Je ne comprends pas pourquoi ce titre est encore sous forme de question, alors qu'on sait depuis des dizaines d'années et de manière absolument certaine que ce linge est un faux. Au XIVème siècle les fidèles jouaient les épisodes de la vie du Chris dans les églises, et les "suaires" utilisés dans ces cérémonies étaient nombreux. Aujourd'hui on en connait encore une quarantaine. Le faux suaire de Turin n'était que l'un d'eux. Et pas besoin de génie pour le fabriquer, juste un peu d'habilité et des matériaux courants à l'époque suffisaient. Le Pr. Broch l'a d'ailleurs démontré en fabriquant de faux suaires, qui comportent EXACTEMENT toutes les caractéristiques de celui de Turin : ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-iIZAFWdMZyc.html Donc ce tissu n'a absolument rien de mystérieux, c'est juste l'oeuvre d'un escroc qui voulait profiter de la crédulité des foules. Une escroquerie d'ailleurs dénoncée à l'époque par l'évêque de l'époque, et même le pape lui-même. C'est un faux, on le sait, il n'y a absolument aucun doute, tout le confirme, l'histoire comme la science. Donc pourquoi certains tiennent-ils à tout prix à croire à son authenticité, alors qu'ils ont toutes les preuves du contraire sous les yeux ? C'est sans doute un mystère encore plus grand que celui du faux "suaire" de Turin !
@@fleurboutondore2806 lorsqu'on en est réduit à de basses attaques personnelles c'est qu'on n'a vraiment aucun argument à avancer. Trouvez mieux la prochaine fois pour tenter de défendre votre cause perdue, parce que là ce n'est pas crédible une seconde...
De 1943 à 1950, la grande mystique italienne Maria Valtorta (1897-1961) a reçu du Christ des locutions intérieures. Son œuvre « L’Evangile tel qu’il m’a été révélé » en 10 tomes et ses Cahiers de 1943 à 1959 en 3 tomes, représentent 15’000 pages. Le premier nommé était le livre de chevet du pape Pie XII. Le Padre Pio recommandait, lui, de lire l’œuvre de Maria Valtorta. La revue Chrétiens Magazine ne cesse - depuis des années - d’en faire l’éloge et son Directeur Bruno Perrinet - Chrétien-croyant engagé - en assure un large suivi. Qui, parmi les critiques, est au courant de cela ? Comme le Christ aime les petites gens, leur innocence, c’est au tour de la mystique italienne Giuliana Buttini (1921-2003) d’assumer d’autres révélations. C’est en décembre 1972 que le Christ lui révèle sa mission. Au premier volume « La Parole », dicté en 1972, c’est un deuxième volume qui suit, dicté de 1976 à 1978 (Ed. du Parvis, 1648 Hauteville, Suisse). En page 198 de celui-ci, le Christ lui fait savoir ceci : Moi, Jésus, je suis l’Homme du Suaire. Qui, parmi les critiques, est au courant de cela ? Rien ne prouve … dira une majorité, etc. etc. Et comme tout le monde a raison au niveau de ses connaissances du moment, il est impératif de lire, d’entendre et de se renseigner pour toujours mieux savoir.
@@gillesvuille2037 ???? Je ne comprends pas où vous voulez en venir avec tout ça, ni en quoi ça démontrerait l'authenticité du linge de Turin. Pour ça il faut de vraies preuves, pas des témoignages mystiques ou des croyances ésotériques. Et ça tombe bien parce que des preuves on en a : - Scientifiques : analyses au C14, tests de détection de sang (tous négatifs), reproductions de l'objet avec toutes ses caractéristiques en utilisant des techniques du moyen-âge, etc... - Historiques : l'évêque et le pape de l'époque ont témoigné par écrit du fait que ce tissu était un faux destiné à abuser de la crédulité des gogos. De plus, il y avait alors nombre de fausses reliques dans ce genre, on en a recensé des dizaines partout dans le monde, dans le même style, celle de Turin n'est pas la seule, loin de là. Donc je suis désolé si ça vous fait de la peine mais c'est un fait avéré, ce tissu est juste un attrape-nigauds confectionné au XIVème siècle par un faussaire. Ça ne vous empêche pas de continuer à avoir la foi, et la foi n'est d'ailleurs pas incompatible avec un minimum d'esprit critique, il faut juste savoir reconnaître lorsqu'il y a une tromperie manifeste.
