Barbara Stiegler, professeure de philosophie à l'Université de Bordeaux et autrice de "Du cap aux grèves" aux éditions Verdier, est l'invitée de #LaMidinale. www.regards.fr
Ce gilet jaune est un symbole clair et facilement identifiable par toutes et tous. Ça ne sert à rien de brouiller les cartes dans la tête du citoyen en cherchant de nouveaux symboles. Celui-ci à acquis non seulement ses lettres de noblesse, mais aussi sa magnifique visibilité. Faisons donc vivre cela dans le temps long ! Vive les gilets jaunes !
Tout à fait d'accord avec vous , l'idée a fait le tour du monde , simple et éfficace . Le symbole même de la protection contre le danger . Cordialement
Bravo à cette grande dame. Oui elle a été une des branches à la quele j'ai pu me raccrocher pendant la période absurde de la gestion du co -vide... je la rejoins totalement sur ces analyses. C'est tellement terrible qu'il va falloir vraiment se "réarmer" politiquement.
@@normanzurich2781 attention à ce que pourraient en penser les malentendants, il se trouverait bien qq ados wokes pour en faire une grande cause et bruler des livres
Bravo à cette dame c’est vraiment exact ce qu’elle dit !!! Rien n’est figé,rien n’est irréversible !!!tout gouvernement irrespectueux et défaisable!!!!!!
On aimerait bien chère madame, mais voyez-vous la logique veut qu'il leur reste un pas à faire pour sauver leur modèle. Ce pas consiste en la transformation insensible de la démocrature actuelle en une néo-féodalité pure et dure (qui comme toutes les autres se nommera elle-même "intérêt général" et toutes ces foutaises). Ce pas ils sont en train de le faire. Ils n'hésiteront pas. A nous de ne pas nous tromper de réponse à présent. L'heure est grave. Quel monde voulons-nous pour nos enfants?
Rien à faire, je n'arrive pas à être en désaccord avec l'analyse et la pensée de Barbara Stiegler, qui devrait être plus largement entendue... par le peuple
En gros, elle est pour la révolution mais ne veut pas finir la tête tranché, alors elle demande à la populace dont tout a coup elle se sent proche d'y aller, comme ca, elle aura enfin son augmentation et pourra s'acheter une villa en Andalousie.
@@laveritevraie5106on n'a as besoin du communisme pour remplacer ce système. On veut une meilleure repartition des richesses, moins d'explation de la classe ouvrière, plus de démocratie au sens propre du terme. C'est ce que dit cette dame
Avant de parler de loi, interrogeons nous si on est encore en Démocratie dans le cadre des institutions actuelles . Car la Démocratie ne se résume pas au suffrage dit universel, surtout quand la volonté du peuple est complètement ignorée .
la loi est un leurre, la liberte est un leurre, l egalite est un leurre, l etat de droit est un leurre, la propriété est un leurre, nous somme dans le royaume de la ploutocratie et de Mamon, la séparation des pouvoirs est un leurre! quoi d'autre?
Il n’y a pas de séparation des pouvoirs .On l’a bien vu avec Braun Pivet.L’opposition parlementaire est muselée et impuissante. 49.3 et LBD. Nous ne sommes pas en démocratie!
@@AhmedAhmed-ri2wv non, absolument pas, car elle est la traduction d'u instinct animal très profond et donc irrévocable , celui de la territorialité et donc de la possession ! le XXie siecel devrait t'avoir appris qu'on ne révoque pas les instincts animaux, meme avec de l'ideal à doses de cheval
“La démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes” le communisme n'a Jamais donné naissance à autre chose que des dictatures sanglantes...
Le groupe classe au lycée n'existe plus, même en presentiel. La réforme Blanquer à fait de chaque élève un gestionnaire de sa carrière scolaire, et par le jeu des spécialités un même élève se retrouve au minimum dans 4 groupes differents: il est donc seul, et les profs ne peuvent plus construire avec eux du collectif.... Mais le SNJ va recréer du commun, nous voilà donc sauvés !!!
SNU ? Le SNJ c'est (entre autres) le Syndicat national des journalistes... D'ailleurs, il fait quoi en ce moment le SNJ ? Enfin, comme Mohamed Sifaoui est journaliste aussi, on ne sait plus😏
Ouais... Perso le "collectif" qui aurait été formé par les enseignants quand j'étais élève, ce serait quoi exactement... L'école (française particulièrement, disons, mais c'est similaire dans beaucoup de pays) a quand même pour dynamique première la compétition entre élèves, le classement...
Ah ! Ça fait du bien d'entendre des analyses fondées sur des connaissances. C'est si rare. Pourvu que les Lordon, Friot, Badiou, Chouard, Todd et quelques autres universitaires qui ont refusé de se soumettre au néo-libéralisme (pas comme Monique Canto-Sperber) puissent continuer à échapper à la chappe de censure et de répression qui bétonne tout comme un grand flot de boue.
Bonjour, je suis professeure de Français en collège et depuis des années, je constate que nous sommes, nous les professeurs, démis de la pédagogie du groupe, du collectif, du commun, c'c'est totalement prohibé tacitement. Nous sommes enjointd de traiter des "individus" sans jamais penser le groupe classe, la communauté, alors que, la violence posée d'emblée par l'existence du groupe, nous la prdnons, je la prends en plein visage.
