Violent orage au mouillage à Minorque: Histoires de mer # 3 

MERCI POUR TOUTES CES HISTOIRES SI BRILLAMMENT RACONTÉES.

J'adore tes histoires de mer Laurent, c est comme si jetais au coeur de l'aventure bravo bises

Bravo super merci j'adore j'ai tout dit...... hâte de la suite.....

Les emmerdes au mouillage, rien de pire! On a beau être prudent, difficile parfois d'échapper à un mauvais coup de vent sur ancre.

encore une histoire merveilleusement racontée

Bonjour, je reconnais l’île longue sur la vidéo 😊😉

tout simplement j'aime c'est instructif même si il y a longtemps que l'on navigue

Très prédictif de ce qui s’est passé en Corse cet été.de très bons conseils et je suis d’accord le danger est à la côte. Quand on peut prendre le large c’est beaucoup mieux.

Génial t’es histoires ! De notre côté pour le retour d’expérience on s’est déjà fait secoué beaucoup de fois au mouillage et maintenant si c’est la crise : toute la chaîne + une deuxième ancre empenele et main de fer sur le taquet de remorquage et jusqu’ici on a pas (trop) dérape, on a pas trouvé mieux comme système encore Très instructif on adore tes histories

IL y a quelque annees on a eu 123 kts dans une tempete au mouillage a Es Grau, minorque. Tout inattendu et plein d eclaires dans le nord avant que il fonce sur nous, c etait fou!! C etait vers fin juillet

Minorque 25 Aout 2002, le grand voyage pour les Antilles commence ! Parti le 17 Aout de Leucate, nous faisons halte à Minorque avant de repartir au petit matin pour rejoindre Porto Colomb à Majorque. Peu de vent, ciel nuageux mais nous avançons tranquillement sous génois grâce à un petit vent de travers arriére. En fin de journée nous devrions arriver à Porto Colomb, mouillage que nous avions découvert deux ans plus tôt lors de notre première croisière avec notre MOODY 33 fraichement acquis, nos premiers pas ... Troisiéme année de découverte de la croisière et nous partions à présent pour une année sabbatique autour de l'Atlantique en famille ... Le voilier est prêt après ces deux virées aux Balèares et ces 5 derniers mois passés à bord pour vérifier, démonter, changer et améliorer ce solide cockpit central qui va être notre habitation pour cette année. Début d'après midi, alors que nous continuons tranquillement notre route en direction de Majorque, le ciel se noircit à l'horizon , mais noir comme de l'encre et surtout des lambeaux de nuages filent à toute allure dans le ciel à contre sens du vent qui nous pousse ... OH OH ! Je n'aime pas cela, nous allons rentrer le génois et se mettre à sec de voile ... Naturellement c'est dans ce cas là qu'il arrive une embrouille , le gros enrouleur surpatte et bloque la rentée du génois, il reste 7 ou 8 m² de génois déroulé . Bon cela nous permettra de faire route avec peu de toile mais en fait, peu de temps pour réagir et prendre une autre décision car le vent rentre en quelques secondes en tourbillonnant, la mer s'aplatie et des embruns viennent nous radiographier à l'horizontale de la mer, le génois se met à contre en appuie sur le mat et les haubans et couche le voilier ... l'anémometre affiche plus de 35, 40, puis 45 et continue de monter , le génois passe enfin et se met à battre comme un fou ébranlant le mat qui fait des S sur le pont . L'anémometre continue de monter et bloque à 52 nds mais le vent semble continuer à monter ... 35 minutes les plus longues de ma vie à ne rien pouvoir faire et subir les èléments !! Nous nous attendions à voir tomber le mat qui subissait les claquements de la voiles qui commençait à partir en lambeaux. Puis le vent c'est lentement calmé, nous avons repris nos esprits, démarré le moteur et enroulé la toile déchirée pour reprendre notre route. Le ciel était chargé, le vent était descendu à 15 ou 20 nds et nous avons fait route au moteur sans dire un mot toujours impressionné par ce moment qui nous avait fait pensé à une fin du monde aussi surprenante qu'imprévue . Arrivé à Porto Colomb, nous descendons le génois et prenons contact avec une voilerie North Sails à Palma De Majorque, Mr Pedro Cavaco nous invite à le retrouver sur un rond point à l'entrée de Palma et nous guidera jusqu'à la voilerie, nous louons un véhicule et le retrouvons comme convenu à 9h sur le rond point. Arrivé à la voilerie, un bâtiment immense mais vide d'ouvriers !!!? Pedro nous explique qu'en fait il est en congé et que la voilerie est fermée, il regarde le génois et nous invite à revenir vers 14h30 il sera prêt ! .... 14H30 effectivement le génois est de nouveau neuf et surtout il nous l'a renforcé en prévision de notre voyage le tout pour 200 euros ! , nous ne manquons pas de lui envoyer un mail à notre arrivée à la Martinique 4 mois aprés ... La leçon, nuage noir nous rentrons TOUTE la toile et on réfléchit ensuite !!! Pendant cette année, notre seul vrai soucis météo sera ensuite sur le retour, à quelques jours d'arrivée aux Açores, avec 45 nds en continu pendant 3 jours mais ceci est une autre histoire !! ;) qui s'est bien fini aussi ! Pour la petite histoire, nous avons rencontré un autre voilier un peu avant Gibraltar qui avait subit le même coup de vent au même endroit mais ... 2 jours avant nous !

