Peindre un plafond au rouleau de 250 mm - Deux couches à la perche - Masterclass 2/2 

Merci à toi 👍

Merci Joel, avec plaisir 😊

Merci Salim 🙂

Avec plaisir 🙂

Avec plaisir Jacques 🙂

Bonjour Auguste, Merci 😊

Bonjour Freddy, Merci pour votre message 🙂

@ de rien c'est plutôt moi qui vous remercie 🙏

Avec plaisir 🙂

Avec plaisir Philippe 🙂

Bonjour Alexandre, Avec plaisir 🙂

Bonjour Jérome, Merci pour votre message 🙂

@ avec plaisir (quel est votre prénom )

Ghislain

Bonsoir Alain, Merci pour ton message 🙂

Oui très professionnel et surtout très explicite !!!

Bonsoir, La pièce est effectivement éclairée pour les besoins de la vidéo, mais l'éclairage rasant est assuré par deux projecteurs à batterie BOSCH PRO montés sur un trépied. Chaque projecteur délivre 2200 lumens et l'ampoule en elle même délivre 2800 lumens. Bonne soirée, Ghislain

Salut Dominique, Merci pour ton message. La marque Seigneurie n'est pas plus chère qu'une autre, tout dépend de la gamme que tu choisis selon l'usage et l'emploi que l'on souhaite en faire. Si tu prends de la Practi mat, tu es sur une entrée de gamme, Pantex et Evolutex sont des milieux de gamme et Hermina et Hermina Premium sont des hauts de gamme et je ne cite que les gammes principales, il y en a d'autres... En GSB, j'ai réalisé un test complet et je dois dire que la Ripolin XPRO 3 et L'ARCHITECTE de chez Dulux Valentine sont de très bon produit. La vidéo est ici : ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-h7RBxM-NwbU.html De règle générale, on va privilégier le niveau de brillance mate pour un plafond car avec un satiné, les travaux préparatoires doivent être plus soignés sinon les défauts de surface seront beaucoup plus visible. Bonne journée, Ghislain

@ Merci beaucoup pour ta réponse, je vais regarder du côté de chez Ripolin je pense. Bonne journée

Bonjour Raphael 🙂 Non, la peinture n'améliore pas les propriétés thermique d'un espace, sauf celle qui peuvent réfléchir un rayonnement pour le concentrer et celle plus sombre qui absorbe le rayonnement solaire. Il faut que le matériaux en lui même soit conducteur thermique (les menuiseries en aluminium). En soit, cela y participe mais surtout grâce aux menuiseries extérieures (les menuiseries en aluminum) et aux surfaces vitrées d'un logement. Pour Evolutex et Elyopur et pour d'autres gammes de peinture, ce n'est pas le fait de multiplier les couches de peintures, ce qu'il faut éviter d'ailleurs (2 ou 3 couches de finition selon la couleur) mais sa nuance qui va avoir de l"importance. A ce jeu là le noir et toutes les couleurs sombres sont les meilleures... J'aurais l'occasion d'en parler prochainement dans une nouvelle rubrique. Bonne journée, Ghislain

@ Toujours aussi clair et précis. Bon week-end

Salut Phil, Merci pour ton message 🙂 J'utilise de temps à autre ce type de peinture que l'on appelle aussi "mouillé sur mouillé", mais il y a un process à bien respecter. Lorsque la peinture est appliquée y compris celle de brillance mate, elle "brille" puis elle mate en surface au fur et à mesure que celle-ci poursuit son mûrissement. C'est à ce moment qu'il faut repeindre en prenant quelques précautions. Lorsque l'on applique "frais sur frais", on a moins d'allonge avec la peinture ce qui fait que l'on en consomme un peu plus et on est moins précis dans la gestuelle car le fond est humide. Très clairement, le process de mise en oeuvre que tu vois dans la vidéo (détourage du périmètre et estomper la corde de la brosse au petit rouleau) est plus délicat à gérer car il est plus facile de faire des "pâtés" ou des surépaisseurs de peinture sur du frais surtout si on perd du temps à la mise en oeuvre. D'autre part, si le fond est délicat, je ne recommande pas l'emploi de cette technique, cela favorise la détrempe du support avec toutes les conséquences que cela peut avoir (modification du grain de rouleau devenant poché, voir structuré, peinture qui roule et/ou s'enroule autour du manchon...). Autre chose et on y pense moins, la température du support à une incidence majeure sur la technique du "frais sur frais", s'il fait trop chaud, je ne la recommande pas, cela favorise les raccords. Le "mouillé sur mouillé" est bien adapté sur des fonds bien préparés, avec des températures de support controlées (l'été, il faut que le support n'excède pas les 25°C) et surtout l'habitude de peindre pour être capable de peindre rapidement en vérifiant bien le temps de mûrissement de la peinture. Cela passe par une aération de la pièce parfaitement maitrisée puis une mise en peinture avec des menuiseries juste entrouvertes pour ne pas rester confiné avec les vapeurs du produit. Voila mon observation du produit, cela va plus vite, mais il faut bien maîtriser la procédure pour ne pas avoir un ouvrage remplis de raccords... Bonne après midi, Ghislain

