Merci pour vos retours les gens. 🙏 Ce projet a été long et difficile à mettre en place. A la base, Zawa Prod n'existait pas "réellement" et quand on a obtenu une partie du financement de la série, c'était un soulagement mais aussi le début des galères : COVID, manque d'argent, peur de la polémique à cause du sujet extrêmement tendu et polarisant... Aujourd'hui, la situation est totalement différente. Zawa Prod s'est structuré (et ça a été le travail le plus invisible et le plus long sur ce projet), j'ai rencontré Cassandre, on a travaillé, lu, recherché longuement... et il faut vous dire que Cassandre n'avait encore jamais fait de vidéo, quel bg quand on voit le glow up... Marie en prod, Aleister sur les images, Paf au montage... jusqu'à la touche finale d'Emeric qui rejoint la team... Je suis fier de toute l'équipe. 😭 La conclusion donne un avant goût pour les prochaines vidéos qui vont arriver : la team est désormais complète, et ne peut que se renforcer de jour en jour. Les prochains projets seront plus philosophique et grand public, pour revenir aux origines de cette chaîne. Mais le travail sur le genre va continuer, que ce soit sur la mienne ou celle de Cassandre que je vous incite à surveiller. Bref, on debrief et parle de tout ça ce soir en live à 20h sur twitch.tv/DanyCaligula avec Cassandre et Raz, venez nombreux et nombreuses ! Sasageyo ! ✊
On vie pas dans le même monde...se poser ce genre de question est un truc de petit bourgeois qui a le tps de se branler. Dans la vie on déteste les cons et les connes le reste bosse de 7h a 19h pour essayer de manger et faire manger des gosses. Dire que c est mes impôts qui finance ses conneries...et au passage donner moi un pays où les femmes, les homos, et j en passe sont mieux traités qu en France où dans la civilisation occidentale ? Encore une fois les questions abordées dans cette vidéo sont le reflets de bande d adolescents qui n ont pas encore payé assez de facture. Le jour où on mettra en avant la caissière de carrefour qui elle, est vraiment l héroïne de ce monde au lieu de donner la parole à des espèces de types qui ne représente rien au seins de la société ( ba oui tu peu être homo, bi, ou ce que tu veux si tu es un bon plombier, un bon médecin ou que tu travail pour être utile à la société tout ira bien) ceux qui vivent à travers leurs orientation ou leurs pseudo combat de genre n ont rien d autre a proposer, faite moi confiance qu un agriculteur est beaucoup plus utile et se pose moins de questions de genre parce qu il a un but et des compétences. Et n oubliez jamais que se plaindre de la violence est un truc de type qui est a l abri de la dite violence parce que des hommes sont prêt à l être pour assurer la paix.
@@mthth2320 toi t'as aucune idée de qui sont les gens qui bossent sur ce contenu sinon tu saurais qu'ils ne sont ni bourgeois ni loin de la réalité des violences et des factures. On peut être prolo, payer des factures, toucher un salaire de merde Et subir des violences liées à son genre lorsqu'on est quelqu'un qui vit mal celui-ci. En plus c'est parfois lié.
Dans les précédentes vidéos de la série, j'avais un peu une impression de jonglage d'idées mais dans celle là, j'ai trouvé votre discours clair et pertinent. Cette vidéo aurait peut-être dû sortir dès le début car je la trouve nécessaire aux deux premières.
Je ne pense pas que j'aurai regardé la vidéo en entier si je j'avais pas vu et été touché par la série netflix "les chroniques de San Francisco" parce que quand on est pas concerné ou pas certain on se rend pas pleinement compte du vécu, des enjeux, des sacrifices et des larmes, des batailles et des moments de partages. Pour en revenir à cette vidéo qui je crois est la suite de la dernière nettement plus accessible J'ai du écouter celle là deux fois pour mieux comprendre, dommage que d'autres personnes ne puissent pas prendre le relais pour expliquer ces concepts et réflexions mais avec cette extraordinaire dynamisme tellement appréciable! Apparemment ça à l'air compliqué de mettre en place tout ça. Pour un sujet qui n'était pas prioritaire pour moi (ma liste est trop longue et quand on viens d'un milieu prolétaire on ne lis pas avec autant d'aisance que d'autre, alors il faut redoubler d'effort, de temps et de motivation) je vais faire des recherches, merci beaucoup pour votre travail et le partage de votre vécu presque intime, j'imagine que ce n'est pas à la portée de tout le monde. Des petite vidéo philo à ces discussions o combien indispensable pour comprendre et respecter les autres, il y a eu du chemin, mais je trouve que la qualité de réflexion à toujour été là
Bravo et merci pour ce travail, ce partage. Question : le texte de "Conclusion" est-il issu d'un des ouvrages qui est dans la bibliographie ou bien est-ce de vous deux ? Merci.
