Psychologie du coureur: faut-il aimer souffrir pour courir ? - i-Run Café #15 - DLTDC 

Merci pour ton retour intéressant Florent !

Et c'est déjà énorme !

Merci Mathieu !

Après, il faut distinguer souffrance et douleur. Il semble difficile à croire que les athlètes de haut niveau ne souffrent jamais. Il faut choquer son corps pour progresser et cela ne se fait pas sans souffrance... Enfin c'est notre vision :). À voir si l'on doit l'apprécier ou non !

Entièrement d'accord avec toi, Julien. C'est terrible ce fond de culture chrétienne de chercher la gloire dans la crucifixion. J'ai une très grande joie à courir, et je n'estime pas, dans les moments où c'est rude, que c'est une souffrance. Quel que soit son niveau, quand on se donne à fond, on éprouve peu ou prou les mêmes difficultés, et c'est aussi une joie en effet de les dépasser, de se dépasser. Mais la joie première, c'est de courir, d'éprouver le bonheur du mouvement, de l'allègement, de la rapidité (chacun selon ses possibilités). Il peut y avoir des douleurs, mais les douleurs ne sont pas la souffrance, sauf quand elles sont extrêmes, comme quand on se casse un os (ou parfois quand on accouche, ou dans certaines maladies). On voit bien des gens arriver en grimaçant à la fin d'un marathon, mais enfin ça n'a rien à voir avec de telles souffrances. Ni avec certaines souffrances mentales parfois imposées par l'existence. Il faut arrêter de se gargariser de l'idée de souffrance, c'est très néfaste. Je souhaite à ceux qui aiment à dire qu'on souffre en courant de ne jamais connaître pire souffrance, ils changeraient sans doute de discours - mais autant en être conscient et voir les choses autrement sans avoir besoin, pour ça, de souffrir terriblement.

@@alina-reyes merci pour ton message, je te rejoins complètement ! Bonne journée

C'est vrai, malheureusement nous sommes limités par le temps... Ce sujet mériterait que l'on s'y attarde durant des heures, il a fallu faire des choix !

Merci et bienvenue !

Merci pour ton retour :) !

Comme souvent (mais chut...) !

C'est une analyse que beaucoup ont ! Mais d'autres aiment rechercher leurs limitent et se heurter à la souffrance dans leur pratique :)

@@sundaynightsports7528 c’est vrai. Chacun sa manière de pratiquer. Merci de votre réponse.

100 pr cent d''accord !!!!

C'est un vrai sujet en effet. Il semble que cela puisse varier d'une personne à l'autre. Car pourquoi chercher à aller toujours plus loin toujours plus vite ? À l'heure où beaucoup d'endroits sont accessibles en transports, pourquoi trouve-t-on toujours des fous pour y aller à pied ? Il y a tout de même une sorte de quête qui passe en partie par la souffrance. Alex en est d'ailleurs un bel exemple !

ahahah

C'est totalement abordé dans l'épisode, on te laisse l'écouter ;)

C'est une bonne chose :)

D'accord avec quoi ?

@@sundaynightsports7528 ce que je voulais dire c’est que la population connaît mieux certaines courses par leur format et leur médiatisation.. mais sur un 10km le faire en moins de temps possible ça reste une belle performance malgré qu’elle ne fait que 10km .. car si vous demandez à quelqu’un s’il connaît le 10km de houille ou le marathon de Paris . Un coureur amateur vous répondrez le marathon de Paris .

@@gregrunner Oui évidemment et bien loin de nous l'idée de dire le contraire ! Chaque distance comporte son lot de difficulté et fait appel à des aptitudes différentes. Il n'est pas nécessaire de les hiérarchiser, même si dans l'esprit du grand public, le marathon reste LA distance.

Alex l'a bien appréciée aussi ;) !

Le 800 /1500 ca fait tres mal . Quand on courait 10 12 15 kn a 85 % et lez vma oui ca pique ...cest lactique

@@hervefoata3919 c est phytalgique 😁😁

@@le_bras1976 cest - rapide que le sprint mais tu dois tenir bcp + longtemps meme si cest 4 / 5 k.m h de - que le sprint leffort dure cest horrible

Ça tombe bien, le sommeil est très bon pour la récupération

Merci pour ton avis.