup de bruit a été fait autour de la découverte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoumràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Palestine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait intérêt à chercher une justification biblique à l’entreprise militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en avaient daté la rédaction au ii e ou iii* siècle de notre ère. De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soupçons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modifier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage entre la société des hommes et l’expression divine. Que les résonances harmonieuses des psaumes en latin d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une documentation linguistique valable ni surtout l’origine ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces langues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui publia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer en Palestine. Elle est donc un instrument politique. Voile D’Isis Pierre Rossi
Les hébreux était une langue liturgique uniquement et pas parlé par les populations, elle n'a pas pu être transformé pour devenir une autre langue... Par ailleurs, l'archéologie (dixit professeur Josephe Davidovitch) ont réussi à prouver que le peuple hébreu n'a pas existé et que c'est une erreur de retranscription des scribes entre le terme hébreu prononcé Houbrou (HBR) et Arabe prononcé Ouroub (HRB). Voici pourquoi sortie de la bible, il n'existe ni peuple hébreu ni langue hébreux qui furent créé seulement en 1921 par un non-sémite... Le mythe a bon dos. Merci de revérifier les sources de l'histoire avant d'en attribuer les origines à des peuples issus de mythologie.
Si un groupe de personne s'agregent a une mythologie comme faisant parti de leur identitée pendant 2000 ans , ne meritent ils pas le titre de peuple ? Il faut plus de 2000 ? Qui fait plus de 2000 ans avec un concept commmun ?
@@micmic6753 l'hébreux a été créé en 1921 par Elizer Pellerman juste pour coloniser. Le premier locuteur hébreu, c'est son fils. A quel moment tu as vue 2000 ans d'histoire ? L'histoire des hebreux est celle des arabes, le mot hebreux est une deformation du mot houroub et non pas houbrou. Du coup on ne va pas leur donner le droit de tuer puisque tout est faux, les juifs et les hebreux ne sont pas le meme peuple. Ceci expliqué a demi-mot par un savant juif ici. ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-2hNhFroKs7Y.htmlsi=hYUQjNm0W_nCAZNm&t=466
Personne n'est contre l'approche scientifique l'arabe n'est pas la plus ancienne mais les d'autres ont parvenu à introduire leur idéologie religieuse comme les "sémitiques"
On ne parle pas de l'arabe actuel ou l'arabe écrit, mais on parle de l'arabe parler qui remonte au-delà des akkadiens, la preuve en trouve la plupart des mots d'autres langues tourne au tour de l'arabe , car c'est l'unique langue qui contient un mot racine triangulaire et des milliers de dérivés bien construit
@Algérie dictature chame = sem étymologiquement noir. Les premiers nations autour du moyen-Orient, europa du sud furent toutes africaine. Ball ishame a côté de la culture noir dravidien ( indus) munja- daro.
Scientifiquement parlant l'Hebreu netait jamais plus ancien que L'Arameen et meme si on croit au recit Biblique le Cananéen qui est lancetre de lHebreu classique et L'Arameen se sont deux langues developpé en parallèle puisque canaan et Aram sont tous les deux petit fils de Noé. Alors pour l'Arabe du nord(du Quran) c'est une langue tres recente qui a été crée par Abu al-Aswad ad-Du'ali apres la mort du Mohamed en se basant sur Nabatéen et le Syriaque. Meme Mohamed etait un pretre ébionite qui sait lire et ecrire le Syriaque et le Garshouni seulement et ne connaissait rien de larabe du Quran . ça sera impossible pour Muhamed de lire Le Quran actuel comme tous les arabes qui ne peuvent pas lire le premier Quran Syriaque de Zayd ibn Thâbit et les vieux manuscrits. Enfin la Basse mesopotamie est le berceau de la civilisation et la linguistique, les Sumerien avaient des ecoles pour les gamins où l'on enseigne le math,linguistique et la littérature depuis la periode d'Obeid , a cette epoque les autres humains sont encore des chasseurs-cueilleurs qui couraient apres les animaux et habitaient dans des grottes. tous les langues que tu viens de mentionner vient de L'Akkadian meme l'Egyptien demotique la langue officiel de l'Egypt antique
Evidente pour vous et c'est heureux, mais cette vidéo a été motivée en réponse à la masse de ceux pour qui l'évidence est inverse comme vous pouvez le constater aux nombreux commentaires indignés que ce soit ici ou sur la page Facebook. Bien cordialement. L'administrateur de la chaine de Madame Chabbi
L'arabe est sûrement une des langues les plus anciennes encore parlées aujourd'hui. C'est un fait. En effet, l'arabe est une langue sémitique parmi les plus vieille du monde. Sur le plan phonologique, elle est la langue sémitique qui a le plus conservé les phonèmes quand nos cousins, les hébreux, ont perdu une bonne partie de ceux-là. Il n'est pas impossible que l'akkadien ait cohabité avec l'arabe et c'est sûrement le cas. La vérité est qu'il n'est pas possible de dire que l'Arabe N'EST PAS la langue la plus ancienne. Le prétendre est tout à fait plausible.