êtes vous assez naifs pour croire qu'ils tiennent compte des bulletins de vote? makkron élu?? Lol. les élections validées par fabius? le roi du sang contaminé?? lol
Comme TOUJOURS les propos de Madame Stiegler sont comme le soleil du printemps ILS REVEILLENT ceux qui ont des oreilles pour entendre des paroles matures ,donc fondées sur des savoirs de philosophie politique en l'occurrence ..! 👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍MERCI BARBARA
Une question qui s'adresse à Barbara Stiegler. Elle affirme à 14:31 min que: "la philosophie est occidentale". Pourquoi? Comment? Depuis quand? Un explication de cette affirmation me paraît indispensable.
J'en connais plein d'autres, de tous les continents. Pas seulement de la Grèce antique, qui n'est objectivement pas occidentale. Elle a cependant inspiré et influencé ce que l'on appelle aujourd'hui l'occident par des truchements souvent surprenants.
Merci pour cette nouvelle opportunité d'écouter Barbara Stiegler que j'adore mais dont j'ai du mal a partager l'optimisme s'agissant de la fin du néolibéralisme. Il me semble, au contraire, qu'à la faveur de la mondialisation, il a trouvé le moyen d'imposer son dogme à tous les pays en échappant aux contre-pouvoirs démocratiques des nations. Par exemple, c'est la commission européenne noyautée par les lobbies ultra-libéraux qui impose la réforme des retraites et aucun gouvernement ne pourra s'y opposer s'il veut rester dans l'UE.
le néolibéralisme, c'est juste le Socialisme qui a échoué, et comme la gauche ne veut pas l'admettre, il parle de libéralisme (quelqu'un à vu des libéraux au pouvoir ces dernières 50 années ????)
La 5ème est maintenue en l’état grâce aux épouvantails que l'on nous propose depuis une trentaine d'année pour se contenter de voter par défaut, et on voit bien qu'elle est conservé parce qu'elle donne tout pouvoir à l’exécutif. Mais l'épouvantail ne fait plus peur, et cette 5ème nous montre qu'elle pourrait être désastreuse pour les droits avec un pouvoir encore plus autoritaire que celui que nous avons déjà en place.
L'affirmation de Mme Stiegler qu'elle ne comprend pas le ton déploratoire ambiant sur de supposées défaites des divers mouvements en cours devrait remettre en cause la ligne de "regards" qui passe son temps à justement adopter cette posture. "ah la gauche n'est pas unie !" "ah LFI est horriblement dominante !" ((ben oui elle a réuni 22% des suffrages !). Il faudrait plutôt voir le moment actuel comme le nécessaire rééquilibrage au sein de cette gauche des partis plutôt que la longue litanie des désaccords. Au sujet de ce ton déploratoire on peut voir Pablo se fait botter les fesses (et j'avoue m'en être réjouis !) quand elle rappelle que non et re non ! les divers mouvements sont loin d'avoir abandonnés et qu'en histoire il est très difficile de savoir quand et pourquoi un mouvement prend de l'ampleur sans pour autant dire que parce qu'imprévisible ils seraient absurdes ou voués à l'échec (autour de 9ieme minute de l'interview). Il serait temps que "Regards" comprenne que la gauche n'est pas réductible à la vie des partis et que c'est de cette redécouverte dont nous avons besoin. A vrai dire les mouvements de contestations sont de plus en plus nombreux. Par contre il me semble que ce qui n'est pas résolu dans ces divers mouvements c'est la détermination de ce vers quoi ils convergent et des modes d'organisations qui en sortiront. Les contraintes écologiques auxquelles le capitalisme nous contraint vont probablement accélérer les choses. Quoiqu'il en soit merci à Mme Stiegler du rappel de ces choses. On peut noter également qu'un nombre de plus en plus important d'intellectuels soutiennent ces divers mouvements et que ce retour dans la vie publique et politique de ces intellectuels qui sont restés trop longtemps dans un travail conceptuel ingrat voire parfois assez vain est plutôt une bonne nouvelle (on peut citer également, pourtant dans des sphères intellectuelles et des courants assez distincts, Sandra Laugier, Ph Descola, Emmanuel Renaut etc.)
Bonjour. Cette femme c'est la classe, le savoir et l'intelligence réunies en plus dans ma région, quelle fierté! Ca change des palabres d'Enthoven et de ses amis 🙌🙌
@@mxmx-hz7li je suis désolée mais l'autre jour je suis tombée sur une vidéo qui faisait référence à lui car il était opposé en débat à Barbara, voilà. Quand je tombe sur lui c'est à travers autre chose, j'y peux rien moi si les you tubeurs ont des choses à dire sur lui. Ce n'est certainement pas ses cours que je suivrais
Merci pour l'excellente intervention de Barbara Stieger, et merci à Regards de l'avoir invitée. L’interview m’a fait réfléchir à la meilleure stratégie pour vaincre l'extrême droite en général, et le RN de Marine Le Pen en particulier. Barbara m'a convaincu de l'inefficacité de l’attitude moralisatrice qui consiste à stigmatiser l’extrême droite, en confondant le parti et ses électeurs occasionnels. Il faudrait plutôt expliquer à ces électeurs (amenés à ce vote par dégoût, en particulier des promesses politiciennes non tenues et du mépris de certains élus pour le « peuple»…) les graves conséquences à long terme d’un vote qui soutiendrait l’installation au pouvoir d’un parti d’essence autoritaire, cultivant la haine de l’autre. Une fois au pouvoir, un tel parti aurait beau jeu de profiter, comme le pouvoir macroniste le fait aujourd’hui, de toutes les astuces de la constitution de la Vème République pour imposer ses politiques asociales et discriminatoires. Convaincre, ne pas stigmatiser un électorat déboussolé et prêt à suivre n’importe quelle promesse populiste, mais le persuader qu'une meilleure alternative est possible, voilà me semble-t-il la bonne stratégie. Merci encore à Regards pour ses excellentes vidéos. « Point n’est besoin de réussir pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » (Guillaume le Taciturne).