@@bruno.giordano - Je poursuis la lecture de la page 198 .. le Christ y explique le comment de sa photographie, rendue possible. Il est Lumière et arradie la lumière; il ne s'en est pas privé à titre de preuve pour nous autres incredules, les forts en thèmes !! Marie Valtorta et Giuliana Buttini ont été les "choisies" du Christ - pour leur temps - et elles ont tranmis ses messages, Dès lors, si le Christ, en personne, nous dit que c'est Lui, l'homme du Suaire, les croyants y croient. Heureux sont-ils !
Les dimensions ne sont pas correctes. Le VP-8 n'a trouvé que les infos 3D d'un bas-relief (environ 3 cm de profondeur) et pas les infos 3D d'un corps entier. C'est une seconde opération, faite à partir de ces résultats, qui a recréé un corps avec un programme pour ajouter les dimensions correctes d'un corps. On trouve un corps en 3D parce qu'on a implanté un programme pour avoir un corps en 3D. Mais avec ce programme, on peut même recréer un corps basé sur un dessin d'enfant. Cette seconde opération peut être considérée comme artistique au mieux. Un corps imprimé sur un drap rend une image qui s'allonge en s'éloignant du centre et qui se fragmente avec les plis du tissus ou simplement l'extension de sa surface à cause de la courbe qu'il prend. Les cheveux doivent marquer de manière plus floue et légère, voire coller au crâne puisque c'est le sang qui doit marquer. Le drap doit être excessivement tendu pour ne pas se retrouver par endroit avec des creux représentés aussi mais seulement les pleins. Pour ça, la marque est en ce sens trop délimitée. Où sont passé les côtés ? Pour quelle raison les fidèles de Jésus auraient tendu ainsi le drap en dessus et en dessous (qu'est-ce qui soutient le corps dans ce schéma ?) de manière à ne marquer que les pleins et pas les côtés ? ça ne fait aucun sens. Ah et puis il ne manquerait pas une partie par hasard ? Parce qu'au vu de la faible distance entre l'arrière et l'avant de la tête, ça semble assez incroyable que le haut du crâne n'ait pas imprimé le tissu et donc pas relié les deux. Les bras sont trop longs (juste ce qu'il faut pour cacher les parties génitales) de même que les doigts. Le corps est vraiment très grand pour l'époque de Jésus ce qui est surprenant, mais beaucoup moins quand on compare ça à la figure du chevalier médiéval. Les incendies de 1532 ont ajoutés des marques de brûlure et d’eau (pour éteindre l’incendie) à celui-ci mais le carbone 14 n’est pas le seul moyen de datation que nous ayons et le fait qu’il date le linceul à une date différente de ce qu’en disent les croyants (le suaire a été tissé avec du lin récolté entre 1260 et 1390) n’est pas synonyme d’une erreur du premier mais juste d’une croyance des derniers (l’hypothèse ad hoc de la contamination par un champignon qui aurait faussé la datation est contredite par les calculs effectués par Henri Brock qui montre que le champignon aurait du alors apporter deux fois plus de carbone que n’en contient le linge actuellement et l’hypothèse ad hoc du bombardement de proton relève elle-même d’un mystère si grand qu’elle ne permet absolument pas de passer le rasoir d’Ockham). La datation (le prélèvement je veux dire car la datation elle a été réalisée par trois laboratoires indépendants dans le monde dont les résultats sont cohérents entre eux) a été réalisée par trois syndonologues (on peut donc difficilement dire qu'ils auraient fait exprès d'échouer) dont des experts en textile (s'ils ne sont pas capables de reconnaitre une pièce de tissu recousue et bien plus récente alors il y a un gros problème) sur une pièce rectangulaire prélevée en bas à gauche de l'image ventrale. En 1973, une analyse des pollens et de la poussière du linge conclu a un passage de celui-ci à Jérusalem à l’époque de Jésus. Problème : l’étude manque considérablement de précision, d’autres pollens qui auraient du se trouver là (si c’était