De toute façon les gens de notre époque ont un véritable problème avec la religion. Alors peu importe ce que nous pouvons dire ou faire, ça ne sert pas à grand chose.
Dans la sourate d'Abraham verset 4(Nous n'avons envoyé de messager que dans la langue de son peuple) Nous ne savons pas grand chose des premiers peuples !
MAIS DÉJÀ JE C'EST PAS OU TA ENTENDU QUI TA DIT QUE LA LANGUE ARABE ÉTAIT LA PLUS ENCIENNE LES SEULES LANGUE CONNUES LES PLUS ENCIENNE SONT LE LATIN LEBREU ET UNE LANGUE AFRICAINE QUE JE C'EST PLUS LE NOM MAIS 2 AUTRES LANGUE INCONNUE BIEN PLUS ENCIENNE ON ÉTAIT DÉCOUVERT SUR DES LIVRE DE SORCELLERIE
En regard des Pyramides et des temples de Karnak ou de Louqsor, le Parthénon n’est pourtant qu’une bien petite chose ; petite chose la république athénienne qui entre la victoire de Salamine et la capitulation aux mains du Spar tiate Lysandre ne brilla guère plus de 70 ans. Les quelques 1 150 ans de la puissance romaine que sont-ils face aux 5000 ou 6 000 ans des civilisations égyptienne et babylonienne, issues de la nuit des temps, prolongeant encore de nos jours en terre d’Orient leur règne invul nérable ? Et encore est-ce à l’Orient que l’empire romain a dû de se perpétuer si longtemps, absorbé qu’il fut dès le règne d’Octave Auguste dans un ensemble culturel, religieux, politique qui coalisait l’Egypte, l’Anatolie, l’Asie mésopotamienne et syrienne. L’empire fut marqué du signe arabe sitôt qu’à la commande d’Agrippa, fut édifié à Rome par un architecte syrien le temple du Panthéon à l’aube de l’ère chrétienne. Avec les Flaviens débu tent les dynasties asiatiques. Rome se survivra en Byzance, Justinien sera le précurseur des Califes. Athènes dans tout cela ? Une bourgade perdue. Si l’imagination et les partis pris esthétiques ou politiques l’ont magnifiée, l’histoire l’a mise à sa juste place. Ni le christianisme ni l’Islam n’ont pris le chemin de la capitale de Périclès ; ils ont pris celui de Damas, de Médine, de Jérusalem. Le Moyen-Age fasciné par l’Egypte et la Terre Sainte ne se souvient guère d’Athènes. L’œuvre maîtresse de l’époque, la Légende Dorée, qui rassemble au xiii”siè cle les traditions populaires de l’Europe, célèbre la Palestine, la Syrie, l’Egypte, Byzance, l’Anatolie ; quelques mots à peine sur Athènes. Or cette Légende Dorée, bien ignorée de nos jours, est une somme de connaissances et de sciences de toutes sortes qui constitue, avec l’œuvre de Dante qu’elle a inspirée, la plus importante réserve de thèmes artistiques, poétiques, liturgiques, qu’ait jamais connue la chrétienté. Ainsi des deux capitales de nos Humanités classiques, l’une Athènes a péréclité en banlieue de l’histoire ; météore au ciel des intellectuels, elle n’a rien apporté aux peuples d’Orient ou d’Occident ; l’autre, Rome, s’est fondue au creuset de la culture arabe dont elle est devenue par Byzance et par l’Eglise une héritière et un témoin. Tirons-en les réflexions propres à la remise en ordre de nos convictions. Il est aussi grand temps que la confusion cesse entre l’histoire de certaines tribus malheureuses de la presqu’île arabique et l’histoire des Arabes. Pas plus que l’histoire de France ne se confond avec celle de la Lozère ou des cantons déshérités des régions alpines, la réalité et la culture arabes ne se limitent aux champs de parcours de ces trois ou quatre familles errantes dont les experts nous racontent lyriquement et confusément le destin miraculeux. Il n’est point de miracle en notre monde. Si la civilisation arabe s’est, en un clin d’œil, étendue des Pyrénées à l’Insulinde, c’est qu’elle n’était point l’apanage d’une poignée de mangeurs de lézards soudainement divinisés. Si la religion musulmane s’est propagée sur des continents entiers, si la langue arabe a connu une fortune que n’a encore atteinte aucune autre, si elle a été la langue du judaïsme, du christianisme, de