Dans le « désir « il y a la marque d’un manque après satisfaction de ce manque que l’homme n’arrive jamais à combler comme l’avance très justement Spinoza: : « l’homme est un éternel insatisfait »mais ,dans le même souffle cette même insatisfaction qu’il refuse d’accepter n’est-Elle pas le moteur de sa vie qui lui permet d’évoluer ,d’ avancer , de progresser ,de construire et de mener à terme des projets qui paraissent insensés mais qui au final sont bénéfiques pour les autres???
oui mais le désir dont tu parles est un désir comme manque. Autrement dit, un besoin. Spinoza n'est pas le penseur du besoin. Il apprend dans l'Éthique à sculpter notre propre désir. Afin de transmuter le besoin en un désir de plénitude, autrement dit un désir qui ne s'épuise pas avec l'obtention de l'objet désiré.
C'estLeS19 les ascètes et autres Sadhu sont trop détachés de leurs affects, de leurs émotions, de leurs sens se sont des anges qui n’ont rien à faire sur notre planète, leur place est dans les nuages à la droite du Seigneur, 😂😂😂😂car nous ,les humains , avons une part d’animalité trop grande ,trop difficile à juguler malgré toute notre bonne volonté. Il suffit de lire ou de relire notre histoire!
@@sylviabtito2748 Oui mais les sages dont vous parlez, à savoir les ascétiques, ne représentent en aucun cas le sage spinoziste. Le sage spinoziste n'est pas dans l'inaction à méditer du haut de sa montagne. Il est au contraire celui qui va tenter de comprendre les déterminismes pour vivre en adéquation avec eux et arriver justement à orienter dans le bon sens son désir pour éviter d'être dans la servitude. Il est dans l'action, c'est une compréhension active qui a des impacts conséquents dans la vie de tous les jours