Il avait le don de tourner en dérision toutes les situations .....je l adore même mes chats et chiens l apreciènt..il met une douce ambiance dans la maison
De meme , du haut de mes 24 ans , et que le temps passe vrmt vite , hier encore , je decouvrais ce fameux poete , et depuis il ne quitte guère mes tympans , il est en paix mtn
les plus grands des poètes en son temps. ... Et si vous écoutez son œuvre pas une ride elle a prit. . des petits joyaux de poèmes et pas si facile que ça a chanter. ....... enfin tout ça pour dire que j'aime Georges Brassens. ....
"on s'apercu que le mort avait fait des petits" c'est tellement du Brassens ! Ca me fait à chaque fois penser à "l'etrange noel de monsieur Jack" ce serai une tellement bonne video pour ce morceau.
les textes en plus d'être poétiques sont d'une richesse de vocabulaire incroyable , j'ai appris à l'âge du lycée dans la fin des années soixante la signification d'une foule de mots
De toute façon il n'y a jamais eu et il n'y a pas d'équivalent dans la chanson francophone. Il y en eu UN. Et c'est un bonheur de l'écouter régulièrement,je ne m'en prive pas.
Aujourd'hui quand je vais à un enterrement je ne peux m'empêcher de fredonner cette chanson dans ma tête... Tout ça à cause ou grâce à Brassens. Un chef-d'oeuvre d'humour "noir "😅
Le neveu de la Jeanne, Michel Le Bonniec, qui tenait un magasin de sport à Paimpol, c'est d'ailleurs pour cela que Georges s'est installé dans le coin, est décédé également. Il a des enfants, dont un se prénomme Georges, qui vivent en Bretagne.
Après tos se partage de monsieur George brassens qui est pour moi 1 très grand poète car en plus des chansons que j'ai partagé j est tous ses poème sur un bouquin se n est que merv
L'immense Georges.. Le plus grand chanteur poète de tous les temps. Aucun "prétendu artiste" ne lui arrive au petit orteil. Je suis allé 2 fois à Sète voir sa tombe. Il y a toujours des gens qui viennent se recueillir en chantant ses œuvres. C'est très émouvant et magnifique.
Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain De bonne grâce ils en f'saient profiter les copains " Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit Venez l'pleurer avec nous sur le coup de midi... " Mais les vivants aujourd'hui n'sont plus si généreux Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux C'est la raison pour laquell', depuis quelques années Des tas d'enterrements vous passent sous le nez Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans Maintenant, les corbillards à tombeau grand ouvert Emportent les trépassés jusqu'au diable vauvert Les malheureux n'ont mêm' plus le plaisir enfantin D'voir leurs héritiers marron marcher dans le crottin L'autre semain' des salauds, à cent quarante à l'heur' Vers un cimetièr' minable emportaient un des leurs Quand, sur un arbre en bois dur, ils se sont aplatis On s'aperçut qu'le mort avait fait des petits Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans Plutôt qu'd'avoir des obsèqu's manquant de fioritur's J'aim'rais mieux, tout compte fait, m'passer de sépultur' J'aim'rais mieux mourir dans l'eau, dans le feu, n'importe où Et même, à la grand' rigueur, ne pas mourir du tout O, que renaisse le temps des morts bouffis d'orgueil L'époque des m'as-tu-vu-dans-mon-joli-cercueil Où, quitte à tout dépenser jusqu'au dernier écu Les gens avaient à cœur d'mourir plus haut qu'leur cul Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans
J'avais 15 ans vive la FRANCE quand je la vois dans cet état j'envie de pleurer depuis Giscard les uns après autres ils l'ont poussé au suicide qu'ils soient maudits que leur âme n'est jamais la paix et oui j'ai vécu avec de GAULLE ,BRASSENS et tous les autres les 30 glorieuses c'est nous les années 50,60.70 puis en 80 Mitterrand début de la destruction Quand au dernier poteau d'exécution. 😢😢😢😢
Samedi, en milieu d’après-midi, un grave accident de la circulation est survenu sur la route nationale 42, entre Boulogne-sur-Mer et Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais. Le bilan fait état d’un mort et de quatre blessés, dont deux enfants. L’accident implique un SUV, occupé par un couple de trentenaires et ses deux enfants, qui est entré en collision avec un fourgon mortuaire, conduit par un homme de 63 ans. Selon France 3, le père de famille de 36 ans, qui était au volant du véhicule familial, est mort sur place.
