Abonnez-vous bit.ly/inachansons 10/06/1970 Leonard COHEN chante "The Partisan" en direct et improvise avec des musiciens. La Complainte du partisan Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel www.ina.fr
Merveilleuse chanson interprétée par un homme merveilleux , je pleure à chaque fois en pensant à mon pere , jeune homme quittant son ile natale LA REUNION , pour devenir résistant, emprisonné en camps , échappé deux fois emmenant avec lui des juifs qu’il sauvait , revenu sain et sauf sur son île natale , il s’est marié sur le tard et nous a appris à nous ses enfants , que tous les humains étaient égaux, quelque soit leur race, leur religion ......Monsieur Cohen embrassez le pour moi au paradis où vous êtes tous les deux ...
Mon père n'avait que 14 ans quand il sera torturé en 1943. Toute sa vie il fera les mêmes cauchemars et mourra de la maladie de Parkinson en 1992. Je pleure a
Merveilleuse chanson et chanteur, toujours d'actualité, et qui rend hommage à tous les résistants de tous pays. Grand MERCI à tous ces femmes et hommes qui se sont sacrifiés pour que je puisse écrire ce commentaire en toute LIBERTÉ.
je ne me lasse jamais des chansons de Léonard Cohen , sa nostalgie, sa poésie, sa musique enchante toujours autant mon cœur Que puissiez-vous, Monsieur, enchanter le ciel
@@jipebizz oui mais il nous la chante en français bien sûr que c'est une reprise reprit également par Joan Baez j'ai les 2 en vinyle on peut plus rien dire sans qu'un vienne étaler sa science de comptoir
Cette version live où il dit "But I've many friends Some of them are with me" et rajoute "with me are they now" C'est magnifique dans la tristesse, là où la version française était plus optimiste, mais moins puissante. "J'ai la France entière" semble comme un doux mensonge à soi-même quand on sait quelle proportion a collaboré.
Encore merci à l'INA pour cette vidéo. A regarder et écouter sans modération en 2023 comme en 1969. 54 ans et toujours pas une ride (sauf sur mon visage) ! Ce morceau est sur ma playlist depuis 2003 et n'est pas prêt d'en sortir.
Eh oui ! apparemment la sauvagerie est sans fin même s'ils "..n'en finissent pas nos artistes prophètes de dire qu'il est temps que le malheur succombe ".
Je suis ému aux larmes en écoutant cette chanson triste et tellement forte s'en mémoire de celles et ceux qui se sont sacrifiés pour sauver des vies. Il n'y a rien de plus précieux que la vie... Respect monsieur Cohen vous êtes un grand humaniste...
24/8/22. Magnifique chanson,magnifique interpréte. Mais que peut on faire devant l'absurdité de la vie? les ennemis d'hier sont les amis d'aujourdhui. Le temps qui passe emporte TOUT et TOUS. La musique est une jolie femme qui nous enseigne et nous aime mais notre temps à chacun est compté et la fin inéluctable.....
N'oublions pas, cette superbe chanson est française, écrite par Emmanuel d'Astier de la Vigérie dit "Bernard" et la musique d'Anna Marly écrit en 1943, à Londres.
@@annievalainte4892 Vous confondez, le chant des partisans est de Joseph Kessel et Anna Marly! Et la complainte du partisan "le partisan" est bien d' Emmanuel d'Astier et Anna Marly !
Thanemirth oh 1000 Times or more.... First time that I Discover L.C ,it was YES AT TIZI OUZOU City , in ALGERIA ,I Was 19 and in Spring 1974 , in concert at Mouloud Mameri Culture House, unforgettable moments that we will no longer see in Algeria
Encore une fois merci à l'INA pour cette vidéo. A regarder et écouter sans modération en 2024 comme en 1969. 55 ans et toujours pas une ride (sauf sur mon visage) ! Ce morceau est sur ma playlist depuis 2003 et n'est pas prêt d'en sortir.
Réaliste, émouvante, dune interprétation remarquable, avec un Texte voué à la SOLIDARITE entre les hommes, existe-t-elle encore ? Moi, j'ai la réponse et vous ?
Une de mes préférées. Lors d'un concert il l'a adapté façon arabo musulman.. C était majestueux. Je ne connais le nom du musicien mais voilà. Je crois qu'il s'agit d'une reprise.
