La matière ne compte pas, les baguettes, le pendule ne sont que des amplificateurs de sensation. Je suis devenu sourcier car un jour mon cerveau a perçu un signal que je ne ressentais pas avant. (j'avais fait plusieurs tentatives dans le passé). Pour la technique, je me suis inspiré du livre "çà coule de source" et de la vidéo de Michel Hennique. Ces ouvrages sont vendus à "la Maison de la radiéthésie" à Paris.
L'avantage de la sourcellerie c'est que l'on peut rapidement juger de la valeur du sourcier au pied de la foreuse : il y a de l'eau ou pas, seul le résultat compte mais je ne suis pas infaillible malheureusement.
Pour évaluer le débit je n'utilise plus de pendule, je pose ma convention mentale: ex : "je veux me rendre sensible au débit de la veine qui coule sous mes pieds". Ensuite j'égrène des chiffres comme 100 L/H, 200L/H etc. Quand j'arrive au bon chiffre, désolé d'insister mais je ressens une petite contraction dans la nuque qui me confirme que je suis sur le bon débit.
Sur mon secteur principal : Drôme-Ardèche, sur environ 11 foreurs, 8 font appel aux sourciers. Pas pour chercher l'eau le long du Rhône, ou de l'Isère oû la nappe phréatique est présente et où ils peuvent creuser n'importe où. Ils demandent les services des sourciers sur les collines où je persiste à penser qu'il n'y a pas de nappes phréatiques. Je suis souvent appelé sur des forages secs et je crois que, s'il y avait de l'eau partout, cela ne devrait pas arriver.
Je ne crois que ce que je peux constater. L'important est le résultat. Si les sourciers se trompaient souvent, je pense que les foreurs ne feraient plus appel à eux et perceraient au hasard (ce que l'on peut faire uniquement sur des nappes phréatiques très localisées et le long de certains fleuves ou rivières (nappes fluviales).
Patience, je fais une nouvelle vidéo dans laquelle il a recherche, rapport et forage. Le propriétaire du terrain sur cette vidéo n'a jamais voulu faire le forage. Si vous cliquez à gauche sur : plus d'infos, vous pourrez voir la vidéo d'un forage faite par un client sur mes recommandations.
oui vraiment mais la baguette ne répond pas entre les mains de n'importe qui , il faut avoir un caractère ou un sang spécial c'est comme ci un don sinon ça bouge pas quand elle rencontre une veine d'eau . moi personnellement j'ai assisté à un sourcier qui a utilisé une baguette en bois du grenadier fraiche en forme de V . Il la tient entre les mains et il marche horizontalement au haut de la côte et quand il rencontre de l'eau elle fait des va et vient entre ses genoux et sa poitrine si il ne la tient pas bien elle peut lui donner des coups durs en plein poitrine ou même visage .
je suis sourcier , dernier forage effectué à 137 m de profondeur , l ' eau a jaillie , le débit était de 8 m3 / h . La contraction dans la nuque je n ' ai jamais eu ...
Sur ma seconde vidéo : sourcier professionnel Rhône-Alpes 2 vous verrez que ma manière de tenir les baguettes et le pendule donne quelque résultat. Je reconnais cependant que je ne manipule pas ces outils "dans les règles de l'art" tout simplement car ils me sont de moins en moins utiles.
c tout simplement parcequ'il s'agit d'un point d'eau, par contre c'est différent d'une veine ou d'un croisement de deux veines! là c un tres haut débit pour l'eau vienne en surface..
En me contactant soit par mail : gilles.poittevin@orange.fr soit par TEL au 04 75 64 83 44 et en me donnant le nom du village ou de la ville dans laquelle je dois prospecter, je vous communiquerai mon tarif
A l'époque de cette vidéo j'utilisais des baguettes en aluminium. Ensuite j'ai utilisé des baguettes en laiton. Vous pouvez utiliser la matière que vous voulez car c'est dans la tête que cela se passe (il m'arrive maintenant de travailler sans rien)
En fait il faut admettre ce que dit cet homme car il ne démontre rien du tout. Tout d'abord, les "veines" d'eau est un concept inconnu en géologie. Tout au plus peut il y avoir des galeries souterraines comme dans des roches calcaires (p.ex à Lascaux). Si on creuse n'importe ou on tombe forcément sur la nappe phréatique. Si le sous sol est poreux on peut alors y creuser un puits et on aura de l'eau. Quand au débits annoncés, toujours rien de démontré et on nage en plein délire.
« Si on creuse n’importe où on tombe forcément sur la nappe phréatique ». Ce serait formidable pour les sourciers et les foreurs qui auraient donc toujours de l’eau.
L'analyse de l'environnement a une part importante dans la détection d'eau (nature du sol, reliefs, végétation...), puisque lorsque l'on supprime cette capacité d'analyse, les sourciers ne font pas mieux que le hasard... En plus de l'analyse cela tient par une logique, effectivement, il est rare de voir un sourcier indiqué de l'eau au sommet d'une butte. Et en général les plombiers suivent une logique simple pour installer un tuyau d'un point A a un point B, logique appréhendable par n'importe quel humain. Logique, qui semble toutefois échappé aux architectes et ingénieurs... 😈😅 Il existe beaucoup d'illusions, mais celle des sourciers est fascinante de complexité.
@@yohanattilagaigher7608 vous commentez toutes les vidéos de sourciers comme ça ? Je retrouve vos commentaires partout. Jalousie, haine particulière, obsession ? Un conseil, consultez. Ça serait mieux pour votre santé mentale.
@@denisbriand3341 Il ne vous a probablement pas fallu beaucoup pour croire à la sourcellerie. (une expérience personnelle, une anecdote, un témoignage...) Par contre que vous faudrait-il pour ne plus croire ? Ne lisez surtout pas mes commentaires si vous tenez à votre croyance !
@@denisbriand3341 et oui il critique tous les sourciers comme ça. Il a une tête à claque ce mec mais allez voir ces vidéos à la con vous pourrez le critiquer parceque faire ce qu'il fait c'est ni fait ni à faire.
Je les ai sur mon téléphone c’est une application du BRGM Cela me permet surtout de savoir si le terrain du client est sur la marne ( ennemie du sourcier)