le cas) ne le sont pas et les images du criminologue Max Fry ne font étrangement pas état des traces de l’incendie (une bonne fraude classique en vue) ce qui s’explique par l’aveu de celui-ci selon lequel il avait prix des images de références et pas les vraies images des pollens du linceul. Pour Marzia Boi en 2010 : ses travaux ne sont ni en accord avec les rélevés précédents des pollens, ni en accord avec l'étude de Gianni Barcaccia qui lui nous parle carrément de pollen venant d'Afrique de l'Est jusqu'à la Chine, les deux oubliant d'ailleurs volontier que le Suaire n'a pas toujours été conservé bien à l'abri mais a même été exposé au public (la dégradation du pollen s'en trouve donc assez différente de l'état idéal qu'ils imaginent) à différentes occasions durant lesquelles un public de croyants du monde entier ont pu venir le voir. En 1978, des chercheurs mettent en lumière de la porphyrine et deux autre molécules sur le tissu (que l’on retrouve dans le sang) et donc ils en concluent qu’il s’agit de sang mais aucune analyse menée pour prouver que les molécules viennent bien de sang. Problème : ces molécules sont aussi présentes dans les pigments utilisés en peinture et notamment de l’ocre rouge dont la composition a été retrouvée dans des fragments prélevés à différent endroits du linceul. On retrouve aussi du cinabre et ces deux pigments sont très présents au Moyen-Age. La teinte jaune du corps est due à un détrempage à base de colle d’os qui a jaunit avec le temps. En 2015, Gianni Barcaccia trouve de la creatinine et de la ferrihydrite sur le suaire et conclut donc à la présence de sang. Même problème que les études précédentes ! Pour la creatinine et la ferrihydrite : la ferrihydrite est présente aussi dans certains pigments et la créatinine peut facilement s'expliquer par la présence d'un autre composant lui aussi présent sur le suaire : le collagène, lequel est un élément essentiel de la colle d'os et que l'on va retrouver dans certaines techniques comme la peinture par tempera. Autrement dit, là aussi ce n'est pas suffisant pour certifier qu'il s'agisse de sang. Mais bon, l'auteur aurait pu peindre avec du sang pour rendre son oeuvre plus authentique donc dans tous les cas ça ne voudrait pas dire grand chose d'en trouver sur le linge. Les différentes données récoltées, qui ne font pas que réfuter l'hypothèse de l'origine bi-millénaire et conluent en plus à une origine au Moyen-Age, sont en plus parfaitement cohérentes entre elles et avec le fait que l'époque en question est synonyme en Europe d'un immense traffic de reliques et de faux. Les documents antérieurs n'ont pas été réalisés en pensant à ce suaire mais lui a été réalisé en se basant sur eux. C'est le même principe que la prophétie autoréalisatrice. La technique du négatif n'a rien de neuve au Moyen-Age, ses premières utilisations sont visibles dès le début de l'art pariétal au Paléolithique supérieur, à l'Aurignacien. Dans son Jugement dernier du Saint-Suaire de Turin, le scientifique Walter McCrone, de Chicago, détaille 20 ans de recherches dessus. Ses conclusions se fondent sur l'examen au microscope de 22 échantillons de fibres et particules prélevés à différents endroits du suaire. Il conclut que l'image a été obtenue à partir d'ocre rouge et d'un pigment ferreux. L'artiste du Suaire a peint à tempera les zones où le linge était censé entrer en contact avec le supposé corps de sorte qu'il en résulte une image négative (plus logique que s'il avait peint les creux et donc moins identifiable comme un faux). Une teinte vermillon à base de sulfure de mercure a ensuite été utilisée pour représenter les tâches de sang aux endroits cloués. Les sindonologues parlent bien de peinture postérieures, rajoutées, ou ont quelques autres hypothèses ad hoc mais qui ne viennent pas entammer la crédibilité des pigments découverts. Walter McCorne est d'ailleurs à