Bonjour twitter, je suis un mascu mgtow comme tu m'as accusé de l'être et j'ai pas trop trop aimé cette vidéo car bon haha moi vrai homme haha, je vais surtout ne pas être réceptif à un discours queer parfaitement construit, magnifiquement illustré par le grand Paf, dans lequel tout le monde peut se reconnaître et servir de base pour réinterroger la binarité du genre qui peut être nuisible à tous. Je préfère moi aussi me reposer sur mes idées arrêtées et faire des threads sur des vidéos que j'ai pas vu, ou avec des mauvais a priori parce que moi je suis gentil et Dany c'est le méchant haha et Cassandre l'invité il est pas très très beau, enfin c'est ce que je dis parce que hein voilà quoi #NoHomo... ^^ J'espère que je serai screené pour servir d'exemple de méchant mascu dans un thread qui sera liké par des profems ! hihihihi ^^
Salut Dany, Salut Cassandre, je vous suis depuis quelques mois sur twitch, et vos contenus sont tjs intéressants, moi qui suis largué sur ces questions de genre. La phrase de Dany en off "est-ce que le fait de tenter de définir notre identité, ne serait-pas encore une manière subtile de la nier ?" me rappelle cette phrase d'Annie le Brun dans Lâchez tout : "Quoi qu'on veuille nous faire croire, l'horizon de la révolte féminine se restreint de ce qu'elle exclut. Et dans cet appauvrissement du regard, l'affirmation du fameux droit à la différence ne contribue plus qu'à instaurer une dictature du meme". C'est à dire que la définition du féminin est toujours exclusive en tant qu'on cherche à la définir. Et que dans cette logique d'exclusion se cache une manoeuvre idéologique, sinon largement critiquable, de reniement du féminin, comprendre un rétrécissement du domaine du sensible plutôt qu'un élargissement. Dans tous les cas, je sens votre fibre anar, et à ce titre, ait été un peu surpris de vous voir faire un éloge de Beauvoir qui n'a eu de cesse d'insister justement sur son dégoût du sensible, et plus généralement de la passion dans ses oeuvres. Sinon, épisode très sympa, même si la fin de la vidéo fait un peu auto-sucage avec ses plans au ralenti, limite on dirait du Zack Snyder, les flares en moins. Je suis trop vieux pour ces conneries. Mais je kifferai un jour squater vos squats philo. PS. beaucoup apprécié le dernier mix de Raz au squat philo.
Je viens de découvrir cette série de 3 épisodes, une vraie pépite. Et quel choc ce court métrage incroyablement percutant à la fin, une vraie réflexion philosophique et humaniste sur fond de SNK... je suis scotchée !! Bravo Dany et Cassandre, force à vous !! 😘
Je cite « Lola est une blanche aryenne » votre racisme ne se cache même plus, et à force de prendre des gens pour des idiots utiles vous en paierez le prix
J'ai envie de mettre un commentaire mes Paf m'interdit de parler de manga alors je sais pas quoi dire. Bon cancel à vous j'imagine, les stream de bad seront quali.
La conclu m'a retourné, j'écoutais plus, transporté par les images et la musique, vous êtes trop forts, je rematerai ça plus tard pour le discours, mais déjà gg aux artistes tous autant que vous êtes !
Certains objectent l'évolution. Cette question est, s'agissait de notre espèce, multiple tant elle est plastique. Elle est collective mais aussi individuelle. Elle est biologique mais surtout culturelle, économique et sociale. L'angoisse de la survie de la société ancienne était très présente jusqu'aux révolutions industrielles. La nouveauté de la modernité est cette capacité de s'extraire (partiellement) des contingences et s'inventer soi-même. Votre démonstration brillante est l'aboutissement d'un processus long et complexe. Bravo à vous deux.
Comment pouviez-vous ne pas aimer les hommes avant ? Tous les hommes, ne sont pas pareille. Et honnêtement, détester un sexe à cause de certaines personnes est totalement idiot c'est de la généralisation de masse.
@@Anakimskywalker2390 Ah putain mais j'en ai marre de cette erreur permanente entre le statistique/global et l'individuel... Ce qui est discuté sur des chaînes comme celle-là ce sont les phénomènes SOCIAUX, il y est admis qu'il existe des phénomènes (non biologiques) qui poussent les hommes et les femmes (ça marche avec d'autres catégories) à se comporter et se concevoir comme ils le font. Et que donc le nombre de viols annuels n'est pas un accident mais le fruit de ces constructions sociales. Ce ne sont pas CERTAINES PERSONNES qui seraient "problématiques" pour des raisons individuelles obscures (mais qui comme par hasard arrivent au même résultat en masse), mais des systèmes sociaux qui sont mis en cause. On peut trouver les caractéristiques du "genre homme" problématiques. Il y a dans ma ville un tag féministe particulièrement éloquent : "Pas tous les hommes, mais assez pour qu'on ait toutes peur". Ca résume pas mal le concept.
@@ts8404 Ouais y a une tendance... Y aurait des trucs qui "échapperaient à la rationalité", c'est des trucs qu'on a entendu pas mal de fois déjà et en général c'est plus des opinions arbitraires qu'autre chose. Je suis encore pas mal débutant en pensée marxiste et compagnie mais j'ai l'impression d'être dans un recoin "non-matérialiste" (en tout cas pas à 100%) du YT de gauche radicale. Moi j'aime bien que ça existe mais j'ai l'impression que ça peut vite partir en cacahuètes, parce qu'on vire la ligne directrice "solide". La rigueur absolue c'est chiant, mais on s'en éloigne à ses dépens... Si on doit explorer l'affect et l'impact individuel des idées progressistes, je préfère les lignes Lordon-Spinoza ou encore la spiritualité PAS new age pour le coup, qui elles ne se "vautrent" pas dans l'affect mais tentent de l'appréhender sans concession.
@@martinpasture5935 nous restons des êtres grégaires. Une certaine homogénéité, unité, est nécessaire pour que le groupe survive. Mais aujourd'hui on se fout de la question de survie en occident, alors qu'elle va très vite revenir.