l’Islam, de la gnose, des mystères et des magies, c’est bien parce qu’une imposante civilisation lui donnait une autorité dépas- sant de loin telle colline du Hedjaz. A cette autorité ont obéi les Grecs puis les Romains et avec eux les Etrusques, avant que ne s’y rallient les royaumes Wisigoths d’Occident et les princes de l’Inde. C’est la raison pour laquelle il est aussi difficile de croire à une victoire grecque lors des guerres médiques qu’à une conquête d’Alexandre en Asie ; tout aussi difficile d’admettre une invasion militaire de l’Espagne par les seuls Arabes du Hedjaz. Dans un cas comme dans l’autre la disproportion des forces était telle qu’elle conduit à chercher ailleurs que dans les explications scolaires les raisons profondes de ce qui fut non pas un conflit mais une collaboration. Dans cette quête il suffira de se fier au bon sens. Il est généralement plus honnête que l’érudition. Si nous rejetons comme fantaisiste et dénué de la moin dre valeur scientifique le concept de « peuple et langue sémitiques », si nous réfléchissons afin de voir clair et nullement pour nous complaire dans les idées reçues, si nous sommes résolus à ne rien emprunter au rêve, alors il faut définir l’arabisme comme une culture, comme la seule culture de l’Orient et entreprendre à la lumière de cette culture la révision de ce qui nous a été enseigné à l’école sous le titre l’Orient et la Grèce. Nous n’y parviendrons qu’à la condition d’écarter la vision incohérente et fragmentaire de l’Orient que nous avons reçue de nos maîtres, précisant d’abord ce qui revient à l’Islam et ce qui ne lui revient pas. La politique de l’Islam, si elle a centralisé les pouvoirs, n’a point uni fié les nations ; cette unité nationale et territoriale dont Alexandre avait profité avant les Califes, l’Islam l’a héritée des siècles antérieurs. La politique de l’Islam n’a pas davantage promu la société arabe : cette société avait déjà été portée au plus haut niveau de la civilisation pal les ancêtres pharaoniques ou babyloniens. Sorti du désert l’Islam n’est pas retourné au désert mais s’est adressé dans leur langue et dans leur mentalité aux foules innom brables des grandes cités maritimes et fluviales. La religion révélée au Prophète était conforme à leur enten dement ; n’étant ni une innovation insolite ni une révolution ; elle accomplissait simplement les Traditions et les Ecritures précédentes ; elle ne niait ni ne reniait, elle intégrait ; les spiritualités de l’Orient multiples en appa rence mais une en essence elle les résumait en un acte de foi unique sur l’unicité de Dieu. Le Coran n’ajoute pas, il totalise ; le Coran ne discute pas, il conclut ; il ne divise pas, il rassemble. A proprement parler il n’est point une religion nouvelle. Il clame la soumission au Dieu de toujours, présent au passé comme à l’avenir, seul, immuable et incréé, remplissant l’univers. Ce n’est certes point là une conception née de l’écho au coin d’un désert mais bien la quintessence d’une méditation portée de siè cle en siècle au travers des plaines nilotiques, cananéen nes et mésopotamiennes ; on y retrouve la cosmogonie chaldéenne, la résurrection égyptienne ou chrétienne, l’espérance apocalyptique qui, avant de résonner dans la bouche de saint Jean avait déjà été entendue des disciples de la gnose. L’Islam n’a donc nullement surpris les peuples de l’Orient, il les a éclairés, ce qui est différent. Point n’a été besoin d’épée ni de persécutions pour les convertir. Ils étaient naturellement conduits à l’Islam par la pente de leur croyance ancestrale. Non seulement les Juifs et les Chrétiens mais encore les Mages, les Grecs, les adorateurs des diverses divinités y ont reconnu une parole qui ne leur était point étrangère. Pas plus que l’Islam n’a eu à conquérir de haute lutte l’opinion, les Arabes n’ont eu à conquérir militairement l’Orient