Super interessant et enrichissant.. Merci pour le partage.. 👍👍🙏🤙

Super, j ai connu mon premier orage en Croatie....ton histoire me parle...

Salut Laurent ! La main de fer est indispensable afin d'éviter d'arracher le guindeau ! Je n'aime pas trop les coups de vents en méditerranée !

Bonjour Laurent au mouillage à Minorque j avais envie de revoir cette vidéo très instructive J ai subi de nombreux orages au mouillage mais le seul qui posa problème fut à Tara à côté de Girolta orage même description qu à minorque ciel noir puis 60 noeuds de vent en 2 séquences la première à 18h , ancre rocna, 60 m de chaîne pour 8 m de fond , aucun bateau devant nous , appui moteur RAS tout s est très bien passé. 19.30 arrivée d un bateau à moteur 12 m qui mouille á l entrée du mouillage à 30 m de nous une très belle ancre bruce inox pas mal de chaîne . 23.30 nouvel orage réveil brutal 60 noeuds . le bateau à moteur avait dérapé et était coincé dans mon étrave avec son orin qui entourait mon bateau hors de question de mettre le moteur, j ai laissé filer tout ce que j’avais et avec beaucoup de chance j ai vu passer le orin à bâbord le bateau à tribord en priant pour que l ensemble ne se prenne pas dans ma quille de 2m40. il est passé !!!! le bonhomme a pu aller se rabiller car il était sorti de sa cabine à poil 😂😂 dans le mouillage 2 bateaux avait largué leur mouillage pour se dégager Conclusion en cas d orage se mettre le plus au large possible dans le mouillage

j'adore tes histoires...merci.

Merci....