Très intéressant, comme d'hab. Je met juste en pause vite fait parce que le passage sur la sexualité me fait penser à un ajout: J'ai pu constater, mais encore n'est-ce que mon expérience, que les traits associés aux hommes et à la virilité pourrissent aussi les relations hétérosexuelles, les femmes semblent partir du principe qu'un homme est incapable de désirer ou de faire preuve de tendresse. Hors, et je ne pense pas être le seul cis-hét dans ce cas, j'aime les caresses, les bisoux, les préliminaires, etc. et le coït en lui-même m'emmerde profondément. On se retrouve souvent, même si on n'est pas du tout un mec viril, à devoir faire face à ces injonction de domination, de froideur et de performance. Et je ne vous dit pas la surprise et la déception des ces dames quand, ô inconcevable évènement, on n'a juste pas envie de faire des galipettes. On en revient à cette idée du tabou sur l'expression masculine, on commence à admettre que la sexualité féminine couvre un large prisme de possibles mais l'idée que l'homme soit autre chose qu'un animal en rut est encore loin, très loin d'avoir fait son chemin.
@@artmarxial9811 Ca peut être une bonne illustration d'intériorisation : certaines femmes peuvent avoir l'impression que c'est la mesure de l'amour de leur compagnon ou de leur capacité à susciter le désir.
Je suis complétement d'accord. L'homme aussi subit une pression de séléction énorme de la part des femmes, sans même qu'elles s'en rendent compte. Parce que F s'enorgueillit d'aimer la tendresse et de rejeter la masculinité, mais en réalité, aucune femme de ne veut d'un homme faible incapable de s'imposer et de la défendre. Le grand paradoxe féminin, et celle ensuite se fait victime en argant toutes les contraintes intrinsseques de leur sexe, jusqu'a même vouloir en changer.
On sent que vous maîtrisez le sujet. C’est probablement limpide pour vous mais les passages lus c’est pas facile à saisir du premier coup. Le style et le propos fait que ca joue avec les contradictions.
Déjà juste non, si le gars lui répond "pourquoi tu me raconte ta vie" ce n'est juste pas son ami, je peux l'affirmer à 100%, entre homme on peut très bien parler de ces choses là sans problème, par contre cela nécessitera un niveaux de proximité supérieure à celui exigé entre femmes ou avec une femme, mais je ne trouve pas cela gênant. L'hétérosexualité est simplement nécessaire à la reproduction et au maintien démographique d'une société. C'est un fait, si nos ancêtre n'avaitent pas mis un pied d'honneur à favoriser la reproduction de leur populations ils auraient soit disparu, soit serait rester à l'état de tributs éparses. L'ordre est simplement nécessaire dans des sociétés en proie aux désastres naturels. Mais voilà dans nos sociétés modernes d'abondances cet impératif de reproduction n'est plus si évident, les règles autrefois nécessaires sont devenus au yeux de beaucoup des carcans inutiles et archaïque. Le progrès c'est aussi le rejet de l'ancien, et le nouveau nom de la modernité est l'individualisme. Mais soyez en certain, dans un monde où la survie redevient une question centrale le retours à l'hétéronormativité sera puissant et invincible, car redevenu nécessaire, quant à l'hétérosexualité elle sera toujours majoritaire car biologiquement ce sont ceux qui se reproduisent le plus qui transmettent leur traits génétiques comportementaux, c'est pour cette raison que l'homosexualité sera toujours minoritaire (car moins efficace dans la transmission des gènes) même si il s'agit d'avantage d'épigénétique en l'espèce. Pour ce qui est de la question de la nature je trouve très réducteur de se contenter d'affirmer que si l'homme est naturellement plus violent c'est une mauvaise chose en soit, si la violence existe chez l'être humain c'est simplement qu'il s'agit d'un comportement qui a été retenue par la sélection naturel et donc qu'il constitue un avantage à la survie. En avoir honte n'a aucun sens, au contraire la sublimer et lui donner du sens est salvateur et en fin de compte la masculinité n'est que la sublimation de cette violence qui effectivement est plus présente chez les mâle homo sapiens sapiens (comme chez beaucoup d'espèce). Aussi, "utilisé sa force pour protéger la veuve et l'orphelin", "Pour défendre sa patries et sa famille", "la violence légitime d'Etat" (pour l'ordre sociale et la justice) ou encore "pour la liberté et l'égalité", sont simplement des sublimation de la violence, elle se distingue de la violence gratuite, cruel ou à des fins égoïste. Et ce sont ces formes de violences sublimés par la culture, la morale et la philosophie qui constituent les éléments de la masculinité moderne. Alors au lieu de rejeter notre nature, acceptons là, sublimons la ! Les grecque et les Romains sublimaient autant le corps de l'homme que la femme, l'amour sublime le sexe (même animal), l'instinct de domination et de violence peut être mise au service de l'ordre et de la justice... C'est à la culture de civiliser nos instincts pour mieux vivre avec, sans honte et dignement car on les domine alors. Au fonds être un homme ou une femme ce n'est pas supprimer ses instincts ni les laisser nous contrôler, mais les comprendre et les maîtriser pour en faire quelque chose de beau, moralement et socialement acceptable.