Voilà une interview estivale et bien bronzée . Mais intéressante quand même , au regard de tout ce discours stérile et toxique qui nous entoure et nous domine .
Excellent entretien! C'est vrai qu'il faut jouer la victoire et non la défaite! Le temps de l'informatique, de la modernité nous a rendu.e.s impatient.e.s sur toutes les situations qu'on vit et ca plombe systématiquement le courage .
Wao adopter l’écriture inclusive tout en étant prétendument subversif c’est magique ! Merci Vous vous rendrez compte bien assez tôt que cette forme de language émerge aujourd’hui non pas par hasard mais par nécessité - nécessité de tuer la pensée. Bien à vous Paul
Oui effectivement, la production de lois, et éventuellement son effet cliquet n'est pas de mise. Nous pouvons tous les jours défaire des lois. Elles ne sont pas inscrites dans le marbre. D’où l'importance de l'assemblée pour produire d'autres lois bien plus en adéquation avec les temps actuels.
Merci pour cette intervention stimulante de Barbara Stiegler qui nous change de trop d'émissions pessimistes et démoralisantes de Regards sur la gauche.
Merci, pour ce discours simple sur la démocratie, structuré, pragmatique et non dogmatique ! Dans l'espoir d'une non représentation pour un 3eme mandat du gars à la tête du pouvoir...
« Soyez ce que vous êtes ici et maintenant « Au sein d’un MONDE complexe qui se caractérise par L’IMPERMANENCE , il ne peut exister de certitudes … Un GRAND merci pour ce balayage analytique tellement nécessaire ! 🌍🤩🤩🤩🕊🕊🕊👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏
Merci Barbara Stiegler, vous restez claire et positive dans votre expression, on suppose que vous avez choisi de nous offrir ce point de vue dans votre travail d'élaboration pour nous aider à nous reprendre et à garder espoir dans notre humanité au sens large du terme, quel repos en fait, comme si un temps de respiration nous était donné.
"Dans la vision néolibérale de la société, tous nos rythmes de vie doivent être mis au service de notre bataille dans la compétition mondiale, présentée comme engageant notre survie. Il s’agirait de tirer notre épingle du jeu, sinon, notre pays déclinera… Ce chantage à la survie implique que tous les temps de la vie soient réquisitionnés, mobilisés comme dans une opération militaire, dès le plus jeune âge." Barbara Stiegler.
11% de diminution des emplois industriels De 1980 à 2007, de 5.3 millions à 3.4 millions, de 24% en 1980 ... à 13% en 2007, en 2021 : 10% !!! La poule aux oeufs d'or est très mal-en- point mais elle bouge encore ...
@@nandooddone merci pour ces statistiques éloquentes, malheureusement la poule ne va pas encore assez mal pour se réveiller. En effet, dans toute l'histoire de la volaille, celle-ci a su faire face aux pires situations critiques, dès l'instant où elle était au pied du mur, sans échappatoire mais contrainte d'agir. Dès lors, si nous transposons cette réalité à la lumière de notre modernité inclusive, lorsque l'heure viendra pour la poule d'expérimenter la peur et la souffrance dans sa chair, l'horreur du machiavélisme et l'atrocité de la guerre, la mort de ses proches et la terreur de l'autoritarisme inspirant la fureur, la peur et la frayeur dans ses yeux, les intempéries de la crise écologique néanmoins anthropique, tragiques , cyniques, dramatiques et catastrophiques, répendant la panique même chez les plus stoïque, alors, et seulement là ! La révolution se mettra, avec la même outrecuidance que le pion Macron, inéluctablement en marche. Une vision , certes pessimiste (sur le court terme), mais qui paraît être réaliste, car instinctive et nécessaire pour la survie des gallinacés que nous sommes.
@@kily2445 La plus belle plume littérature jeunesse que j'ai vu depuis depuis ... hélas les littéraires ne nourrissent pas un peuple et la poule aux oeufs d'or crève sous les taxes. Elle ne représente pas le grand capital, 95% des emplois sont dans les TPI, PME, PMI. La Révolution ! a accouché de La Terreur et du nationalisme et d'une dictature militaire qui hélas, a perdu la guerre . Le nationalisme exporté a précipité la naissance de l'Allemagne; il est toujours la source principale de conflits dans le monde ... à lire d'urgence les utiles " Réfllexions On the Révolution In France " d'Edmund Burke. Le Monde a vu aussi d'autres kommunistes à l'oeuvre quoique ce n'était pas le "bon" kommunisme. Discrédités, le seul moyen de prendre le pouvoir est par la violence. Voilà le raccourcie hardi que le genre littéraire sur un forum ytb tolère ... Plus sérieusement, je vous aime pour votre sincérité et je vous souhaite Bon Dimanche!
Gros délire de la femme. Personne ne tiens ce discours en France , personne. Rien à foutre de la "place de la France dans le monde", PERSONNE n'en parle. Tout ca est dans sa tête.
@@nandooddone "95% des emplois sont dans les TPI, PME, PMI." Bien rien que l'Etat emploi 7,5 millions de gens. Inutile de dire que tes stat sont archi fausses...
Bravo Barbara, ta liberté de ton , la justesse , la clarté de ta parole sont des qualités tellement exceptionnelles dans le bourbier actuel ... C'est le bon exemple qu 'il 'est vital de suivre en toute liberté...