et la Méditerranée où ils étaient chez eux depuis les temps reculés. En revanche ils ont culturellement conquis l’Occident européen et, par voie de conséquence, l’Occident américain en y introduisant leurs religions, leur philoso phie, leur esthétique. Vaste entreprise dans laquelle ils eurent pour alliés et intermédiaires l’hellénisme et le rejeton étrusque, levain des sociétés italiques. Durant longtemps c’est à l’hellénisme seul qu’on attribua cette initiation culturelle sans mesurer le miracle que cela aurait supposé, sans voir non plus que la Grèce n’était qu’un balcon et une annexe de l’édifice arabe de l’Orient, ce que les Grecs reconnaissaient eux-mêmes parfaitement. Mais en l’occurrence nous fûmes plus Grecs que les Grecs. On risque de ne rien entendre à Périclès et à Eschyle si on ignore leur parenté asiatique. On se méprendrait sur l’Islam et sur les Arabes si on les détachait de leur géographie et de leur spiritualité maternelles. » Pierre Rossi ; Le voile d’Isis
Tu m'as mal compris quand je disais genre la langue est arrivé en même temps que le Coran c'était pour répéter ce qu'elle a dit en me moquant. La façon don je l'ai dit était ironique en mode le gars à qui j'ai répondu dit nimporte quoi .t'aurais pu faire un effort pour comprendre. Nan merci j'ai pas besoin d'école ou de bliotheque
@@jacarondalaura malheureusement pour toi à l'école on ne nous apprend pas ça et quand on est au collège on nous apprend quand même qu'il était illettré donc dans tous les cas t'as rien à dire mdr
C'est très léger et très orienté politiquement cette soi-disant chronologie des langues "sémitiques". Déjà, vous n'en énumérez même pas la moitié. Et l'ordre donné est totalement arbitraire. Et en plus, et le plus grave, c'est que vous introduisez une langue qui n'existait pas : le "hébreu".
Bonjour Mme Jacqueline Chaabbi, justement i y a quelque chose qui cloche dans tout ça, si le Coran est incréé et que les paroles ont été dictés pour le prophète en langue arabe, ce n'est pas logique que l'on retrouve des mots en d'autres langues, d'autant plus on entend souvent soit l'ange ou bien Dieu dis pour le prophète "Ikra" (lis) et d'autres disent qu'il a reçu les textes verbalement, rien est logique c'est mon point de vue.
@@Amazigh_d_Amurakuch tout est illogique, lisez le coran en étant partial et très neutre, comme si vous lisez un livre normal, là vous comprendrez, mais si vous lisez avec la foi vous ne pourrez pas détecter la moindre chose. Bonne soirée
@@Espritvagabond7664 la "logique" depend de l'interpretation de chacun. De plus il vaut mieux avoir une connaissance tres avancee pour le lire et le comprendre et en tirer une interpretation on est pas savant, on le devient on apprend on ne sait pas mais de toute facon vous devez aussi savoir qu'il faut lire dans sa langue originelle, remettre tous ca dans un contexte, dans le sens ou a cette epoque on usait de termes qui n'ont plus le meme sens etc... et il faut aussi avoir des connaissances en litterature arabe
@@Amazigh_d_Amurakuch savez vous au moins qu'il y a plusieurs mots en langue grecque, juif etc.. ensuite lorsque l'on lit le coran à première lecture on remarque beaucoup de contradiction et ça saute d'un texte à un autre exemple sa saute d'un âne à un coq, beaucoup de versets viennent de l'ancien testament, comment peut-on dire que ça vient de Dieu, sans oublier les textes apocryphes rejetés par l'église mais que l'on retrouve dans le coran, je serai honnête avec vous j'étais très pratiquante mais avant ça j'avais lue la bible peu à peu je suis devenue très sceptique mais je crois toujours en l'existence de Dieu là personne ne pourra jamais me faire changer d'avis j'ai foi en Dieu.
Larabe est une langue supérieure vraiment , mais elle nest pas la plus ancienne . Le premier homme. à.avoir parlé en langue arabe est le prophète Houd QSSSL .