la tête d'un laboratoire spécialisé dans l'analyse d'œuvres d'art et de la découverte de faux, un laboratoire dont les partisans de l'authenticité espéraient à la base qu'il soutienne leur croyance mais qui ont fait machine arrière en voyant les résultats, comme ils l'ont déjà fait pour la datation carbone de 1988. Le tissage est complètement anachronique puisqu'au lieu d'être en point simple (armure maille) comme tous les tissus que l'on a retrouvé de cette époque, c'est un tissage à crocheton en point triple, un type de tissage qui nécessite un outil qui n'existe pas encore à l'époque de Jésus et qui ne sera inventé que bien plus tard en Chine : un métier à 4 barres de lisse à pédales. Le Suaire est parfaitement reproductible et possède d'ailleurs plusieurs répliques, par exemple à la cathédrale de Chambéry. Les travaux du docteur Barbet ont été réfutés dans un article de 1995 par Frederick T. Zugibe qui montre que la thèse de Barbet repose sur des erreurs anatomiques mais aussi que le résultat ne serait pas conforme au suaire de Turin. Il fait aussi remarqué que les différents saints stigmatisés ont tous reçu leurs stigmates dans les paumes et non dans les poignets. D'autant qu'on arriverait au max à prouver que le suaire date du premier siècle, pas l'identité de la personne dessus. Il pourrait très bien il y avoir eu une fraude à l'époque, faire passer ce linceul pour celui de Jésus. Enfin à supposer que cette partie de sa vie (comme tant d'autres) n'est pas qu'un mythe. On a finalement aucune trace contemporaine de lui, seulement des historiens et écrivains évoquant les judéo-chrétiens et plusieurs chefs de révolte (la raison pour laquelle on parle d'eux dans les textes). Le nom même de Jésus n'apparait que bien plus tard. Alors les judéo-chrétiens avaient fort probablement un chef, un gourou qui a voulu se faire une nouvelle religion car le judaisme ne lui convenait pas en l'état, mais s'appelait-il Jésus ? A-t-il vécu comme le décrirent les Evangiles ? Du moins pour la partie un tant soi peu réaliste ? On ne sait pas et ça tient de la croyance à partir de là.
@@olivierpailler7851 ce post est un peu vieux donc je pourrais largement l'agrémenter encore mais je vous en prie, dites moi donc ce qui ne vous va pas. Ah oui et ne confondez pas "scientifiques" et "sindonologues". Seuls les premiers font de la science. Les autres se contentent de publication non scientifiques et invalident, de sophismes et de prêcher leur croyance.
@@olivierpailler7851 moi non, je sais seulement comment marche la recherche scientifique, différencier la science d'une pseudo-science, faire des recherches. Et puis les scientifiques à dénoncer la médiocrité de la sindonologie sont nombreux. C'est normal, venant d'une pratique qui n'est pas reconnue comme scientifiques et dont l'ensemble des travaux sont systématiquement rejetés ou publiés dans des revues non scientifiques, sans revue par les pairs ou prédatrices. Mais encore une fois, si vous avez des arguments en faveur de l'authenticité je vous en prie.
@@paulbismuth137 le principe du negatif a été inventé il y a 15000 ans par Homo sapiens . Au Moyen-age on connait la Camera obscura . Un drap recouvert d'oxyde un petit trou dans un bout de bois , quelques heures au soleil et Hop . On pense trop que seul nos contemporains sont capables d'inovations techniques .
@@denisjacquemart7363 j'ai beaucoup lu de commentaires d'athés et il semble que ce suaire soit un faux, je l'admet, trop de manques de preuves. Merci de votre commentaire, il est vrai que le négatif équivaut à photo dans nos têtes mais comme vous dites, cela a pu être créé avant
Aujourd’hui vous le savez … tous les scientifiques s’accordent pour dire que le linceul date bien du 1er siècle … moi aussi j’ai douté et aujourd’hui nous sommes bien obligés de croire ( preuves faites ) qu’il s’agit du véritable linge du Christ ressuscité.
