Paris-Gare-de-Lyon en septembre 1989 

Merci à vous pour ce commentaire. Entre le prix des cassettes, les batteries qui ne tenaient pas des heures, et l'impossibilité à l'époque de penser qu'un jour, outre le cercle d'amis proches, ces films pourraient être visionnés par des millions de personnes, ces prises de vues ont, du coup, un goût de "pas assez", que je regrette volontiers avec vous !

Casa Alba comme je vous comprends, j’ai vécu la même chose pour la photo.... et pour ce qui est de la vidéo, je regrette de ne pas avoir emprunté le caméscope de papa plus souvent :(

Merci à vous d'avoir pris la peine de regarder puis commenter ces images. Curieux de nature, je viens de découvrir que vous avez un beau palmarès de reportages, pris dans les ultimes années où le chemin de fer en France était encore un peu intéressant. Je ne manquerai pas de découvrir vos reportages, j'aime prendre le temps de visionner ces archives.

A cette époque encore, l'indicateur officiel indiquait bien les mentions "E" et "R" pour les trains en circulation. Les TGV étaient classés dans la catégorie "R" jusqu'à l'abandon en 1993 de ces dénominations. Un rapide était en général un train soit direct, soit à arrêts peu fréquents (entre Marseille et Nice par exemple, Toulon, St Raphaël, Cannes et Antibes), un express permettait une desserte régionale plus fine, avec arrêts plus nombreux souvent alternés, afin de ne pas toujours desservir les mêmes gares plus petites (entre Marseille et Nice par exemple La Ciotat, Bandol, Toulon, Les Arcs, St Raphaël, Cannes, Juan-les-pins, Antibes, Cagnes-sur-mer).