OLIVIER de CLISSON - La Bataille d'Auray épisode 2/3

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#olivierdeclisson #batailleauray
Le 29 septembre 1364, l’armée anglaise arrive devant Auray et entoure la ville espérant attirer l’adversaire et le pousser à se battre. Charles de Blois et ses hommes se mettent en ordre de marche et arrivent devant Auray, près à en découdre. Charles de Blois est à la tête de 4000 hommes, il est équipé d’une tunique légère herminée aux couleurs de la Bretagne. Le chef du parti franco-breton peut compter sur son commandant, le redouté des Anglais, Bertrand du Guesclin, un petit noble breton. Dans la camp adverse, 3500 hommes sont sous le commandement des généraux anglais Knolles, Chandos, Claverley et Olivier de Clisson. Jean de Montfort est présent sur le champ de bataille habillé d’une tunique également herminée et coiffé de la couronne ducale. Les combats vont être d’une violence inouïe.

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15 окт 2024

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Комментарии : 9

@gallia-voxgallia 4 месяца назад

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@frerealain6449 4 месяца назад

Merci pour vos très bonnes vidéo. Et vive aussi la Bretagne.

@PierreAvrillaud 4 месяца назад

Excellente vidéo. Merci

@eriglebrundelabouexiere472 4 месяца назад

Il est non seulement injuste, mais encore inexact de prétendre que la Bretagne de Jean de Montfort aurait été "soumise à l'Angleterre", car d'une part Jean était jaloux de l'indépendance de son duché qui était pleinement souverain (et que Jean III, son père, ait été Pair de France et ALLIÉ du roi de France n'y change rien, il ne rendait que l'hommage simple comme duc de Bretagne et ne rendait l'hommage lige qu'en raison de son fief de Montfort en France). D'ailleurs, si Charles de Blois avait été Duc (ce qui au regard du droit successoral Breton était parfaitement injustifié), il aurait pour le coup entièrement soumis la pauvre Bretagne à la France, et n'en faisait pas mystère. Que votre sentiment patriotique ne vous aveugle pas. Dans cette querelle, le parti français n'est pas le bon. Placer la maison de Blois sur le trône de Bretagne par l'intermédiaire de la femme de Charles est moins qu'honorable pour un royaume qui ne reconnait pas les droits des femmes à la succession... La politique Bretonne a été pendant plus de sept cents ans de résister aux prétentions de ses deux encombrants voisins en allant d'une alliance diplomatique à l'autre. Contraints et forcés, les souverains de Bretagne ont ménagé la chèvre anglaise et le chou français, mais il faut bien admettre que les anglais ont été plus fidèles et moins exigeants. Quand on voit ce qu'il adviendra de la Bretagne devenue province au XVIe siècle, juste après son apogée économique... Assiégée, pillée, accablée d'impôts, tous ses outils économiques détruits (sa marine de commerce la première du monde, qui transportait 80% des biens européens, ses tissages etc.) quand la Bretagne est conquise son PIB par habitant est comparable à celui de la Flandre et à celui de la république de Venise. Vingt ans plus tard elle est ruinée et la famine fait peindre des "danses macabres" dans toutes les églises de Bretagne...