Supérieure en quoi ? Par rapport à quoi ? A un besoin identitaire et suprémaciste supérieur ? "Le premier homme à avoir parlé en langue arabe" tenait cette langue de qui ? De sa mère ou de son père ? Des deux ? Et eux-mêmes, la tenaient-ils de qui ? Bien cordialement. L'administrateur de la chaine de Madame Chabbi
le premier homme c'est en afrique aussi la première longue c'est le berbère c'est pas l'arabe madam la longue arabe c'est un longue trop mélangée الغة القديمة هي لغة الامزغية الافريقية واول انسان هوا افريقي وكل الاجناس البشرية خرجة من افريقية ونتشرة في العالم لو تدرسون الغة الامزغية ستعرفون ان جذور كل الغات امزغية بيما فيها العربية
Bonjour, On oppose généralement les langues sémitiques de l'Est qui sont des langues disparues comme l'akkadien aux langues sémitiques de l'Ouest. Les langues de l'Ouest comportent un groupe nord avec des langues disparues comme l'ougaritique ou l'eblaite et des langues dont il reste des représentantes modernes comme l'hébreu moderne et le syriaque qui sont passées par l'araméen. Il y a aussi des langues disparues qui sont parties plus à l'ouest comme le phénicien punique de Carthage Le groupe sud des langues sémitiques de l'Ouest comporte l'arabe, ce qui reste de langues sud arabiques et sur la rive africaine l'éthiopien et les langues proches présentes en Somalie. Les langues disparues sont connues et étudiées grâce aux tablettes écrites qui ont été retrouvées par les archéologues. Bien à vous. Jacqueline Chabbi
@@jacqueline-chabbi Bonjour, Je n'adhère pas réellement à cette classification, qui n'est en réalité que la classification traditionnelle des langues sémitiques. Classification qui d'ailleurs ne fait aucunement l'unanimité au sein des chercheurs, dont certains ont naturellement tenté de mettre à jour d'autres classifications. Comme c'est le cas pour la classification de Robert Hetzron, ou encore celle de John Huehnergard, pour ne citer qu'eux. Une fois n'est pas coutume, leurs classifications n'ont à leur tour pas fait l'unanimité. La plupart des chercheurs rejettent le sous-groupe sémitique du sud-ouest parce qu'il n'est soutenu par aucune innovation et parce que les caractéristiques partagées avec l'arabe du sud et l'éthiopien n'étaient dues qu'à la diffusion spatiale. Il n'y a toujours pas de consensus sur la position exacte de l'arabe au sein des langues sémitiques. Le seul consensus parmi les chercheurs est que les variétés arabes présentent des caractéristiques communes avec les langues sémitiques du Sud (sud-arabe, éthiopien) et du nord (cananéen, araméen), et qu'elles contiennent également des innovations uniques. Il s'agit d'un sujet "délicat". En ce qui concerne ma pensée, je pense qu'il est préférable de classer l'arabe dans le groupe des langues sémitiques centrales, groupes qui occupent une place d'intermédiaires entre les langues sémitiques du Nord-ouest d'une part et les langues sud sémitiques de l'autre. السلام عليكم سيدتي عمر
تحتل اللغة العربية المركز الرابع بين أكثر اللغات انتشارا، ويتحدث بها سكان في نحو 66 دولة في العالم منها، كل الدول العربية، ويقدر عدد المتحدثين بها بحوالي 6.6 % من سكان العالم، وأصبحت لغة معتمدة رسميا في الأمم المتحدة عام 1974. اللغة الفرنسية هي اللغة الرسمية في 32 دولة في العالم، وتصل نسبة المتحدثين بها إلى 3.05 في المئة من سكان العالم، أما الناطقون بها إلى جانب الفرنسيين، فهم يتوزعون بين كندا وبلجيكا وسويسرا ولكسمبورغ وموناكو وبعض دول أفريقيا.
bjr, comprendre le contenu de l'historienne, et vous analysez ensuite. Il viendra un jours toutes les ethnies de la terre vont prendre leurs destins aux mains. C'est parceque, certains facteurs apparaissent facilement, comme la fin du pick oil, l'impérialisme, les co-statuts etc . Cher ami vous êtes dévoilés par les scientifiques, le monde est éveillé, et fini les anciennes guerres froide .