"entre homme on peut très bien parler de ces choses là sans problème, par contre cela nécessitera un niveaux de proximité supérieure à celui exigé entre femmes ou avec une femme, mais je ne trouve pas cela gênant." Ils disent un peu la même chose que toi (bien sûr qu'en vrai ça existe, mais tu reconnais que c'est moins facile, moins accepté, moins immédiat). La différence c'est ta conclusion et la leur, il y en a pleins qui trouvent cela gênant. "L'hétérosexualité est simplement nécessaire à la reproduction et au maintien démographique d'une société." Les relations sexuelles homme-femme sont nécessaires. Ca n'exclut pas l'acceptation de rapports homosexuels, dans notre société des homos on eu des enfants, pendant des siècles. C'est ça justement la construction sociale, lier entre eux des trucs qui a priori ne le sont pas, pour rendre "inacceptable" certains comportements. En fait la reproduction ne nécessite même pas de relations romantiques tel qu'on imagine un "mariage parfait" dans notre culture. Quant à lier l'homosexualité à des facteurs génétiques, t'es en avance sur la science l'ami, ça c'est a priori ton opinion. Et puis si on suit ton raisonnement ça n'est par définition pas un problème de tolérer l'homosexualité... "Pour ce qui est de la question de la nature je trouve très réducteur de se contenter d'affirmer que si l'homme est naturellement plus violent c'est une mauvaise chose en soi" Je vois pas où quelqu'un dit ça... A la rigueur les gens dans la vidéo présentent ça comme le discours de certaines féministes (j'aurais bien aimé avoir des citations pour ces trucs-là d'ailleurs). "Aussi, "utilisé sa force pour protéger la veuve et l'orphelin", "Pour défendre sa patries et sa famille", "la violence légitime d'Etat" (pour l'ordre sociale et la justice) ou encore "pour la liberté et l'égalité", sont simplement des sublimation de la violence, elle se distingue de la violence gratuite, cruel ou à des fins égoïste" Mais "la veuve et l'orphelin", "la patrie et la famille", on doit les protéger contre qui...? Statistiquement, les résultats sont sans appels : des hommes... L'angle mort du discours masculinistes c'est le fait suivant : "on est violents pour votre bien les femmes, pour vous protéger... D'autre hommes"... C'est en ça que le discours féministe est mille fois plus cohérent, il va jusqu'au bout, et ne se contente pas de déclamer des trucs en l'air, du genre "la violence est naturelle elle sera toujours là", il voit bien que cette violence est orientée, structurée. Mais bon, c'est peut-être difficile de se mettre d'accord puisque pour toi le contraire de la bonne violence, c'est la violence "gratuite, cruelle ou égoïste", donc tu refuses d'admettre que la violence peut être structurée socialement et que si tant de femmes souffrent de viol, c'est qu'on est dans un système social avec une représentation des genres qui va pousser les hommes à vouloir "posséder" le corps des femmes, à en jouir sans les considérer comme des sujets, des égaux. J'imagine (peut-être à tort) que tu pars du principe que le désir sexuel est biologique et qu'il ne change pas en fonction des sociétés et au cours du temps et que c'est de la pulsion pure, alors que le concept même de société et de civilisation se base sur notre capacité à restreindre nos pulsions et nos instincts biologiques... Et puis alors l'esthétique porno mainstream dans ton discours, je vois pas comment tu l'expliques : biologiquement les hommes devraient pas vouloir jouir sur le visage des femmes, ça ne sert aucune fonction de reproduction, le porno actuel est une illustration gigantesque de la violence larvée des rapports sexuels hommes-femmes. "Au fonds être un homme ou une femme ce n'est pas supprimer ses instincts ni les laisser nous contrôler, mais les comprendre et les maîtriser pour en faire quelque chose de beau, moralement et socialement acceptable." C'est un des buts du progressisme moderne qui se base sur le structuralisme. Ce qu'il te dit de plus, c'est que ces instincts sont déjà orientés par le système dans lequel tu vis, projetés vers des buts particuliers, par exemple la domination masculine, qui n'est pas nécessaire à la survie de l'espèce. La violence entre mâles dans les espèces de primates ou de mammifères en général, favorise la reproduction des individus les plus forts physiquement, pas la survie de l'espèce, elle elle passe simplement par la survie des éléments les plus adaptés à leur environnement, et le but des civilisations humaines a été de s'extraire du carcan environnemental. Donc ton truc évolutionnaire c'est du hors sujet complet. De plus, "moralement et socialement acceptable" ça change en fonction des sociétés et des moments historiques, et c'est tout le sujet du débat, donc t'as rien résolu du tout, à part pour dire que t'es d'accord avec une des vidéos précédentes quand ils disent que la violence sociale ne peut pas être considérée comme un phénomène purement masculin et négatif qui disparaîtra avec l'abolition de la masculinité toxique. Si tu es sérieux dans ton propos, essaie justement de comprendre la violence masculine dans tous ses aspects, sur des cas concrets.