Une femme très intéressante à écouter, on en sort toujours grandi. Chapeau bas madame, ça change des autres philosophes, tel que onfray, anthoven, et consorts, réactionnaire et raciste.
Chers amis, de gauche sommes-nous mais force est d'avoir constaté que seuls ou presque furent de gens "de droite" qualifiés "d'extrême" à s'être avancés dans la résistance contre la dictature sanitaire. De gauche, à laquelle nous continuons de prêter l'oreille, peu, à part Stiegler, en effet, Rivasi, ok.... mais salis, controversés, ostracisés avons-nous vu Wonner (ex-LREM) Philippot, Dupont-Aignan, Joron, autres résistants, de vrais ! Merci à Regards...
il n'y a pas d'étiquette politique spécifique des GJ, le mvt était complètement disparate justement, d'où la surmédiatisation qui a permis aux médias de coller aux GJ à l'extrême droite à partir d'images de GJ et Finkielkraut à Paris. Mais Paris n'est pas la France ! Et de GJ, il y en a partout, ils ont fait exactement ce que les syndicats auraient du faire il y a plus de 15 ans, à l'arrivée de sarkozy... Il ne faut pas oublier que les grands syndicats fonctionnent comme des grandes entreprises et que les réformes scabreuses leur conviennent totalement.
😂😂Regarde déjà qui à fait 'amendement déposé par la gauche pour la levée d'obligation vaccinanale pour les soignants...Toi de gauche impossible mon pauvre amie pour dire sa ta pas vu les prises de paroles à l'assemblée nationale entre 2018 et aujourd'hui
" L'épiphanie " (du grec ancien ἐπιφάνεια, epiphaneia, « manifestation, apparition soudaine ») est la compréhension soudaine de l'essence ou de la signification de quelque chose1. Le terme peut être utilisé dans un sens philosophique ou littéral pour signifier qu'une personne a « trouvé la dernière pièce du puzzle et voit maintenant la chose dans son intégralité », ou a une nouvelle information ou expérience, souvent insignifiante en elle-même, qui illumine de façon fondamentale l'ensemble merci qui ?
cet optimisme fait plaisir et donne vraiment envie de continuer la bataille, non, rien n'est jamais perdu, même si la répression est forte, d'ailleurs elle est d'autant plus forte que le mouvement est puissant
Il manque la définition de la démocratie suivant la possession par le peuple des pouvoirs de dominations sociales (force, décisions, réglementation et contrats, arbitrages, conditionnement et programmation sociale, économie=exécutif besoins/projets/moyens, technostructure hiérarchique de classes sociales=aristocratie=bureaucratie). C'est à dire que les pouvoirs sociaux ce sont un bien commun… D'expliquer que l'inverse de la démocratie c'est l'aristocratie ! Et qu'en France on est en aristocratie représentative des candidats de la ploutocratie (voir l'abbé Joseph Emmanuel Sieyès), qualifié et théorisé en régime parlementaire (Voir François Guizot).
Barbara Stiegler (tout comme Jacques Deschamps)quelle belle lucidité. je ne sais pas ce qui est enseigné dans les grandes écoles qui ont paramétré notre élite gouvernante et tous ses serviteurs volontaires mais il ne doit pas y avoir des historiens, des sociologues, des philosophes, des anthropologues et des humanistes . Merci à tous les 2 d'être aussi visionnaires et conscients de ce qui attend. " Quand le passé n'éclaire plus le présent, l'homme marche dans les ténèbres" Tocqueville
Merveilleuse Barbara ! Des analyses stimulantes, pertinentes, qui font du bien. Une intellectuelle en mouvement, engagée, en combat, en lutte qui donne de vraies réponses. Respect !
Très bonne interview... Barbara Stiegler est, comme à son habitude, extrêmement pertinente (et tente d'être la plus objective possible) . par contre, sur la forme: il y a (à nouveau) un problème de son! ... Allez Pablo: achète un micro! :)
à 22minutes 30 je regarde cette image de l'interview avec en toile de fond une poignée de soldats en arme et béret rouge!... C'est juste un flash, qui n'a rien à voir avec tout l'intérêt que je porte à votre travail (je m'abonne) et à la qualité de ce dialogue.
Pourquoi, à 14:25 environ, nous rappelle-t-elle (en mode total hors sujet) que la philosophie EST Occidentale ? La signification de ce beau lapsus en dit long, sur l'inconscient collectif Occidental, même chez les intellectuels-les les plus progressistes... Y a encore du boulot !....