@ Merci Ghislain pour ta réponse très détaillée, j'ai maintenant une vision plus précise sur la façon de procéder. J'ai un chantier à réaliser prochainement qui va me permettre de tester ce mode d'application, il fait moins chaud quand été et j'ai une chambre d'environ 20 m2 à peindre mur et plafond. Je vais essayer sur les murs avec une peinture soie perform caparol adapté au frais sur frais. Si le résultat ne me convient pas ça ne sera pas trop dur à récupérer 😁 Merci beaucoup pour tes conseils et le temps que tu consacres pour former les personnes qui débutent. Chapeau l'artiste... Bon dimanche

Bonjour Ghislain, J'ai fait l'essai de peindre frais sur frais, j'ai du attendre 45 minutes avant de redoubler. Il fait frais et humide dans ma région. Ça c'est bien passé et le résultat est bon. Comme tu l'avais dit l'application est un peu plus difficile, ça colle un peu. A réserver pour de petits chantier que l'on veut finir rapidement.

Salut Phil, Merci pour ton retour. En effet, c'est un produit un peu technique, parfois déroutant (redoubler alors que la peinture est "fraiche", cela semble mener tout droit à des problèmes...) et pourtant si on respecte bien le mûrissement de la peinture, cela ce passe sans difficulté dès l'instant que le fond est sain avec de la peinture acrylique. Pour les glycéros, cela marche encore mieux surtout avec les peintures à base d'huiles chaulées (environ 20 à 30 % dans les pots maintenant et presque 70 % quand j'ai commencé à peindre il y a plus de 20 ans) qui ne tirent pas sur le fond et peuvent s'appliquer sur fond délicat comme les anciennes chaux et les badigeons. En acrylique, la température est vraiment une alliée en cette saison, l'été étant bien souvent une source de difficulté supplémentaire avec ce type de produit. Bonne soirée, Ghislain

Bonjour, Non, il n'est pas nécessaire d'appliquer une peinture glycéro dans ce cas de figure. Par contre, il convient de poncer le plafond avant d'appliquer un autre produit. Un papier de verre grain 180 permet de "casser" l'ancien grain du rouleau et d'ôter toutes les petites aspérités que cela soit de la peinture ou éventuellement des fibres du rouleau. Ensuite, si c'est un plafond qui ne dispose pas d'un très belle planéité (un peu bosselé), il convient de le peindre avec un rouleau de 180 mm et non de 250 mm car plus le rouleau est large est plus celui-ci talonne, rendant l'aspect esthétique hétérogène (sensation de raccords et/ou de manques). Un plafond usuel se peint avec un rouleau de 12 mm de hauteur et son tissu est du polyamide à fil continu (ce que l'on voit à l'écran). Avec une superficie de 45 m², le détourage du périmètre se fait à l'avancement et l'application de la peinture se fait par travées en veillant surtout à arrêter le chauffage si c'est de l'air pulsé (type pompe à chaleur air/air) et à légèrement entrouvrir les menuiseries pour renouveler l'air ambiant. Bonne journée, Ghislain

Bonjour Ronan, Lorsque l'on applique de la peinture mate dans la cueillie (l'angle rentrant que forme le plafond et le haut du mur), on procède au lissage et on passe ensuite le petit rouleau de 110 mm pour estomper le coup de brosse (le cordage). Ensuite, lorsque le plafond est réalisé, les murs sont réchampis même s'il s'agit de la même couleur. Il est possible de dégager à la fois de dégager et de détourer le haut du mur en même temps, sous réserve d'avoir l'habitude de peindre car cela sèche vite. En général, on arrive à peindre le plafond et les murs dans une pièce de 10 à 12 m², au delà, il faut de nouveau réchampir ce qui permettra également d'estomper le cordage de la brosse à l'aide du manchon de 110 mm. Attention, lorsque l'on sait que les murs vont être peint avec de la peinture velours ou satinée, on évite de trop dépasser dans la cueillie au niveau du haut du mur car selon la peinture, cela forme une trace qui sera ultérieurement visible lors de la mise en peinture des murs. J'ai tourné une vidéo à ce sujet (non montée pour l'instant) pour montrer le rendu visuel entre un plafond peint en peinture mate et des murs peint en peinture velours. Bonne journée, Ghislain