@@Kyrielsh1 : Tout d'abord merci pour ta longue réponse argumenté, cela fait plaisir car c'est vraiment rare et ça donne espoir pour l'avenir du débat en France, surtout dans un contexte où les idées se radicalisent comme les personnes, et où trop souvent on ne veux plus souffrir de débattre avec des personne qui ne partagent pas notre point de vue. Alors commençons par le commencement : Sur l'aspect "je ne trouve pas cela gênant que les hommes se confient avec des personne de confiance très proche", c'est simplement car je trouve qu'au final quand nous nous livrons a une personne en qui on a vraiment confiance cet échange sera de bien meilleur qualité. Je préfère la qualité à la quantité, nulle besoins de se livrer émotionnellement à tout bout de champs avec des personnes qui au fond s'en foute de nous. Car même si les femmes se confient plus au final je ne suis pas certain qu'elle reçoivent toujours des retours de qualité et bien intentionné. Oui cela n'est pas une raison pour exclure les homosexuels, qui affirme cela aujourd'hui ? C'est juste un poncif. Et je n'aime pas le termes tolérer, je préfère le termes d'accepter, et j'accepte volontiers les homosexuels dans notre société. Par contre c'est une minorité et ce n'est pas en traitant la question des minorités que l'on règle les problèmes de la majorité, hors la majorité des hommes sont et seront toujours hétérosexuel et cela pour des raison purement biologique. Oui ils ont eu des enfants mais au sein d'un couple hétéronormé, on pourrait s'aventurer sur la question de l'importance d'une mère et d'un père dans l'éducation des enfants mais on dériverait du débat. Quoique je vois avec la PMA pour toute et la possibilité d'adopter en dehors d'une couple homme femme un coup de cutter dans le rôle du père, et quelque part l'expression d'une forme de dévalorisation du rôle du masculin et de l'homme dans l'éducation des enfants. Le discours féministes n'est pas du tout plus cohérent que le miens, ils ne font que prendre dans les sciences ce qui arrange leur idéologie, soit tout simplement la sociologie tout droit sortie des USA et héritier de Sartre, Beauvoir et Bourdieu. Je suis sur la position la plus saine, qui est de dire que nous sommes la résultante du biologique et du culturel. On est dans le faux dés lors que l'on exclu l'un ou l'autre. Maintenant par nature les causes biologique et les causes sociologiques sont très différente : La cause sociologique est malléable, on peut changer une culture au grés des politiques et des modes. La cause biologique est rigide, on ne peut pas la changer, uniquement palier aux conséquences négatives qu'elle peut entrainer. La cause sociologique évolue sur un espace temps à échelle humaine (10 ans à 1 siècle) La cause biologique évolue sur des millier d'années ( évolution de nos caractéristiques génétiques) Tous cela a des conséquences pratique très importante sur la manière de traité chacune des problématiques touchant au sexe au genre et aux relation homme femme. Ainsi si une cause est biologique il vaudra mieux rediriger nos tendances naturels, au risque qu'elles ressurgissent sous forme de violence dans la société. Si la cause est sociétale, de l'éducation, de nouvelles normes juridiques et une dose de propagande politique devrait suffire pour faire passer la pilule. L'approche est plus subtile quand la cause est biologique, car on ne peut pas frontalement supprimer la cause, sous peine de créer des souffrances et frustrations. Par exemple les incels comme le féminisme extrémiste sont un symptôme de cela, d'une mauvaise gestion sociétale d'un problème au fond biologique. Ce n'est pas la société qui nous rend violent, la violence est humaine et s'exprime sous plein de forme dans la société. Par exemple la justice et le procès sont des structures sociétales visant à réguler la violence interpersonnelle au sein de la population, elle remplace la vengeance et la vendetta en faisant preuve de violence contre les auteurs d'actes socialement non acceptable. Mais la violence précède la société, l'homme n'est pas bon ou mauvais par nature, par contre il a en lui un potentiel de violence et dans une société civilisé comme la notre cette violence est jugulé et contrôlé. Quand un groupe de jeunes hommes vol a Paris le portable d'une jolie jeune fille puis la violent en réunion, ce n'est pas une résultante de la pression sociale ou d'une culture du viol, mais un échec de la société et de la culture. Ce qui les a motivé au fonds est très primaire, désirs sexuels et désirs de propriété (pour le portable). La société n'a pas su les civiliser, ils n'ont écouté que leur bestialité, leurs bas instincts, leur impulsions, vous voyez cette violence est égoïste et gratuite. Pour moi nulle besoins de culture du viol pour que des êtres humains commettent des viols, ils en sont bien assez capable naturellement, mais la culture l'éducation et le cadre social sont indispensable pour éviter au maximum ce type de crime. Et si vous voulez vraiment parler de culture du viol alors on pourrait parler de "droit de cuissage" là c'est effectivement une règle sociale motivé directement par la satisfaction d'un désirs primaire sexuel, mais si l'expression est sociétale la cause reste biologique. Vous confondez comportement génétiquement induit et comportement adapté à la reproduction. Si il y a du plaisir et désirs sexuel c'est pour pousser l'être vivant vers l'acte reproductif, mais cela ne signifie pas que consciemment nous ayons une volonté de nous reproduire, nous ne souhaitons alors que satisfaire notre désirs sexuel, alors nous prenons des pilules des préservatifs et jouissons inefficacement devant du X. En ce sens au contraire le porno c'est l'expression de nos désirs biologiquement induit, plutôt pour les hommes d'ailleurs car les hommes sont biologiquement plus sensible à l'image, la femme elle, est plus sensible au touché, à la voix et à l'imaginaire (roman, 50 nuances de gris...). Enfin qui vous dit que la domination masculine n'a pas été nécessaire à la survie ? Dans des époques où les communautés devaient se défendre contre les bandits et les invasions barbares, les hommes se devaient de protéger leur famille et leurs biens en plus de leurs vie, étant le sexe physiquement le plus fort et dont la valeur sexuelle est la moins grande (et donc sacrifiable au combat) il apparaissait logique qu'ils soient au cœurs de la lutte de pouvoir, et donc au cœur du pouvoir. Et d'ailleurs les sociétés matriarcale ont quasiment toute disparu ce qui démontre de leur incapacité à survivre, car comme pour les gènes les sociétés luttes pour leur propre survie et l'histoire a sélectionné les structure sociale les plus apte à survivre. Ainsi un cadre sociétale apportant un avantage à la préservation de cette société aura plus de capacité à se perpétuer et a se transmettre entre diverse société et civilisations. Et je pourrais aller plus loin encore en vous disant qu'au final nous n'avons fait que changer notre environnement, nous avons accomplis notre but premier en atteignant les 7,8 milliards d'habitants, au final très loin de nous émanciper de nos instincts naturels, sans même nous en rendre compte nous avons accomplis ce pourquoi nous étions programmé, ne sous estimez pas dame nature. Il y aurait encore tant à répondre mais je m'arrête là pour l'instant car c'est déjà beaucoup BEAUCOUP trop long.