Excellents conseils. J'ajouterais simplement un "gros plan" sur le mouillage, et la chaine en particulier. La chaine ne doit jamais être laissée amarrée au guideau, sur par temps calme pour une halte picnic. Elle doit être amarrée sur la bitte d'amarrage à l'avant du bateau laquelle, si elle est bien conçue, reprend ses effort sur la structure même du bateau et descendant jusque sur l'étrave ou le brion. C'est d'ailleurs la seule manière saine d'amarrer une chaine plusieurs tous suffisent, il n'y a qu'à libérer les tours pour donner de la chaine supplémentaire. Tout autre amarrage est à proscrire impérativement : les taquets, aussi bien dimensionnés soient-ils incrustent les maillons l'un dans l'autre et filer la chaine en urgence est impossible, et sur le guideau on voit ce que ça donne : la près n'est pas faite pour ça, elle casse. Il est bon aussi dans ce cas là d'oringuer l'ancre : l'orin n'a pas besoin de remonter jusqu'au pont, amarré à une petite bouée ou une défense ce sera plus simple et le bout sera moins long (il est bon de le lester d'un points de pèches de 50 - 100 grammes pour qu'il ne flotte pas entre deux eaux et se fasse couper par une hélice). L'oringuage est utile parce que dans ces coups de vent au mouillage il est presque certain que l'ancre va déraper au risque de se prendre dans un cable sous-marin ou sous un rocher. Il ne faut pas hésiter à affourcher avec l'ancre secondaire, l'ancre de l'arrière) cela rend la tenue meilleure et permet un évitage plus court du bateau. IL FAUT UTILISER DE LA CHAINE et non de l'aussière. Celle-ci à l'avantage d'être solide et souple, mais elle est légère et ne rempli pas le rôle de cantilever de la chaine : c'est son poids qui maintient le mouillage autant que le brochage de l'ancre sur le fond. Pour amoindrir les effets de retour de la chaine on peut doubler celle-ci d'une distance d'aussière (5 à 6 metres) tendue entre deux sections de chaine proches de l'étrave qui servira d'amortisseur … Rajouter du poids à la chaine (une gueuse de 10kg ou ce qui en tient lieu) améliorera grandement la tenue du mouillage. Et plus la chaine sera longue, plus l'angle qu'elle fera avec l'ancre et le bateau sera aigu, et mieux l'ensemble tiendra. On multiplie la longueur chaine par 3 fois la profondeur du lieu. Dans une condition normale : dans un gros coup de vent lâchez le plus possible, lâchez tout ce que vous avez (en ayant soin d'avoir amarré le bout restant dans le bateau d'une élingue !… Si vous avez une troisième ancre … n'hésitez pas ds que vous voyez que les conditions vont être encore plus difficile : vous êtes à 50 ou 100 mètres de la côte. au regard des forces impliquées cela veut dire quelques mètres seulement. Si tout va vraiment mal, soyez prêt à tout lâcher et a naviguer difficilement mais en sécurité au large : amarrez vos chaines à des bouées ou vos défenses que vous reviendrez chercher après. Il y a encore beaucoup de choses à dire sur le mouillage … un livre n'y suffirait pas… Ne lisez pas seulement les "nouveaux livres". Ils sont très insntructifs, mais trop souvent oublient les leçons apprisent par de nombreuses générations de marins.

video prémonitoire... bravo!

Je découvre votre chaîne. Merci, très interessants retours

Le dernier bateau sur lequel j'ai "voyagé" un peu était un porte-avions : c'est un peu bruyant mais on y dort plus tranquille quand même 😉

.....et diriger c'est prévoir!!!....surtout en mer!

Merci beaucoup pour votre chaîne intéressante

j'ai pas de bateau mai vos histoire me font rêver

Une superbe histoire et très bien comptée. Ta chaine est vraiment Géniale et bien faite avec un très bon contenue j'adore. Thierry.

Bonjour.tres belles explications et très bons conseils...personnellement j'ai déjà été surpris au mouillage par de violents orages en Croatie....deux fois amarré à une bouée via une dalle en béton ...pas de souci avec 2 amarres prisent sous la bouée ...une fois à l'ancre avec 30 mètres de chaîne là j'ai dû aider avec le moteur face au vent afin de soulager l'ancre .je reculais lentement mais sûrement vers une zone réservée aux nageurs par des flotteurs...grêlons pendant 1/2 heure mais pas de souci. Actuellement je descend 40 m. de chaîne pour la nuit

Salut Mu et Lau😊 ! Un grand bravo👏! Merci à vous pour cette vidéo, c'est très bien raconté, et l'analyse est pertinente à chaque fois! Particulièrement pour cette situation qui nous a rappelée une mésaventure similaire au Portugal. Prenez bien soin de vous😉, Micka, Linda et Eden

Au mouillage par gros temps on peut aussi; en s'y prenant à temps; empenneler une deuxième ancre devant l'ancre principale, avec 4/5m de chaine; c'est une grande sécurité

bonne analyse j adore

Salut, très intéressant et instructif comme toutes les autres :)

Super Histoire Laurent , j´adore. Tu aurais pu aussi parler d´empenneler le mouillage . Bravo

Merci pour ce recit, super chaine. Bonne continuation.