c'est fau ça souvant les occudentaux tembe dans le piége des langues semitique. en réalité ce n'etais pas des langues c'etais les dialéctes d'arabie du sude centre et nord les peuples d'arabie qui son les arabes parlais diferantes dialéctes d'arabie (penicien, aramein akadian etccc....;) cette dame parlais des Akadiens mais elle n'a pas informer les lecteures que les akadiens comme peuple son les migrans du sud arabie etablie en iraque et qui parlais une dialecte d'arabie du sude et pui une dialecte pure a eux qui est l'akadien. ce senarion ce repete vers les autres arabes qui on emmigrer vers le nord et qui on apporter leure langue arabe encienne avec eu et pui cette langue a diferancier de l'arabe encienne vers une dialecte propre a eux comme le phenicien l'aramein l'ougaritique, le cananien le nabatein etccc. pourquoi il faudera appelers ces dialectes comme de l'arabe ??? car ce son des dialectes qui apartienne d'une seule langue d'origine qui est l'arabe encienne du sude arabie. et la preuve que tous ou presque les peuples arabes du nord durant des miliers d'annés son immigrer du sur vers le nord. pronant exemple du prophete abraham il est Babilonien d'origine il parlais akadien mais abrahame ce deplasez vers la serie la turquie le pays de canan et l'egypte et méme a la mec. ce mr comprenais tous cette peuplade car leur langue c'est de l'arabe tous simplement. l'arabe actuelle du corant ce n'etais que une des dialectes arabe encienne. avec l'islam elle est unifier et de devenue une langue univercelle. avec la religion, comme c'etais le cas de l'aramein vers 2000 av jc car l'aramein n'etais pas la dialecte de baucoup de tribus mais a force d'utiliser cette langue dans le commerce elle est devenue la dialecte de nombreux lecteur comme jesus par exemle et certaine tribue au nord d'arbie. certain occidentaux veule separer ces dialectes arabes par des langue pour que l'hebreux pu avoir le statue d'une langue juste pour ça c'est une falcification d'histoire pour juste donner un statue superrieure d'une dialecte arabe comme les autres. ou il n'etais méme pas parler par les peuplade israeilites comme jesu.
Sauf pour la réponse à la question, l'arabe n'est pas du tout la plus veille langue du monde. Déjà qu'ils connaissent rien à l'histoire maintenant ils inventent carrément.
Bonjour Madame. Loin d'être un expert en la matière, si on parle de la langue la plus ancienne, alors il faut retourner aux origines. Qu'elle langue parlaient Adam et Ève? Ensuite il eu la fameuse histoire de la tour de Babele, où Dieu condamna les hommes à parler dans diverses langues, afin de ne plus ce comprendre.
Merci pour votre analyse très pointue concernant les langues. En votre qualité d'historien et.linguiste, quand on avance un fait il faut qu'il soit tangible. Et puisque vous parlez de coran, lequel véhiculé les paroles Divines,je souhaiterai que vous me proposiez une sourat dans laquelle on retrouve D'autres langues autre que l'arabe. Tous mes respects
Apparement il y en a pleins . Sami adleeb a fait des video dessus je crois ( il a fait aussi un coran dans l'ordre chronologique de la revelation) . Il y a des cas ou certains versets du coran n'ont aucun sens mais dès lors que l'on remplace un mot par son homonyme syriaque par exemple toute la phrase prend un réel sens et l'on s'appercoit que ca parle en fait de concepts carrement Chretiens . (je pense a une confusion notemment concernant un qui mot evoqueraient en faite l'etoile a la naissance de Jesus mais que les musulmans comprenent comme étant la desente du coran en une nuit alors que dans d'autres sourates il est dit que le coran est descendu en plusieurs nuits)
Il y a d'ailleurs le nom qu'il donne a Jesus : Issa . Issa ne veux pas dire Jesus . Jesus en Arabe se dit Yassou . Issa est derivé du greque issos qui veux dire Christ .
@@tyrex3559 Non, le grec a évolué, il y a le grec classique qui est une langue morte et le grec moderne qui n'a rien avoir. L'arabe et toutes les langues sémites n'ont pas changées, et c'est ça qui fout la haine à tout le monde, sauf aux vrais linguistes amoureux des langues sémites. Ne me contredisez pas, mon ami est un linguiste et spécialiste des langues sémites.