Je ne la trouve pas inintéressante cette question sur la morale, mais il faut l'aborder au sens de l'opposition entre morale et éthique à mon avis. La morale c'est du domaine de l'intime, des croyances personnelles et du religieux, je vois difficilement comment on peut articuler ça dans le cadre d'un parti politique laïque un tant soit peu sérieux, alors que ramener de l'éthique en politique ça devrait être possible même si on s'en est beaucoup éloigné partout : en politique, dans l'approche des sciences, dans l'entreprise, dans le traitements des conflits et de tout ce que touche le capitalisme... C'est ça qu'il faudrait surtout, avoir des cadres de bonnes pratiques dans tous les secteurs de la société, ça fait parti des rares sujets sur lesquels on peut même tomber d'accord avec la droite, c'est ce que Macron et Hollande avaient essayé de nous vendre avec leur "moralisation de la vie publique", sauf qu'on n'a pas du tout les mêmes bases morales au point de départ. Alors que si on l'avait pris au sens de l'éthique démocratique et républicaine, on aurait pu trouver des terrains d'entente, puisqu'on a réussi à faire ça autrefois avec l'habeas corpus et le serment d’Hippocrate, suffit d'y réfléchir, de demander aux professionnels et aux experts et de le faire ratifier ensuite par le plus grand nombre. C'est ce qui a été raté aussi avec les débats sur la fin de vie, c'est un débat d'ordre éthique qu'il faut absolument avoir, qui doit impliquer toutes les sensibilités politiques et qu'on décide enfin un truc à la sortie, mais si tu le prends sous l'angle de la morale on ne sera jamais d'accord, y'a juste une religion ou un athéisme qui va l'emporter et ça ne sera jamais accepté par le plus grand nombre. Bref, je suis d'accord avec Barbara, pas de morale en politique, merci bien, par contre ça ne ferait pas de mal de mettre en place des règles éthiques capables de trouver des consensus extrêmement larges, c'est déjà très présent dans la plupart des questionnements d'ordre démocratique à mon avis, à chaque fois qu'on fait ça on réfléchit sur l'éthique de la démocratie et de la représentation politique en réalité.
@@sshhuutt585 Lol, tu penses que tu vas résumer un concept pareil en 4 mots alors que des tas de gens ont passé leur vie entière à essayer de faire ça ? Même sans comprendre, tu devrais te douter que si on utilise deux mots différents, il y a de grandes chances que ça ne désigne pas la même chose quand-même. Je ne vais certainement pas me lancer dans un cours sur l'éthique, je n'en aurais pas les compétences et c'est un sujet bien trop vaste et qui peut être pris par beaucoup trop d'angles et de disciplines différentes. Si tu veux commencer à comprendre, il faut lire des philosophes, perso je suis un grand fan de Spinoza mais c'est assez complexe ( sinon Deleuze ou Pascal parlant de de l'éthique de Spinoza, c'est plus accessible que Spinoza lui-même ), t'as Kant qui a beaucoup écrit sur l'éthique, la morale et la déontologie, Platon, Socrate, les stoïciens et tout un tas d'autres aussi, je ne connais pas tout, l'éthique est un sujet inépuisable qui hante les philosophes depuis toujours. Tu peux aussi juste lire la page wiki sur l'éthique pour entrer un peu dans le sujet, c'est truffé de bêtises mais il y a aussi des trucs intéressants, et ça a le mérite de brasser un peu large. J'aime bien par exemple la définition dans le chapitre "éthique et morale", avec la phase sur "l'éthique comme une morale débarrassée de ses croyances religieuses et de ses condamnations moralisatrices". Ça reste quand-même une définition bien trop simpliste parce que ça ne te dis pas du tout comment faire, ça ne te fournit pas la méthode pour mettre tes croyances en pause, ce qui est très difficile, tu ne peux pas juste mettre tes croyances dans ta poche le temps d'un débat, d'une recherche scientifique ou d'un acte médical par exemple. Donc comment on fait pour établir le bien et le mal de façon rationnelle et débarrassée de ses croyances, avec l'éthique c'est surtout ce "comment" qui hante les philosophes. Une des choses que j'aime beaucoup chez Spinoza, c'est que lui il en propose une de méthode, même si elle est assez chelou au départ^^ Ce qu'il fait c'est qu'il commence par démontrer l'existence de Dieu (easy), pour ensuite l'évacuer complètement derrière. Donc d'une certaine façon, Dieu est suspendu dans un état quantique chez Spinoza, à la fois vivant et mort, ce qui lui permet de dérouler ensuite une pensée déterministe ( et matérialiste ) absolument impeccable, qu'on étudie toujours des siècles plus tard et que des tas d'autres philosophes essayent de continuer inlassablement. Bref, tout ça pour dire que non, l'éthique et la morale ce ne sont pas la même chose, ça fait maintenant des millénaires que l'humanité réfléchit à cette distinction justement. Bon toi on ne t'avait pas invité à cette réflexion apparemment, mais il n'est jamais trop tard pour y prendre part, c'est ouvert à tous et toutes^^ Plus sérieusement, l'éthique est un sujet de pensée inépuisable, tu peux réfléchir à une éthique des pratiques médicales, policières, politiques, à une éthique de chaque métier un par un, à une éthique des pratiques écologiques à différentes échelles, une éthique des conditions de vie et de mise à mort des animaux qu'on consomme, une éthique de tes rapports sociaux avec tes proches et de celle avec tes "moins proches", sur absolument tout tu peux mettre de l'éthique, ça concerne tout le monde et toutes les sphères de la société. La morale aussi tu me diras, on peut vouloir en mettre partout sauf qu'on n'a pas tous la même, ça dépend beaucoup trop de nos croyances, alors que l'éthique... Donc si les philosophes nous ont appris quelques chose sur ce sujet depuis le temps, c'est qu'il faut arrêter avec la morale mais essayer de foutre de l'éthique absolument partout. Quelle que soit la compréhension qu'on ait du concept d'éthique, ils se trouve qu'on est absolument tous d'accord sur la nécessité de mettre de l'éthique un peu partout, donc qu'est-ce qu'on attend, il y a des tonnes de débats et de réflexions collectives à mener. Ça c'est de la vraie politique, et c'est nettement plus intéressant que de débattre à intervalles réguliers de la tenue vestimentaire des femmes musulmanes par exemple...