Parole, Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain De bonne grâce ils en f'saient profiter les copains " Y a un mort à la maison, si le coeur vous en dit Venez l'pleurer avec nous sur le coup de midi... " Mais les vivants aujourd'hui n'sont plus si généreux Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux C'est la raison pour laquell', depuis quelques années Des tas d'enterrements vous passent sous le nez Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant PUBLICITÉ Les belles pompes funèbres de nos vingt ans Maintenant, les corbillards à tombeau grand ouvert Emportent les trépassés jusqu'au diable vauvert Les malheureux n'ont mêm' plus le plaisir enfantin D'voir leurs héritiers marron marcher dans le crottin L'autre semain' des salauds, à cent quarante à l'heur' Vers un cimetièr' minable emportaient un des leurs Quand, sur un arbre en bois dur, ils se sont aplatis On s'aperçut qu'le mort avait fait des petits Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans PUBLICITÉ Plutôt qu'd'avoir des obsèqu's manquant de fioritur's J'aim'rais mieux, tout compte fait, m'passer de sépultur' J'aim'rais mieux mourir dans l'eau, dans le feu, n'importe où Et même, à la grand' rigueur, ne pas mourir du tout O, que renaisse le temps des morts bouffis d'orgueil L'époque des m'as-tu-vu-dans-mon-joli-cercueil Où, quitte à tout dépenser jusqu'au dernier écu Les gens avaient à coeur d'mourir plus haut qu'leur cul Les gens avaient à coeur de mourir plus haut que leur cul
Dire qu'il fut censuré. Quand on voit ce que l'on permet aujourd'hui, une sorte de diarrhée rythmée par des pets sonores.... quelle déliquescence en si peu de temps ! Aya n'a qu'a mourir...
Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain De bonne grâce ils en f'saient profiter les copains " Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit Venez l'pleurer avec nous sur le coup de midi... " Mais les vivants aujourd'hui n'sont plus si généreux Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux C'est la raison pour laquell', depuis quelques années Des tas d'enterrements vous passent sous le nez Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans Maintenant, les corbillards à tombeau grand ouvert Emportent les trépassés jusqu'au diable vauvert Les malheureux n'ont mêm' plus le plaisir enfantin D'voir leurs héritiers marron marcher dans le crottin L'autre semain' des salauds, à cent quarante à l'heur' Vers un cimetièr' minable emportaient un des leurs Quand, sur un arbre en bois dur, ils se sont aplatis On s'aperçut qu'le mort avait fait des petits Mais où sont les funéraill's d'antan ? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croqu'-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les r'verra plus Et c'est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans Plutôt qu'd'avoir des obsèqu's manquant de fioritur's J'aim'rais mieux, tout compte fait, m'passer de sépultur' J'aim'rais mieux mourir dans l'eau, dans le feu, n'importe où Et même, à la grand' rigueur, ne pas mourir du tout O, que renaisse le temps des morts bouffis d'orgueil L'époque des m'as-tu-vu-dans-mon-joli-cercueil Où, quitte à tout dépenser jusqu'au dernier écu Les gens avaient à cœur d'mourir plus haut qu'leur cul Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul
Merci Monsieur Brassens pour votre immense talent Reposez en paix avec votre petite poupée Pupchen Vous nous manquez chaque jour que Dieu fait Mme Rose Jacqueline