Coucou, allez vous faire une vidéo sur la tempête en Corse du 18 août 2022??

Une nuit au mouillage avec plus de 50 Nœud d'ouest dans la baie du Port de Gustavia à Saint Barth, 3 fois la hauteur d'eau de chaine, plus de 30m, et une danse continue de la proue d'un bord à l'autre stoppée net à chaque tension de la chaîne... un vrai cauchemar pour le bateau, un monocoque de 30 pieds, et l'équipage... Le problème au mouillage vient du vent et non de la mer, sur un voilier le point de pivot, la quille, se trouve en arrière du mât est la prise au vent tant à faire pivoter le bateau sur son axe, chaque fois qu'il recul lorsque la chaîne se tend. Je me souvient qu'après cette nuit s'en sommeil nous en avons discuté et l'idée d'amarrer l'encre à l'arrière dans ces conditions n'était pas idiote et aurait surement soulagé le bateau et l'équipage. Je précise que nous étions tous des régatiers avec une solide expérience à bord.

Je viens juste de decouvrir ta chaine et j'aime beaucoup tes histoires, avec leur bilan a la fin. C'est captivant.

problème de soulager le guindeau en frappant main de fer ou bout' sur la chaîne : s'il faut rallonger celle-ci, il peut être impossible de mollir pour les défaire, si vent fort.

En med, le plus dangereux, ce sont les orages, c'est une excellente idée de mettre en garde par rapport à ce phénomène; J'ai vécu cela aux Baléares et en Grèce. Moralité: quand il y a menace d'orage , je ne mouille que dans des mouillages vastes et abrités 360°: ça n'empêche pas le vent, mais au moins, pas de grosses vagues, car pas de fetch, et on n'est pas les uns sur les autres comme dans les petites calas de Minorque. Par contre je suis perplexe sur l'efficacité du soulagement au moteur, car quand la rafale mollit, le bateau avance, et à la rafale suivante, il recule en partant de plus loin, et quand la chaine se tend, la vitesse de recul du bateau provoque une traction importante et brutale sur l'ancre, qui peut la faire décrocher. Donc je n'utilise plus..... Un phénomène que j'ai vécu à la cala santandria (vers 1997) , juste à l'est de Ciutadella, et qui mériterait une mise en garde, car se produit tous les 2/3 ans: la risada: voir des vidéos sur youtube: C'est une marée exceptionnelle et soudaine qui vide certaines calanques de la côte sud de Minorque , y compris Ciutadella, provoquant des courants énormes et soudains qui emportent et font déraper et se percuter tous les bateaux au mouillage. Des morts et des bateaux coulés à chaque fois......

Mouillage sur l'île longue si je me troupe pas...👍⛵💛🖤

Il manque une information importante, le cercle d'évitement. Il faut s'assurer que si vous mettez un maximum de chaine, quand le vent va tourner que vous vous retrouvez pas dans les rochers ou sur un haut fond.

je connais les orages des Baléares !!oui sont terribles et font peur !!