Je ne comprends toujours pas. Cela ne m'intéresse pas de rentrer dans un débat de qui a lu quoi/qui et ce qu'il en a compris et/ou conclu. Je cherche seulement à comprendre la distinction que vous faites entre morale et éthique. Sauf erreur de ma part, ce qui est tout à fait possible ! Ces deux notions sont quasi synonymes. Ethique vient du grec "ethos" qui signifie "comportement" Morale du latin "morus" qui signifie également "comportement" Et pour moi les deux servent à définir les comportements admis comme bien ou mal, autorisé/recommandé ou interdit/déconseillé. Si je me permets une interprétation de ce que vous dites. Il semble que la distinction que vous faites se situe au niveau des croyances la morale y serait liée l'éthique non. Hors vous l'indiquez vous même comment mettre de côté ses croyances pour définir une règle (éthique ou morale) ? Ou alors la morale est personnelle et donc multiple ? Et l'éthique commune et unique ? (Morale admise par tous ?) Je cherche uniquement à comprendre !
@@sshhuutt585 C'est ça, tu vois que tu comprends, on pourrait effectivement voir ça comme une morale communément admise par tous. Et je vais continuer avec le tutoiement si ça ne te dérange pas, ce qui marche évidemment dans les deux, à gauche on se tutoie en général, c'est plus sympa. Une autre piste de compréhension, tu peux aussi essayer de prendre ça par le mot "déontologie" qui est encore plus proche du concept d'éthique que ne l'est la morale, ces termes sont encore plus synonymes. À vrai dire, je ne suis même pas sûr de savoir formuler la distinction correctement mais je vais quand-même essayer. La définition du Robert c'est "ensemble des règles et des devoirs régissant une profession". L'ennui c'est que nous voilà avec ce terme de "devoirs" qui relève très directement de la morale, qui comme tu l'as dit est multiple. Du coup j'ai envie de pousser le curseur encore plus loin et je dirais que c'est ce qui réglemente les bonnes pratiques d'une profession. Je n'ai rien résolu parce que ce qui est bon, va assez souvent relever de notre conception du bien et du mal, ce qui nous renvoie de nouveau vers la morale et les croyances. Mais pas toujours non plus, on peut par exemple se mettre d'accord sur ce qui nous apparaît bon pour tous ou individuellement dans pas mal de cas, alors que "bien" c'est déjà beaucoup plus compliqué. En tous cas ça me semble être une définition plus efficace d'un point de vue dialectique, la déontologie pour moi, c'est ce qui réglemente les bonnes pratiques professionnelles, par métier ou par branche. La distinction entre éthique et déontologie maintenant, c'est que la déontologie c'est toujours de l'éthique, mais que l'inverse n'est pas vrai, l'éthique ne s'applique pas qu'à des métiers très concrets. Il y a par exemple une éthique de la pensée ou de l'approche de l'art, alors que ça n'aurait pas de sens de leur imposer un code de déontologie puisque ce sont des disciplines qui passent leur temps à essayer de dépasser les cadres et les règles imposées. Pareil pour les disciplines qui ont vocation à traiter le social et le global plutôt que l'individuel, on pourrait très bien mettre de l'éthique dans l'économie ou dans l'écologie par exemple, ça pourrait passer entre autre par des codes de déontologie dans telle et telle branche mais pas que, puisqu'on pense maintenant à plusieurs échelles, il faut donc réfléchir aussi à leur imbrication autrement ça ne peut pas marcher. Il y a aussi des dilemmes éthiques qu'on n'arrive pas toujours à résoudre en se contentant uniquement d'appliquer un code déontologique. On a notamment ce problème qui se pose de façon récurrente en médecine, le serment d’Hippocrate qui est un code de déontologie dit "Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément", des phrases contradictoires qui ne tranchent pas le débat sur l'euthanasie des gens condamnés et qui souffrent comme possible, c'est un débat éthique à poursuivre. Pareil avec le débat sur l'avortement, il y a des gens dont ça choque fortement les croyances religieuses, et donc la morale. Cela dit, personne ne les obligent à avorter eux-même, et les professionnels de santé ne sont pas obligés non plus de se spécialiser en gynécologie s'ils ne veulent pas réaliser d'avortements. Donc d'un point de vue de l'éthique, le débat sur l'avortement est réglé ( en France en tous cas... ) et sur l'euthanasie ça l'est déjà aussi parce que le consensus me semble très large désormais, mais il va encore falloir faire évoluer le code de déontologie et le cadre législatif si on veut rendre les conclusions de ce débat éthique effectives. Tu peux prendre ça sous plein d'autres angles encore, prenons l'Habeas Corpus qui est un code de déontologie de la Justice qui dit en gros que nul ne peut être emprisonné sans jugement. C'est de l'éthique en Justice formulant un droit fondamental, éthique sur laquelle on est tous d'accord, et pourtant ça n'est toujours pas effectif, des gardes-à-vue abusives c'est de l'emprisonnement sans jugement, et on continue bien d'arrêter et d'emprisonner des gens abusivement pour leur couleur de peau, leur religion ou leurs opinions politiques. Ce droit n'est pas effectif parce que ce code de déontologie ne suffit pas, il ne permet pas de lutter contre les biais racistes des magistrats et des policiers par exemple, l'éthique doit donc aussi penser les moyens et les contre-pouvoirs pour le rendre réel. Idem avec "Liberté, Égalité, Fraternité", ça appartient aux fondamentaux de l'éthique politique de la république française, note au passage que cette éthique n'est pas morale pour tout le monde, liberté et égalité sont même contraires à ce que prône la plupart des religions, et pourtant en tant que société on est quand-même d'accord globalement sur ces principes. On a tous accepté cette éthique de notre République, et en même temps on constate qu'elle n'est effective nulle part parce qu'on ne pourra jamais l'atteindre uniquement par des codes de déontologie par métier ou par branche, on est encore obligé de penser au-delà si on veut rendre cette approche éthique bien réelle. Comment on fait ça, je n'en ai pas la moindre idée malheureusement, je suis comme toi, je ne fais qu'essayer de comprendre, je n'ai pas dit ni non plus que j'avais toutes les réponses et toutes solutions, cordialement^^
La morale c'est du latin, l'éthique c'est du grec, sinon, il n'y a évidement aucune différence entre les deux. "Bref, je suis d'accord avec Barbara, pas de morale en politique, merci bien," Tu as raison, Adolf, pas de morale en politique.