When they poured across the border I was cautioned to surrender This I could not do I took my gun and vanished. I have changed my name so often I've lost my wife and children But I have many friends And some of them are with me An old woman gave us shelter Kept us hidden in the garret Then the soldiers came She died without a whisper There were three of us this morning I'm the only one this evening But I must go on The frontiers are my prison Oh, the wind, the wind is blowing Through the graves the wind is blowing Freedom soon will come Then we'll come from the shadows Les Allemands étaient chez moi Ils me dirent, "résigne toi" Mais je n'ai pas peur J'ai repris mon âme J'ai changé cent fois de nom J'ai perdu femme et enfants Mais j'ai tant d'amis J'ai la France entière Un vieil homme dans un grenier Pour la nuit nous a caché Les Allemands l'ont pris Il est mort sans surprise Oh, the wind, the wind is blowing Through the graves the wind is blowing Freedom soon will come Then we'll come from the shadows
Tito's partisans committed genocide on Croatian civilians, women, children, whole families and unarmed/surrendered soldiers in Bleiburg, Austria starting May 8, 1945. A war criminal and dictator.
@@abegohr2576 Leonard Cohen put his soul to song, nor the lyrics nor the music is his. Original : La complainte du Partisan paroles: Emmanuel d'Astier de la Vigerie also undernamed "Bernard" musique: Anna Marly Leonard 's cover : The (song of the French) Partisan paroles : E. d'Astier de la Vigerie, adaptation Hy Zaret musique : Anna Marly Ed. Raoul Breton. www.leonardcohensite.com/partisaneng.htm
Vous parlez bien des populations du Donbass et du Lougansk ? Parce que c’est bien de cette partie de l’Ukraine qui est concernée par ce morceau, et c’est cette partie de l’Ukraine qui est désormais défendue par les russes.
Mais les paroles sont françaises , écrites par Emmanuel d'Astier de la Vigerie, chef d'un réseau de Résistance....Pourquoi la "version anglaise" serait-elle supérieure ? Snobisme ?
@@78Spartaco je ne vois pas pourquoi parler anglais donne de l'importance à ce qu'on dit ,cessons de propager leur culture envahissante ,soyons fiers de la nôtre .Relevez la tête ,je vx . m'opposer à cette dérive "de mode" qui s''accélère . Je comprends de plus en plus les Bretons et les Basques,voir Les Normands.
C’est le contraire : la version française a été traduite ensuite en anglais. Les versions de Léonard Cohen sont superbes, c’est vrai, mais pourquoi comparer ce qui a été écrit et composé en 1943 à Londres sous les bombes (Emmanuel dˋAstier de la Vigerie et Anna Marly, 2 personnes extraordinaires) avec ce qui a été arrangé et chanté dans le confort des dizaines d’années après.
When they poured across the border I was cautioned to surrender This I could not do I took my gun and vanished. I have changed my name so often I've lost my wife and children But I have many friends And some of them are with me An old woman gave us shelter Kept us hidden in the garret Then the soldiers came She died without a whisper There were three of us this morning I'm the only one this evening But I must go on The frontiers are my prison Oh, the wind, the wind is blowing Through the graves the wind is blowing Freedom soon will come Then we'll come from the shadows Les Allemands étaient chez moi Ils me dirent, "résigne toi" Mais je n'ai pas peur J'ai repris mon âme J'ai changé cent fois de nom J'ai perdu femme et enfants Mais j'ai tant d'amis J'ai la France entière Un vieil homme dans un grenier Pour la nuit nous a caché Les Allemands l'ont pris Il est mort sans surprise Oh, the wind, the wind is blowing Through the graves the wind is blowing Freedom soon will come Then we'll come from the shadows Tribute to Leonard Cohen, born September 21, 1934, with this wonderful song. "This song has a beautiful story. Written by Anna Marly, in Russian in homage to Soviet resistance, then became the much more famous Partisan Song with lyrics by Joseph Kessel and Maurice Druon, it became the Partisan's Lament after an eminent French resistance fighter, Emmanuel d'Astier de la Vigerie, would have composed the lyrics. Hy Zaret, a prolific American successful author heard this song on the BBC during the war: it moved him, he translated it. it will pass for its author. In 1969, Léonard Cohen, Canadian artist, rising figure of the North American "counter culture" unearths this song then forgotten and gives it a second life, mixing French and English texts. It has since been taken over by many singers in France and the United States. In the mode of the lament, that is to say a plaintive tale full of melancholy, the song makes speak a character who, without joy and without apparent passion, engages in a fight from which he knows the certain outcome: prison, pain, death. But he refuses to live on his knees and knows that freedom will return. We note that there is no fervor in the subject, no glorification is expected, while the price to pay (losing wife and children) is enormous: when freedom returns, we will return to the shadow of the anonymity."