Bonsoir Virgil, Il s'agit du trépied Métrica, le lien est en description. Bonne soirée, Ghislain

Hello, Oui, il faut poncer le plafond avant d'enduire et étant donné qu'il s'agit d'une cuisine, il faut le lessiver au préalable avec de la St Marc ou de L'Oxydrine additionnée d'eau tiède suivi d'un bon rinçage à l'eau claire. Une fois le support bien sec, on réalise un ponçage à l'abrasif P120 pour casser les aspérités et dépointer l'ancien grain du rouleau. Cela va améliorer l'adhérence de la couche d'enduit. Il conviendra après avoir poncé, de bien dépoussiérer le support à l'aide d'un chiffon microfibre puis d'appliquer une sous couche pour réguler la porosité de l'enduit et après séchage, d'appliquer votre peinture de finition. Bonne soirée, Ghislain

Salut Sébastien, Oui, un Goldor en 250 mm.

Salut, Il s'agit de la peinture mate Hermina Premium de chez Seigneurie. Bonne journée, Ghislain

Bonjour, Les manchons GOLDOR font partie de la marque Roulor Professionnel qui appartient au groupe NESPOLI. Ce sont les mêmes produits 👍

Ah merci

C'est bien souvent que la sous couche est soit trop diluée, soit qu'elle est naturellement riche en eau et non en liant ou en résine (produit d'entrée de gamme ou petit milieu de gamme). Au contact de l'enduit, la sous couche étant tellement fluide, de l'air emprisonnée dans l'enduit se libère et forme des petits cratères sensiblement comme du microbullage sur l'enduit. Cela peut également se former lorsque la hauteur de mèche du manchon et sa texture ne sont pas compatible avec le produit. De règle générale, une sous couche se travaille avec un polyamide à fil continu de 10 à 12 mm de hauteur sur des supports usuels et jusqu'à 18 mm en intérieur sur support particulièrement irrégulier.

Salut Francis, Oui, si celui-ci est en polyamide et en microfibre. Cela va redresser les fibres du manchon tout en améliorant le transfert de la peinture sur celles-ci en limitant l'effet "buvard" du manchon sur le premier m² que l'on peint. Attention à bien essorer le manchon, l'eau étant plus retenue dans les fibres d'un microfibre. Bonne soirée, Ghislain

@ merci beaucoup

Salut Didier, Il y a plusieurs paramètres à tenir compte. Le premier, c'est le niveau d'expérience et de dextérité que l'on a pour peindre. Lorsque l'on débute, on commence toujours avec le 180 mm, c'est un format usuel qui permet de travailler dans des camions de peintre de 7 et 8 L et également sur des formats rectangulaire que l'on trouve en GSB (grande surface de bricolage) à partir de 2,5 L. Ensuite, si avec un rouleau de 250 mm on va plus vite, il n'est pas adapté à tous les supports. Des que celui-ci est irrégulier, il est plus facile de faire des manques avec un rouleau de 250 mm, qu'avec un de 180 mm. Si l'on va plus vite, le rouleau est également un peu plus lourd, il faut y penser surtout lorsque l'on a des m² à "avaler"... Bonne soirée, Ghislain