@@AriaJoulayne la langue arabe est actuellement divisés en plusieurs dizaines de dialecte qui sont très différents. Si la langue arabe n'avait pas évolué, comment cela se fait il qu'ils se soit divisés en plusieurs dialecte, pourquoi les arabes ne parlent pas le même arabe que ce soit au Maghreb,en Egypte ou dans les pays du Golfe ? Par exemple, l'arabe maghrébin comporte beaucoup de mots provenant des langues berbères et à aussi emprunté beaucoup de mots français suite à la colonisation française du Maghreb. Même chose concernant l'araméen qui c'est divisé en plusieurs dialecte. Si la langue araméene n'avais pas évolué,il n'y aurait pas plusieurs dialecte différents. Par exemple,l'un de ses dialecte est le syriaque. Durant l'antiquité,l'akkadien qui était une langue très ancienne avait évolué et donné naissance à la langue assyrienne et au babyloniens qui descendent tout les deux de l'akkadien. Quand à l'hébreu,si la langue n'avait pas changé en plusieurs millénaires c'est parceque c'était une langue morte qui n'était utilisé que comme langue liturgique par les juifs. Depuis que l'hébreu est redevenu une langue vivante, elle à évolué en adoptant des termes provenant du yiddish ou de l'anglais. La langue grecque est une des langues qui a le moins évolué en plus de 3 millénaire d'existence. Une personne qui a appris le grec ancien peut lire des textes depuis Homère (VIIIe siècle avant Jésus-Christ) jusqu'à Anne Comnène (XIe siècle). Les grecs actuels peuvent lire facilement des textes datant du XIIIe siècle.
@@tyrex3559 Les dialectes sont des langues parlaient par les paysans comme fut le cas des dialectes latins, qui n'ont rien avoir avec le latin classique, rien avoir avec l'évolution. Les dialectes ont toujours existé. Je vois que beaucoup parlent pour raconter que des trucs qu'ils les dépassent et qu'ils ne connaissent pas.
@@tyrex3559 L'hebreu a été perdu depuis des millinaires, les juifs parlaient araméen depuis leur déportation à Babylone. Ne parlez pas de choses que vous ne maîtrisez pas s'il vous plaît. Et si vous parlez des juifs qui parlent yedish, ce sont juste des prosylites ("des convertis) , ils n'ont aucune affiliation avec les authentiques hébreux du Moyen-Orient, qui eux se sont fondu avec les autres peuplades sémites. (IL Va falloir que je fasse intervenir mon ami, qui lui est plus calé sur ce sujet).
Quand à Sabet qui veut dire en arabe samedi, c’est-à-dire le Sabbat, il dérive directement du babylonien Sabattu, fête de la pleine lune. Nous n’en finirions plus. Il n’est pas jusqu’à la langue grecque qui n’ait puisé dans le fonds mésopotamien et araméen une part notable de son vocabulaire et de ses structures. Si le mot grec « Sibylle » (Sibulla) désigne une personne sacrée chargée d’énoncer des oracles, l’arabe « as sabil » veut dire « chemin qui mène à Dieu » ; on s’en sert aussi pour désigner l’emplacement qui, dans chaque ville ou cité, sert de lieu de rencontre ou de méditation, généralement orné d’une fontaine. Les Grecs, il est vrai, n’ont jamais fait mystère de leur ascendance asiatique ; ils se disaient disciples des Egyptiens et des Babyloniens ; leur panthéon était arabe ; leurs cosmogonies et théogonies directement inspirées d’Anatolie ou de Canaan. Le père d’Hésiode n’était-il pas d’origine éolienne ? Hérodote s’étonne qu’on distingue l’Europe de l’Asie car il n’y voit, et ses compatriotes avec lui, qu’une seule et même culture. Effectivement la Grèce est née de l’Asie, recueillant par l’intermédiaire de la colonisation phénicienne le fruit de quelque 4 000 ans d’efforts menés par l’Egypte et la Babylonie. Son éclosion certes fut tardive puisque 1000 ans avant Homère, alors que les Grecs végétaient encore dans l’obscurité, les sujets de Thoutntosis jouissaient dans la vallée du Nil d’un art et d’un confort raffinés. En transmettant à l’Occident sicilien et italique l’héritage asiatique la Grèce devait y introduire les diverses religions arabes et notamment le christianisme puisque c’est en grec que le nouveau Testament parvint en Méditerranée occidentale. Pourquoi dans ces conditions, nous qui sommes les fils de