Ne pas oublier les Bassines , qui concernent tout le monde . L'autre , échange de l'eau contre du pétrole à Fos sur mer , tout en disant que l'eau vas manquer cet été . Merci
derniere question tres interessante, autant pour comprendre l’ethos de l’interviewer , que pour comprendre la dimension sur laquelle b stiegler reflechit au fait politique. un episode qui demasque la « moraline » sterile autant que vaine où s’est embourbée la gauche dite progressiste et qui lui permet de rester fiere d’elle même quand elle vilipende les gilets jaunes et reclame la ségrégation sociale des non vaccines… la « haine de l’autre » ne se limite pas en effet au racisme ou à l’homophobie: ça fait du bien de l’entendre rappeler !
Les non vaccinés risque de tuer des gens, c'est donc normal des les enfermer et je ne vois pas ou est le problème (a part que, visiblement, ces gens veulent assassiner une partie de leur famille, mais bon...)
Le peuple n'est pas sauvage, c'est d'ailleurs, si je ne m'abuse, le parfum des riches et puissants. Autrement oui, tout le reste c'est bon enfant, mais l'éducation nationale a un souci entre la guerre dee cultures et les bêtes méchantes que sont certaines personnes tout simplement. Le Justice et les forces de l'ordre ont des soucis aussi, ouais ils arrivent jamais depuis toujours à attraper les veritables coupables. C'est dingue le nombre de dingues et certains croient courir après le crime, alors que c'est certainement le crime qui le fait courrir, parce que ce n'est absolument pas normal de refuser de regarder la réalité en face, c'est de la collaboration à des bêtises et des méchancetés sans fin et c'est le cas. Alors les leçons, vous pouvez vous les mettre où je pense, dans vos têtes si vous voulez, mais là mienne ne digère pas ce qui est idiot, j'en suis immédiatement averti, c'est vraiment très pratique, ensuite je détruis le virus, ouais c'est délicat, çà pue grave et tout ce qui est pas bon.
Alors j'adore Mme Stiegler mais je ne suis pas d'accord quand elle dit que la loi des retraites n'est pas encore appliquée ! SI justement je devais partir a la retraite le 3 novembre prochain et j'ai fait mon dossier de demande de départ sur cette date et même pas 4 jours plus tard le service des retraites du Ministère de l'EN m'a fait savoir que je ne pourrai partir que le 2 février 2024 en application de la réforme ! Et ça c'était il y a 15 jours ! bref bonne journée à tous et Merci à Barbara pour son engagement ...c'est un exemple ! 🌺🐳🌞
Pourquoi partir un 3 novembre ? Car dans l'éducation nationale (enseignants) mieux vaut tjrs demander sa retraite pour le 1er du mois, sinon le mois n'est pas payé : c.a.d que pas de pension en novembre. Demandez d'urgence à partir au 1er août : le ministère ne pourra vous le refuser. ( Car en partant au 1er septembre vous basculez dans le nouveau système). Vous perdrez 1 trimestre. La décote sera certainement moins importante qu'à travailler plus longtemps avec une pension moindre et des différences de comptage des décotes et surcotes avec la nouvelle loi. Vous ne percevrez peut-être pas votre pension dès le 1er août, car demandée tard (le ministere parle de 6 mois en avance). Mais vous aurez un rappel de pensions. Je connais des enseignants partis à 65 ans avec le système actuellement en vigueur, et qui pensent, avec recul, que c'était un mauvais calcul : décote supprimée car trimestres en plus, MAIS fatigue aggravée, pathologies nouvelles, etc. Mieux vaut profiter de ces jours de relative jeunesse dans la vieillesse qui s'installe....
Comment peut-on parler d'hegemonie du "neoliberalisme" dans un pays ou la depense publique atteint 57% du PIB ? C'est a dire plus que la Chine ou le Venezuela ? Ou les entrepreneurs depuis votre plombier jusqu'au groupes du CAC 40 sont écrasés d'impots et de contraintes administratives ? Regardez ce qui se passe dans les autres pays et vous verrez que la France est un des pays les plus collectivistes du monde. On pourrait aller encore plus loin si on est prêts a renoncer a une liberté fondamentale: celle d'entreprendre et de s'enrichir par le travail. Et si on est prêts a s'appauvrir aussi car l'economie centralisée de type communiste crée moins de richesses que l'economie de marché (décentralisée et plus adaptable aux changements).
Merci beaucoup madame de rappeler que le "Peuple" n'est pas une entité extérieure, désincarné et menaçante mais qu'il est constitué de chacun d'entre nous. Personnellement je lui préfère le terme "Citoyens".
Depuis 1789, tout le monde il est le peuple, comme Macron est aussi du peuple et c'est bien pour cela que le peuple est au pouvoir -par contre, évidement, comme lui a les informations, il ne va pas faire ce que tu crois qu'il faudrait faire.