Salut Esteban; La hauteur de mèche d'un rouleau à plusieurs fonctions. La première, cela permet de traiter des supports différents. Un rouleau de 12 mm va servir à peindre des supports lisse (fond usuel) et des toiles de verre. La hauteur de mèche permet également d'avoir de l'allonge lorsque l'on travaille la peinture. Un polyamide de 12 mm en 180 mm de largeur couvre deux fois sa largueur sur 2,50 m de hauteur lorsque l'on travaille sur un mur. Un 9 mm, c'est uniquement sa largueur sur 2,60 m de hauteur. Un polyester à sensiblement le même rendement sauf qu'en général au delà de 10 mm, il est également un microfibre en polyester. Son comportement diffère car c'est une "éponge". Le rendement et le grain du rouleau (rendu final de la peinture une fois l'opération de lissage effectuée) diffère d'un polyamide mais c'est plus technique et surtout cela ne s'adapte pas à toutes les peintures. Un polyamide à fil continu est très bon avec des peintures solvantées et usuel avec des peintures acryliques. On lui reprochera pour celles acryliques son pommelé un peu trop marqué. Néanmoins, lorsque l'on s'habitue à travailler avec, c'est très satisfaisant et dans la vidéo, cela reste un polyamide avec de la peinture mate acrylique. La hauteur de mèche en 10 mm en polyester permet de bien resserrer le grain du rouleau mais attention c'est rouleau qui trace lorsque l'on a pas l'habitude de peindre car au début on pense bien souvent que l'on peut faire pas mal de chemin avec un rouleau chargé... Je recommande vivement de travailler avec un polyamide de 12 mm plus tolérant, plus facile à travailler et d'éviter le microfibre qui est un très bon tissus tout en étant quand même technique. Concernant le détourage du périmètre, une fois la brosse appliquée (un aller/retour dans le développé des épaules pour une brosse de 29 à 32 mm de diamètre), on charge le rouleau de 110 mm (même tissus et même hauteur de mèche) et on dégage le périmètre de l'ouvrage que l'on doit peindre. Si c'est le plafond, on dégage bien et on estompe les coups de brosse et on lisse pour éviter un raccord net de la peinture qui se voit car cela favorise la surépaisseur. La partie de mur recevant la peinture est simplement estompée mais pas détourée car cela favorise les raccords et la surépaisseur car la peinture à bien le temps de sècher. Ce qui est important à retenir c'est que l'on peut superposer de la peinture dès l'instant que celle-ci n'a pas eu le temps de sécher. Ensuite, lors de la mise en peinture du mur (même si c'est la même peinture), on applique et au détoure l'ouvrage. Etant donné que l'on applique de la peinture, la couche recouvre aisément ce que l'on a au préalable estompé lors de la mise en peinture du plafond puisque l'on a pas peint à proprement parler. Les murs sont mis en peinture à l'avancement (face par face et globalement tous les 3 mètres linéaires lorsque l'on débute à peindre et le double quand on a l'habitude). Pense simplement à bien respecter les temps de séchage de la peinture, le fini mat est le plus facile à gérer, les autres (velouté, satiné) étant plus technique à cause de la luisance que cela génère. Bonne soirée, Ghislain

​@ Bonjour, merci pour ta réponse précise, Pour le rouleau, nous avons finalement pris un polyamide texturé court de 12mm, conseillé par le revendeur pro de la peinture Sigma. La fiche technique conseillait aussi ce rouleau (ou un polyester tissé de 13mm). Par contre je ne sais pas si c'est la même technique d'application que le polyamide à fil continu classique et le même rendement ?

Hello, Le polyamide texturé est un très bon tissus car il resserre le "grain" du rouleau. Le pommelé est fin à la différence d'un polyamide à fil continu qui est sur un haut pommelé voir légèrement poché selon la qualité du produit employé (à même hauteur de mèche). L'entre deux, c'est le polyester tissé qui n'est pas aussi fin que le polyamide texturé mais plus discret que le polyamide à fil continu. Il faut savoir que le polyamide texturé est un très bon tissus pour appliquer des peintures mates et satinées acrylique alors que le polyamide à fil continu est usuel dans les deux cas (il est performant avec les phases solvantées) et que le polyester est usuel en acrylique mate et recommandé avec les finis velours et satinés. Par contre, ce n'est pas un mystère, le polyamide texturé est déroutant à l'usage. Il se comporte un peu comme un "ressort" lorsque l'on peint (le microfibre polyester étant lui son contraire il se comporte comme une éponge), son rendement reste en deçà du polyamide à fil continu et équivalent à celui d'un polyester tissé. Il est parmi les trois que je viens de t'évoquer celui qui est le plus long (et parfois difficile) à nettoyer car la peinture rentre de partout dans les fibres (c'est son coté "ébouriffé" dans toute sa splendeur...). Pour te donner un autre d'idée, on fait deux fois la largeur d'un rouleau de 180 mm sur 2,50 m de longueur (à la perche) avec un polyamide à fil continu de 12 mm qui est correctement chargé (suivi du lissage à sec, avec de la peinture mate acrylique sur les murs, sur un plafond le débattement est plus court). Un polyester tissé et un polyamide texturé, c'est à peu près une fois à une fois et demi la largeur. Le rendement diffère mais le grain est différent. Je conseille vivement pour commencer, de peindre des petites pièces pour se faire correctement la "main" et surtout de voir si le grain du rouleau convient. Un polyamide à fil continu va faire gagner du temps et augmente un peu le rendement (c'est significatif lorsque l'on "mange des m² comme moi toute l'année) quand le texturé soigne la présentation. Bonne journée, Ghislain

@ C'est noté, merci beaucoup pour toutes ces explications :) Bonne journée