@@micksensei2259 Pavé César, j'ai tous lu (ce qui n'est pas une preuve de ma santé mental). Je ne vais pas m'amuser à argumenter points par points les (nombreux) points où je ne suis pas d'accord avec ton discours. En fait seul une longue discussion empreinte d'écoute permettrait de réellement aller au fond de nos idées antagonistes, et de révéler les incohérences qu'elles comportent. Par ce que je me rend compte que l'on a pas la même notion de la nature humaine, de l'objectif d'une culture, et de tant d'autre chose, et que nos conclusions (toutes deux valables) ne peuvent donc pas être les même.
@@climbandgeek : Merci pour ta lecture et réponse, je n'aurais pas écris ce pavé en vain ! Même si je l'avoue je suis curieux de votre définition de la nature ou de ce qui se reporte à la nature. Mais bon effective une longue conversation serait effectivement plus efficace quoique l'écris a de nombreux atouts. Et puis il n'y a pas de débat plus passionnant que ceux où les visions sont très différentes, même si au fonds je suis un pragmatique car le plus important au final ce sont les solutions pratiques proposés pour améliorer la société dans laquelle on vit, et quelle société on désirs.
Vraiment bravo et merci de produire ce genre de contenu. La réflexion est si bien menée, tout est fait pour que le mouvement dialectique ne brusque pas mais accompagne : quand la vidéo se termine on se sent bien, prêt à dépasser ce qu'on pensait acquis, c'est vitaliste en fait ! Merci beaucoup.
Je trouve cette série très intéressante et instructive, merci pour votre travail de réflexion et pour la poésie de vos mots. Pour moi les questions de genres et de sexes ne s'étaient jamais vraiment posées, car ayant été tellement persécutée durant mon enfance et adolescence, je me suis construite sans aucun référentiel. On m'a tellement fait de mal que je me suis créée en pensant que je n'étais rien, personne, que je n'existais pas réellement ... alors le genre vous imaginez bien... Née fille, sexualisée dès l'âge de 9 ans car ayant eu mes règles très tôt. Démarrer la puberté avec tous ses attributs, bien avant les autres. J'ai connu les violences sexistes et sexuelles avant de savoir que le sexe existait. L'oncle qui te dit que maintenant tu es une femme alors que tu ne sais même pas ce qu'être une fille signifie. Le regard étrange des garçons parce que tu as de la poitrine, alors que tu n'as aucune idée de son utilité, encore moins de son attrait. Le sexe ensuite, connu malgré moi car violée à 12 ans. Premier rapport au sexe complètement biaisé, sans comprendre, sans savoir que ce n'était pas ça la norme, mais comprendre que c'était pas désirable. Se découvrir, penser que c'est pas quelque chose pour soi, vouloir s'en protéger, ne plus vouloir être une femme, se couper les cheveux, s'habiller "en garçon", jouer au "petit caïd", faire de la musculation, vouloir devenir fort pour se défendre de l'oppresseur, parler de soi au masculin. Aller jusqu'à devenir violent. Mais continuer de subir car les autres ne sont pas dupes... Démarrer la vie d'adulte, se faire droguer et subir encore 2 viols. Perdre totalement la confiance en les hommes, mais aussi la confiance en soi, devenir paranoïaque, être malade à l'idée de devoir avoir des enfants un jour. Avoir peur de tomber enceinte. Puis devenir très féministe, se revendiquer de la féminité extrême, de faire ce qu'on veut de son propre corps, se promener seins nu et string à la plage, jouer avec les hommes sans les laisser m'avoir, jamais, prouver au monde qu'une femme peut se protéger elle-même et décider de tout. Etre trahie par son premier amour. Devenir dominatrice et faire du mal aux hommes, beaucoup d'hommes, pas par vengeance mais pour s'affirmer, montrer sa force pour ne pas sombrer dans le tourment sans fin de ne pas savoir qui l'on est, ou même si on est quelqu'un ... Faire en sorte de ne jamais pouvoir enfanter. Souffrir et faire souffrir ne comprendre le monde que par la souffrance, ne légitimer son existence que par la souffrance endurée ou perpétrée... ne le dire à personne. Se sentir de plus en plus seule. Ne pas comprendre les autres et ne pas arriver à se faire comprendre. Vivre comme un automate. Ne rien comprendre à la société. Ne rien attendre de la vie. Ne pas avoir de but. Subir l'échec professionnel, encore et encore... Puis arriver à 35 ans, comprendre que ce qu'on a subit enfant était un viol, partager avec les autres son expérience pour dédramatiser, aider les autres femmes. Vouloir être une femme. Comprendre qu'on est capable d'aimer, et même d'aimer plusieurs personnes en même temps. Aimer comme jamais deux hommes très différents, de manières très différentes. Ne toujours pas savoir si on est quelqu'un mais vouloir découvrir ce que cela signifie. Vivre deux vies en même temps, expérimenter, ne rien cacher essayer de comprendre les autres, et soi-même. Puis voir la place de la souffrance, décortiquer comment on s'est construit, malgré le néant, ne plus vouloir ni souffrir, ni faire souffrir, revenir à une sexualité plus calme. Ne pas arriver à supporter la douceur, ne pas arriver à croire qu'on peut être aimée, se détester profondément, se dégouter, se haïr. Et finalement comprendre qu'on existe mais ne pas savoir qui l'on est. Apprendre a s'aimer, rien qu'un petit peu, impossible. Essayer d'exprimer par l'art et la danse les souffrances mais aussi se construire. Chercher, retourner le problème dans tous les sens, vouloir le bien de l'humanité, croire en l'amour inconditionnel. Contempler le beau, vouloir le pure amour d'enfant celui qui ne sexualise pas, celui qui ne catégorise pas, celui qui donne sans attendre en retour. Vouloir cela pour tous les êtres vivant sur Terre, constater que les gens sont enfermés dans leurs différences, qu'ils sont aveugles