l’hellénisme, continuerions nous à nous définir par rapport à la seule philosophie judéo-chrétienne ?Juifs et Chrétiens ne sont qu’un élément de l’apport hellénique. Fils de l’Asie, fils de l’arabisme nilo-mésopotamien, voilà ce que nous sommes en vérité. C’est la totalité du legs que nous revendiquons. Défions-nous donc des clichés passe-partout. Judaisme et Christianisme sont des termes qui masquent une vérité infiniment plus complexe et plus vaste, nous l’avons vu, que les castes où nous les enfermons. Il y a tant de choses troublantes au sujet des Juifs dans les histoires de Flavius Josèphe, dans les littératures grec que et latine, dans les Evangiles mêmes puisque saint Jean appelle « Juifs » les ennemis du Christ. Comment expliquer que Jésus, en contradiction ouverte avec la loi de Moïse, soit allé jusqu’à fêter sa Pâque à lui, à une date qu’il a choisie à contre-temps, puisque la célébration de la Pâque juive a coïncidé avec sa mort ? Autre question troublante : ces autres « Juifs », les Apôtres, qui ont rédigé les Evangiles à partir de l’an 70 ou 80, pourquoi ne mentionnent-ils nulle part un événement dont on nous dit qu’il a secoué la société juive : la destruction du Temple par Titus en l’an 70 précisément ? Pourquoi de son côté, Flavius Josèphe ne parle-t-il qu’ac- cidentellement de Jésus de Nazareth ? Autre interrogation tout aussi grave : les premières métropoles chrétiennes ne furent ni Jérusalem ni Nazareth mais les grandes capitales arabes de l’époque, Philadelphie, Ptolémaïs, Sardes, Pergame, Damas, Smyrne, Ephèse, Laodicée. Pourquoi l’Apocalypse qui est une lettre de Révélation (du grec apokalupteïn, découvrir) fut-elle adressée à la fin du i’siècle au 7 églises arabes d’Asie, celles là mêmes exactement qui abritaient les grands cultes d’Isis, de Baal, d’Orphée ? L’Apocalypse contient une imprécation contre « ceux qui se disent juifs et ne le sont pas, mais qui appartiennent à la synagogue de Satan ». Etrange aussi la déclaration de saint Paul qui appelle « Israël » l’ensemble des croyants, ajoutant pour épaissir l’énigme : « Ceux qui descendent d’Israël ne sont pas tous d’Israël ». Les Evangiles disent aussi qu’il y avait des « Grecs qui montaient adorer à Jérusalem ». Que signifie, en l’occurrence, « Grecs » ? Que signifie « Juifs » ? Non décidément rien n’est simple dans ce jeu de terminologie et il faut penser sérieusement à nous défaire des habitudes prises concernant l’exclusivité de notre prétendu héritage judéo-chrétien ; cessons de nous en prévaloir ; invoquons plutôt la tradition gréco-asia tique. Voile d’Isis Pierre Rossi
Damas etc ne sont pas des cités arabes mais arabisés par l’islam les arabes sont les descandant de makeda la reine de saba est se sont les habitant du Yémen ils sont noir comme les éthiopiens et non jaune comme les syriens d’ailleurs il le sont toujours aux Yémen et les égyptiens ne sont pas des asiatiques herodote qui les a vu disais « ce qui sont les plus noirs ce sont les éthiopiens et les égyptiens » « les coptes descendent sûrement des égyptiens car comme eux ils sont noir et on les cheveux crépus » et dans la culture grec il disent que les Dieu viennent d’Éthiopie car c’est la bas qui sont aller apprendre à connaître Dieu c’est pour ça que zeus étais représenter en noir et que tous ceux qui signifier la force la gloire tous ceux qui étais grand étais en noir
Vos commentaires sont pas très aérés et denses, mais intéressants! J'ai surtout l'impression qu'il faudrait vous croire sur parole pour certains sujets. Je ne vois surtout pas où vous voulez en venir à enchaîner les pavés d'aucune route sous la même vidéo! Dommage que pour apporter une réponse ou entrer en dialogue il faudrait écrire également un pavé pour chacun d'eux.
Jcroi qu'il y a une contradiction dans vos propos, vous dites que le coran na pas apporté une langue mais s'exprime a travers une langue. Puis vous dites que le document le plus ancien de la langue arabe date de a peine 1500 ans. Pile poile. La date de la révélation du coran. Comme si vous nous dites que avant le coran les arabes n'existait pas et ils parlaient pas nn plus.