Salut à toi je viens de regarder ta dernière vidéo. J'ai beaucoup accroché sur ton timbre de voix et le débit. Je vais m'abonner à ta chaîne pour connaître d'autres récits et des conseils que tu peux prodigués✌️⛵⛵✌️

Ne pas oublier que sans guindeau il est impossible de relever le mouillage à la main avec un vent fort 💪

De rester toute la nuit au mouillage vers 3 h00 du matin un gros coup de vent a fait dériver le navire vers la côte , nous avons eu juste le temps de faire machine arrière toute et larguer l’encre .nous avons donc une fois en pleine mer reprendre notre route

J'apprends en écoutant.

coucou 150 kn...souvent? euh...non...;) mais merci pour la video...bises;)

Le gros problème en Bretagne sud est le voisin qui vient se mettre juste à côté de vous en pleine nuit alors qu'un coup de vent est annoncé avec une bascule de 90°. Résultat : sa chaîne dans mon safran, je reconnais avoir légèrement dérapé, mais qui est responsable? On se trouve une place loin des autres le soir et il faut que un se mette vraiment trop près à 2h du matin.

Combien de fois ça m'est arrivé, aux Baléares, en Corse, Sardaigne... Avec mon sauvignon, 8.60 m contreplaqué. Pour s'en tirer sans dommage, si possible, prendre la météo régulièrement et même plusieurs fois par jour, le temps évolue très vite en Méditerranée, être attentif à ce qui ce passe autour et savoir interpreter les signes avant- coureur d'un orage Ou d'un coup de vent en approche, Par exemple, au large, une mince bande sombre a l'horizon, réagir très vite et savoir prendre la bonne décision autant que possible, dans un mouillage encombré il faudra rapidement prendre le large si on est sûr de ses propres capacités et de son bateau. et tout ça, ça s'appelle l'apprentissage et l'expérience, mais à l'heure actuelle l'apprentissage, école de voile, Commencer avec un petit bateau... Ça passe souvent à la trappe!.

Belle histoire. Comme quoi il faut toujours rester sur le qui vive et anticiper. Est ce ce n’était pas prévisible? Tablette? Programme de navigation?

Je me souviens d’un mouillage de nuit en corse , le pacha a décidé

En plus de l'ancre normale en bout de mouillage, une ancre frappee avec un bon mousqueton à mi chaine m'a permi d'avoir un effet de rappel et maintenir ma chaine plus horizontale et de faire un poids qui ralentissait les mouvements de tire du bateau. Mais bon j'avais juste 50 noeuds en rafale, pas une trombe...ce doit être de grands moments...

slt à toi, j'adore j'adore j'adore, tu es un excellent conteur,et tu mériterais une chronique dans "Thalassa" ! Et avec les images et les sons on si croirait !!!

A 9:14, 150 nœuds ça fait pas un peu beaucoup, ce ne serait pas des km/h plutôt ?

bonjour par experiences personnel est par "radio ponton " je ne suis pas d accords avec toi sur le fait d appuyer au moteur car : automatiquement tu vas remmoner un peut sur ton mouillage et tu aurat dans la rafales suivante le coup de rapelle( j ai vu souvent des bateaux qui faisait comme cela deraper dans la baston ) . la solution pour rester dans l axe du vent sur un mono c est une voile de "tempete de mouillage tres petite comme un tmt " frappee sur le pataras bordee plate elle as pour effet de maintenir le bateau dans le lit du vent mais elle as l avantage de ne pas le faire remmonter sur sa chaine ( c est ce qui est le pire ) . puis autre chose que je fait ( je ne suis pas le seul ) dans les mouillages avec gros risque meteo sur la chaine au 30 metres je frappe une aussiere avec une manille textille(cela fait des annees que je n utilise plus de mains de fer ou autres seulement manilles textilee dynemas , avantage plus solide , moins cher est tres vite a la rigeur coupee si il faut remmouille avec un 50 nds deja etabli ) et j envois donc tte la chaine au fond c est a dire 40 m de plus et je reprend la tension du mouillage sur l aussiere . c est efficace car le nylon absorbe les chocs transmis a l ancre , le poids de la chaine tient l ancre au fond . ca fonctionne bien . deja vecu plusieurs fois j usqua 80 nds de vent non constans en direction