aux souffrances, n'arrivent pas à vivre simplement en tant qu'humain et détruisent tout autour d'eux, même la seule planète capable de les faire vivre. Se sentir tellement différente des autres. Ne plus supporter la souffrance, la violence, mais la voir partout, tout le temps. Vouloir mourir. Survivre grâce à la danse, survivre dans les petits gestes, aider aussi infime soit mon pouvoir sur le monde. Ne pas savoir comment vivre avec cette introspection effectuée. Se dire que c'était plus facile avant. Être quelqu'un implique une grande responsabilité, évoluer implique une souffrance encore plus grande. Mais la pilule rouge a été consommée, ne plus pouvoir revenir en arrière, devoir continuer d'avancer. Est-ce possible ? Vais-je trouver un moyen de moins souffrir un jour ? Continuer d'apprendre, de comprendre le monde car seul ces réflexions, les parcours de vie des autres, l'apprentissage de ce que vivre signifie peut déboucher sur quelque chose. Peut-être. J'espère... Je n'y arrive pas toujours. Je continue d'essayer. *love you all*😘
Excellente séries de vidéos bravo pour le boulot. Je trouve que ça aide à trouver les mots pour parler à des ado pour les aider à trouver leurs voies de manière plus détendue au milieux de tous les courants. ❤
C'est la vidéo où vos opinions politiques sont le plus clairement et pertinemment exposées, j'ai hâte de voir comment les rageux vont réussir à vous diffamer cette fois (: Perso mon épisode préféré est le premier, que j'ai trouvé super émouvant je ne m'y attendais pas, mais bravo à vous deux pour l'ensemble de cette série ! s/o SNK et fuck le dualisme ✊
Ok, j'oublie le dernier chapitre de SNK et je considère maintenant cette conclusion comme la SEULE et UNIQUE fin du manga ! GG à vous pour le taff, vous allez tout Grand Terrasser
On reconnait l'obsession pour la dialectique de Dany. La troisième vidéo qui vient dépasser et donner du sens au deux premières. Les lectures en conclusions sont superbes (tu lis très bien en vrai tkt Dany, c'est Cassandre qui est overzetop). Bref une vidéo incroyable !
@@bapt3445 Il aurait été bien plus dialectique de remarquer que c'est précisément l'essentialisme qui est le bon objet radical. Terminer par une poésie (comme à l'école), ce n'est pas terminer par une conclusion dialectique et critique.
@@frederic5324 Il ne me semble pas évident que l'essentialisme soit "le bon objet radical". À moins de penser que l'essence se situe dans les choses réelles. Ce qui revient à dire que ces choses aurait un sens a priori. Or il me semble bien que c'est toujours le sujet qui donne un sens à ce qu'il perçoit et non l'objet perçu qui communique son sens au sujet. Donc c'est notre jugement subjectif qui donne une valeur aux choses. Ça n'est pas une essence venue du monde des Idées. Ensuite pour juger sérieusement du caractère dialectique ou non de l'ensemble, un jugement à l'emporte pièce sur la conclusion poétique ne vaut pas plus que la dévalorisation de la pensée des poètes qu'il implique. Je ne faisait que rappeler que Dany Caligula, co-auteur de cette série de vidéos a un certain goût pour la dialectique. Et sous couvert de critique, vous vous contentez d'exprimer votre mécontentement sans argumenter. Dommage car c'est dans la contradiction que naît la fameuse dialectique à laquelle vous semblez tant aspirer.
@@bapt3445 Pour reformuler l'argument (puisqu'il vous semble à vous aussi que l'essentialisme ne soit pas un bon objet): faire l'éloge du libre choix (vs essentialisme, qui limite le choix, donc la liberté), cela porte un nom : le libéralisme. Et vous avez raison, c'est très subjectif de ma part de porter un jugement négatif sur un tel éloge porté par des voix "anti-capitalistes". Mais peut-être qu'ils se revendiquent de la gauche libérale et, en ce cas, je retire tous mes commentaires pour louer au contraire leur force de cohérence. ¨Promis.
C'est drôle la quantité de gars dans les commentaires qui vous insultent parce qu'ils se sentent menacés juste par le titre sans avoir vu la vidéo... ça en dit long sur leur rapport à leur masculinité.
La musique de snk c'est de la manipulation émotionnelle ? Parce que ça marche extrement bien. Blague à part merci pour ce travail incroyable, je n'avais jamais entendu de discours de ce type. Vous donnez envie de se poser de nouvelles questions. ❤️
4:00 Peut-être aussi opposé le fait que le protestantisme et le catholicisme sont deux cultures difficilement réconciliable ? 6:45 On remarque qui il a bien notion de homme et homme trans de la même façon ou il n'y a pas dans le language une absorption total du mariage gay dans le concept de mariage. Le mariage gay n'est pas un mariage mais un "mariage gay" 9:00 La question a 1 million de dollar : Si on découvre que la dysphorie de genre n'es juste qu'une dérégulation hormonale chez le nourrisson et facilement traitable avec une injection. Faut il interdire ou autorisé les parents de pratiquer ce traitement de la même façon que les bloqueurs de puberté ? 10:35 Les jonctions infinitésimal de l'intersectionnalité converge vers l’individu wow comment on l'avait pas vu venir. 13:32 J'aurais bien aimé voir Cassandre dans le rôle du prêtre dans le film Grand Torino Ahahah 19:30 La "drama queen" est un comportement "féminin" il n'a y vraiment équivalent masculine, La préservation de la femme au profit de l'homme est une pulsion est un instinct de survie de la race humaine, car l'homme est un sacrificielle pour la survie de l'espèce : L'ovaire est rare et le sperme est abondant rien extraordinaire a vouloir protéger la rareté. Il faut préciser que les sociétés qui ont fait la promotion massive de l'homosexualité avec un taux de mortalité infantile très élevé n'ont pas duré dans le temps par le passé. L'avancé de la technologie précède l’avancé culturelle.