Indispensable Barbara :) J'espère que vous en avez profité pour aussi interroger Christophe Pébarthe, passionnant lui aussi (le couple bordelais de choc :)
Entre autres mouvements celui des retraites prouve que l'université n'est pas le lieu où la jeunesse se politise mais que les lieux de politisation sont multiples.
Comment vous dire, si vous sortez de votre espace qui même si vous prenez l'avion est un espace fermé et formaté, vous allez alors découvrir des espaces de liberté incroyables qui se mettent en place.Prenons un exemple, lorsque le monde du travail a souhaité entrer dans la tête des jeunes que le travail ce ne sera plus pour un temps long, le patronat préparait à pouvoir licencier au bon vouloir en faisant porter le risque de l'entrepreunaria encore d'avantage sur le salarié.Les jeunes ont tellement intégré cette manipulation qu'aujourd'hui eux même prenne un boulot et le quitte comme si on faisait ses courses .Le premier sanctionné est le monde de l'entreprise qui même lorsqy'il forme un employé se voit le perdre sans que lui même ait une raison, il souhaite se déplacer dans un espace de liberté voir pour certain ne faire que les periodes d'éssais, aucune contrainte puique je ne fais que passer.Voilà comment le monde de l'entrepise pleure ce modèle, la manipulation s'est retournée contre eux même et beaucoup de jeunes se trouvent dans des espaces de liberté. Regarder de près le nombre d'entrepsise faisant de l'habitat léger en particulier la tiny house, un habitat petit mais confortable et autonome, solaire, récuperation d'eau et traitement de celle-ci, phytoépuration des eaux grises, toilettes seches un peu de permaculture etc...Un habitat autonome qui vous désolidarise de l'exclavage de l'habitat actuel qui va vous mettre en soumission et totalement exclave pendant 25 ans. De plus l'habitat représentantt 40 %des gaz à effet de serre, vous ammenerez une solution pérenne et votre besoin d'argent ne sera plus une priorité! Pour le fait de démenteler l'hospistal, est ce bien grave? Souhaitez vous être soigné avec cet achanement thérapeutique qui va meurtrir à tout jamais votre cerveau donc votre être? Souhaitez vous finir dans les couloirs de l'ehpad, la marchandisation de l'humain pour lui soutirer l'argent de sa fin de vie, regardez orpéa. Le médical peut vous tuer tellement le buissness est au coeur de celui-ci. Etes vous en face à un monde moderne ou un exclavage moderne.Pourquoi le monde dont je vous parle est partagé avec des enfants equilibrés qui connaissent déjà la vie en autonomie. Ceux-ci resteront plus tard sous les radars pour une vie ou vous dépendez moins du système....Vous avez le choix mais on vous fait croire que non!
" lorsque le monde du travail a souhaité entrer dans la tête des jeunes que le travail ce ne sera plus pour un temps long, " Mais cette histoire de travaille à vie est un baratin de gauche : ca n'a JAMAIS existé. Il n'y a donc pas de "complot" du patronat, juste vous et votre idéologie qui vous prenez le mur du réel.
Bonjour, Je sais que l’époque aime transgresser les coutumes, et que le costume a perdu de sa superbe, mais le marcel est un peu excessif. C’est juste une petite remarque de forme qui fait de moi un vieux con réactionnaire mais j’assume. C’est ce genre de comportement qui veut légitimer dans le temps un laisser aller dérangeant.
Oh alors, transgression par le port du Marcel ! Franchement, il y a pire comme transgression, non ? Il fait chaud aussi. Et puis, en plus, Pablo a de jolis biceps...
Hahaha, le « néo-libéralisme » menacé par des casserolades, quelle poilade. Par ailleurs, le « néo-libéralisme » non seulement n’existe pas en France mais on est très très loin du libéralisme classique. Les GJ réclamaient moins de taxes, les bonnets rouges moins de taxes, ce sont des velléités libérales. La France est le pays le plus taxé du monde occidental, le plus redistributif, c’est un des pays où l’administration est la plus puissante et la plus invasive. EM est allé jusqu’à imposer le confinement, une mesure purement anti-libérale (seuls les libéraux ou presque ont contesté ces mesures) et il est instigateur du quoi qu’il en coûte ce que n’ont pas fait les autres pays. La France n’a jamais été aussi socialiste. Les processus révolutionnaires n’ont absolument rien de démocratiques, la révolution française ne l’était pas du tout, la révolution russe ne l’était pas du tout, la révolution cubaine idem, la révolution chinoise idem, les khmers etc…
Dès lors que les lieux communs démocratie , droits de l'homme ...sont aux thèmes des réflexions et discussions , il y a lieu de zapper pour passer à autre chose . Du sexe , des combats de kung fu , des virées à moto....
du tronçonnages d'arbres, des ratonnades, des chasses à cour, de la delinquance routière pour tuer des familles qui arrivaient en face.....Bref, de l'eclate, du fun, du divertissement virils !
Je ne voudrais pas décevoir les gens, mais même si la gauche emportait par miracle la prochaine présidentielle, et, qui plus est, se dotait d'une majorité à l'assemblée ce pouvoir exécuto-législatif élu ne proposerait jamais un retour du départ à la retraite à 62 ans. Pour un pouvoir, qui hérite d'une dette énorme (que, rassurons nous, nous ne paierons jamais, c'est le roulement perpétuel) , soumis à des contraintes budgétaires extranationales, revenir en arrière n'est pas une alternative. Le fameux effet cliquet est une réalité historique