Réginald Caron, pilote du Saint-Laurent, secteur Québec/Trois-Rivières, témoigne.
Piloter un navire de guerre n’est pas de tout repos, même en temps de paix, car il y a plusieurs officiers à bord et la chaîne de commandement doit être respectée. Pour les pilotes, il est donc parfois difficile de faire exécuter rapidement de simples directives de navigation.
Extrait du projet « Savoirs et savoir-faire des pilotes du Saint-Laurent »
20 апр 2022