"La préservation de la femme au profit de l'homme est une pulsion est un instinct de survie de la race humaine, car l'homme est un sacrificielle pour la survie de l'espèce : L'ovaire est rare et le sperme est abondant rien extraordinaire a vouloir protéger la rareté." C'est gratos comme phrase, à développer, a priori les ovaires sont pas plus rares que les testicules. Il est vrai qu'on peut produire plus vite plus d'enfants avec un hommes et beaucoup de femmes que l'inverse, ceci dit la fait d'être enceinte est partiellement limitant pour les femmes, l'aide des hommes est cruciale (d'autant plus du fait de leurs aptitudes physiques moyennement supérieures). Ca ressemble à de la pseudo-science à base de préjugés. "Il faut préciser que les sociétés qui ont fait la promotion massive de l'homosexualité avec un taux de mortalité infantile très élevé n'ont pas duré dans le temps par le passé." En l'absence de sources c'est du vent. C'est possible mais tu peux pas balancer ça gratuitement et estimer que ça clôt le débat. J'ai de gros doutes quant au fait qu'une société ne réalise pas qu'elle s'éteint par manque d'enfant. Ca fait aussi commentaire très autocentré sur notre société européenne moderne où la procréation est liée inextricablement à une relation amoureuse, comme si on ne pouvait avoir des relations homosexuelles et des enfants en même temps. Les homos l'ont fait chez nous pendant des siècles. "L'avancé de la technologie précède l’avancé culturelle." Sur certains points ça se défend. On se demande à quoi ça sert dans le débat, balancé comme ça à la fin...
Chute des taux de la testorone + œstrogènes partout, notamment l'eau de boisson qu elle soit en bouteille ou du robinet. Des dérèglement hormonaux de nos jours c'est monnaie courante oui. La propagande de certaines choses actuelles étaient déjà dénoncées dans la série MR Robot. Nous sommes au bord d une société très très segregationniste vu de ma fenêtre. Aussi c'est étrange cette obsession à vouloir séparés les gens par genre par sexualité et autre dans une société déjà malade perverse et hypersexualisee. Avant la sexualité c'était privé et on avait une certaine pudeur. C'est fou les inversions de valeurs et la novlangue actuelle. Les gens ont ils lu Orwell ? P.s. : arrêtez la cocaïne vous n'avez pas l'air conscient des conséquences à long terme. Ni les conséquences du wokisme segregationniste visiblement. Bonne chance au sein de l'empire.
Avec tout ça j'ai oublier de parler du taux de suicides chez les personnes qui transchirurgie ou qui tente de revenir en arrière et detranschirurgie. Bonjour les hormones et l endocrinologue. Et vive la propagande , la fin de l'occident soon.
juste une question,j'ai un ami racisé qui ma offert un masque africain, heu du coup je suis un sale raciste colonisateur ? et les ref en non stop à Naruto, ce n est pas de l'approbation culturelle ?
la vidéo est incroyabke et le discours aussi , mais après ça va convraincre just les convaincu je pense , si je montre sa a mes potes ils vont just prendre ça pour une énieme video de bourgoise
Le Totorro est à ivry, à quatre-vingts kilomètres de panam. Je prendrai la 7 dans l après midi et j’arriverai avant dix neuf heures . Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai demain soir.
Bonjour. Tout d'abord, je me définis comme hétéro sexuel, et cela fait longtemps qu'entre des discours féministes et masculinistes "classiques" je ne trouve pas mon compte et j'ai plus un sentiment de rabaissement ou d'exclusion, que ce soit d'un côté ou de l'autre. C'est la première fois que j'écoute un dialogue ou s'ensuit un sentiment d'ouverture de possibles, d'ouverture a l'autre. C'est la première fois que j'entends une parole qui semble libérer plutôt qu'enfermer. Merci pour ça.
pourtant ils ne répondent à aucune question. Ils en posent mais n'argumentent pas. Ce n'est qu'une suite d'affabulation sans argument qui peut sembler vrai mais n'est au final qu'un récit imaginaire. Et s'te plait, un queer qui parle de biologie, ca me faite hérisser les poils, à part remettre en cause les connaissance biologique qu'on apprend en primaire, y'a pas de recherches qui a été faites à ce sujet là. Je peux même contre-argumenter parce que leur discours est viiiiide!
et puis, moi je me "définis" pas, j'ai pas que ca à foutre. Je suis ce que je suis: je suis la norme. Je m'en branle que 0.5% de la population est des problèmes psychologiques hormonaux. RU-vid c'est pas un CMPP bordel
Mais aidez-moi à comprendre quelque chose : on a un ensemble de qualités dites féminines et un ensemble de qualités dites masculines, et dans le fonds "dépasser la binarité" ça veut dire être capable d'exprimer les qualités de ces deux ensembles ? Mais pourquoi on met ces qualités dans deux sacs en partant ? Est-ce que ce n'est pas une vision complètement ancrée dans la binarité ?
